Chapitre 18
ATTENTION AVERTISSEMENTS CE CHAPITRE CONTIENT DE LA VIOLENCE !
Aria
Il ne vit pas si loin de chez moi après une vingtaine de minutes de marche, le soleil tape ses mes épaules dénudés. C'est agréable. Arrivé devant chez lui, mon cœur se serre. Je suis nerveuse l'air de rien. Même si ma décision est prise, rompre avec Jake n'est pas si facile. Je me prépare à être humilier pendant les trois semaines de cours qu'il me reste. Trois semaine ce n'est rien, ça passera vite. Du moins, je l'espère. Il va détruire ma réputation mais ces gens là, je ne les reverrais probablement plus jamais. Je prends une grande inspiration et sonne à sa porte. Je frotte nerveusement, mes mains moites sur ma robe. Il m'ouvre un sourire radieux aux lèvres. Merde ça y es la culpabilité m'envahis.
— Mon bébé ! Entre !
Il me tire vers lui et m'embrasse avec possessivité. Mon cœur se soulève. La dernière fois qu'il m'a embrassé, il m'a chauffé et ma laissé pantelante dans les vestiaires du gymnaste. C'était cruelle. Je le vois encore me foutre la honte devant ses potes.
— Tu veux boire quelque chose ? me demande-t-il, bienveillant.
— Oui, je veux bien.
Il prend deux bières et m'attrape par la main pour me guider à l'étage. Je dois lui dire. Je ne peux pas garder ça pour moi. Je ne sais pas ce qu'il s'imagine. Le voir aussi de bonne humeur me fou une rage improbable. Il me trompe ! Briana aurait menti ? Si oui, j'ai fais une méga connerie avec Wes hier soir !
— Ça été ta soirée hier ?
Prise au dépourvu, je perd mes mots.
— Euh... oui.
Je m'assois au bord de son lit.
— Tant mieux.
Son sourire s'éteint et il boit une gorge de sa bière. La mienne à la main, je ne la touche pas. Depuis le temps que je suis avec lui, il ne sait toujours pas que je ne bois pas ça. Une tension vient de s'installer et la nervosité m'envahis.
— Tu n'as rien à me dire Aria ?
Ça sent le reproche. Il doit savoir pour la fête de hier.
— Non et toi, Jake ?
Il boit une gorgé à nouveau un sourire aux lèvres.
— Je dois te montrer quelque chose.
Son portable entre les mains, il me sonde d'une lueur noir dans ses iris.
— Tu n'es qu'une salope ! crache-t-il.
Ma bouche s'ouvre d'étonnement.
— Par-pardon ? dis-je choqué.
— Ouais Aria regarde la putain que tu es !
Il pianote sur son téléphone et je fais un bon sur mes pieds. Personne ne me parlera comme ça !
— Je sais pour toi et Briana ! Tu me trompe depuis combien de temps Jake ? aboyé-je.
Un rire sans joie sort de sa gorge. L'écran de son portable se tourne vers moi et je vois avec horreur, une vidéo de moi et Wes. Nous nous embrassons. Je sens que je vais m'évanouir. Je suffoque tellement je me sens gêné.
— Quelqu'un m'a envoyé cette vidéo ce matin. Chouette soirée n'est-ce pas ?
— Jake, je peux t'expliquer, je... je suis...
— Tu es quoi Aria ! hurle-t-il en cassant sa bouteille en verre contre le mur.
Je sursaute et ma vue se floute. Je comprends sa colère.
— Tu n'es qu'une pute ! Et tu sais comment je traite les salope dans ton genre Aria ?
Il s'avance dangereusement de moi, son regard menaçant me donne la chair de poule. Ma vision se brouille et mes lèvres tremblent. D'un geste brusque, il me pousse contre le matelas. Je fais valser ma bière au sol. La peur me terrifié sur place.
— Jake arrête !
La rage anime son visage. Il se met à genoux. Je tente de me redresser mais sa main s'abat sur ma joue d'une tel violence que j'en reste cloué. Ses doigts silionne mes cuisses sans pudeur.
— C'est ça Aria, tu es une chaudasse.
Il écarte mes jambe d'un mouvement vif. Des larmes jaillissent de mes yeux.
— Je vais t'apprendre quelque chose Aria.
Son visage entre mes jambes, je n'ose pas le regarder. Mon corps tout entier tremble.
— Personne ne me trompe. Et ouais, j'ai baisé Briana plus d'une fois et elle est tellement bonne ! Mais tu sais quoi, bébé ? Les filles comme toi, ne mérite qu'une bonne raclé.
J'entends la boucle de sa ceinture se défaire. Alors que je crois qu'il veux profité de moi, sa ceinture en cuir claque mes cuisses. Un cri strident me brûle la gorge. Un nouveau coup frappe sur mon bras. Je me recroqueville sur moi même. C'est un réel supplice.
— Ce qui m'appartient, reste ma propriété ! Est-ce que c'est compris ?
Sa voix démonique, me pétrifie. Je ferme les yeux tout ce ceci est un cauchemars... Je vais me réveiller !
— Jake arrête, je t'en supplie ! sangloté-je.
Il lance son fouet au sol et m'empoigne par les cheveux.
— Tu comprendra peut-être un peu le respect ?
Son ton glacial et sadique me répugne.
— Tu es grand malade, Jake !
Un rire à s'en donner froid dans le dos, il m'attrape plus fermement et colle sa bouche dégueulasse contre la mienne.
— Malgré ce que tu m'as fait Aria, je ne peux que te trouver ultra bandante dans cette petite robe !
Ses doigts se faufile entre mes jambes. Je serre les cuisses pour lui bloqué l'accès. Je ne pensais pas Jake comme ça. Il est complètement fou. Dans ses iris danse les flammes de l'enfer et le démon le dévisage. Il me lève sans mal en me tirant par les cheveux. La douleurs est tellement intense qu'un gémissement de plainte sort de ma bouche. Je serre les dents à m'en faire mal à la mâchoire. Il me jette au sol et je sens mon épaule se claquer contre le carrelage. Je pleurs à chaude larmes. Malgré ce que j'ai fait je ne mérite pas ça ! Une force en moi inexplicable, m'aide à me relever pour atteindre la porte de sa chambre et m'enfuir de cette endroit. Mais Jake à quelque pas de moi, me saute dessus et mon corps tombe. Mes genoux rougit atterrissent en premier contre le sol froid. Tout mon corps est endoloris. Je porte les traces de sa ceinture sur les bras et les jambes.
— Où tu crois aller ? Je n'ai pas fini avec toi !
De ses pieds, il écarte mes jambes sans mal et tout son poids m'écrase face au sol.
— Jake, s'il te plaît. Non !
Je sens son sexe se coller à mes fesses.
— Pitié pas ça... larmoyé-je.
Il le fait glisser sur ma fente. Il introduit d'abord un doigt rapide dans mon entrée florale. C'est douloureux mais ce n'est rien comparé à sa verge qui me transperce d'un coup sec. Tout mes membres sont contracter. Un cri de détresse se libère de ma bouche tandis qu'il vas-et-viens difficilement en moi.
— Tu es tellement serrer, putain, oui ! Tu assure Aria !
Mon cœur se brise en même temps que ma dignité. Je viens de perdre mon âme. Ma gorge me fait souffrir, j'ai l'impression qu'on me lacère mon entre-jambe. Fatiguer de me battre, je le laisse faire de moi sa poupée de chiffon. Si j'éteins mon humanité juste cet instant, je souffrirais peut-être moins. Les images de Wes et moi me revient en mémoire. Je devrais avoir des remords mais ce n'est pas le cas. Je m'accroche a ces quelque images qui me réconforte, qui m'aide a tenir le coup. Wes m'ouvre les yeux sur le connard fini qu'est mon petit ami. Ça se serait arrivé tôt ou tard. Tout ceci sera bientôt un lointain souvenir. Mais non, Jake a décidé de ne pas terminé, toute de suite. Il se retire et avant de me giflé la fesse, je sens ses dents se planter dans ma chaire. Une grimace me dévisage.
— Prête pour le grand final, Aria ?
Sa voix rauque et amusé me donne la gerbe.
Alors que je pensais qu'il était cruel, ce qui se passe dans sa tête dépasse toute les limites. Il m'agrippe par le bras et m'assoit sur son lit. Plus aucune larmes ne coulent sur mes joues. Je me sens vider. Je reste pétrifié sur son matelas tandis qu'il se munit de son portable. Bon sang qu'est-ce qu'il fait ? Il pointe sa caméra vers moi. Son sexe à l'air libre. Il passe son doigts sous mon menton pour relever mon visage. Mes yeux humide croisent les siens qui démontre une folie incontrôlable.
— Répète après moi, Aria, dit-il autoritaire.
Je sanglote, humilié qu'il me film alors que les bretelles de ma robe sont déchirés. Il arrive à arracher mon bustier et libère un de mes seins. Gêner, je le cache avec mon bras.
— Stop, je t'en supplie !
— Répète ! Je suis une pute.
Je pleurs a chaude larmes et pousse sa main qui maintiens mon mentons fermement.
— Répète putain ! JE SUIS UNE GROSSE PUTE !
Il prend le temps de décortiqué chaque mots.
— Tu me fais mal ! me plaigné-je.
Une gifle d'une puissance surdimensionné claque sur ma joue, me coupant le souffle.
— Je t'ai pas entendu, lâche-t-il d'un ton moqueur en tendant l'oreille.
— Je suis...
Je renifle vaincu par son autorité.
— Je suis...une...pute, dis-je à peine audible.
Il caresse mon visage comme si j'étais son toutou. Ce qui me répugne le plus c'est de voir son sexe se gonfler alors qu'il m'admire me ridiculiser.
— Tu n'es qu'une salle baiseuse de frère. Une salope sans nom !
De sa main libre il caresse son membre qui durcit en matant mon nichon. Humilié, je regarde ailleurs, me retenant de sangloté. Mon corps est secouer de spasme. Lorsque je sens un liquide chaud se propulser sur ma robe mon bras, mes seins, mes cheveux. Ma peine se libère et impossible de calmer ces tressautement dans ma gorge. Mes larmes coulent à flot. Le pire c'est qu'il est en train de tout filmer ! Je profite de son moment de faiblesse et le pousse brutalement pour m'échapper. Je dévale les escaliers à toute vitesse. Je remonte mon bustier. Je prends mes jambes à mon cou et cours aussi vite que mes pieds me le permettent. Une fine pluie tombe du ciel. Il fait humide et collant. Je me sens si sale, si violé... J'ignore en combien de temps j'arrive chez moi mais tout ce que je perçois c'est la porte d'entrée si proche. Je m'engouffre à l'intérieur claquant la porte et monte les marches à toute vitesse.
— Aria ? tonne Wes.
Je ne l'écoute pas. Tout ce que je veux c'est nettoyer ce bordel de mon corps, cette douleur, cette saleté sur moi ! Je me débarrasse de ma robe avant même d'arriver dans la salle de bain. La vision trouble, je me jette sous les jets d'eau et n'attend même pas que l'eau deviennent chaude. Le froid me fait frissonner. Je chope le savon et le frotte sur mon corps comme une furie. J'efface le sang sécher sur mes cuisses. Mon vagin me fait un mal de chien. J'en ai les jambes qui tremble. Je tombes à genoux avec le pommeau de douche en main près de mon intimité pour me soulager. Je sanglote sans arrivé à m'arrêter.
— Bordel Aria !
Wes pousse la porte brutalement me regardant. Je me sens honteuse en voyant ma robe dans ses mains.
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