Chapitre 16
Wes
Bien que l'alcool coule dans mes veines, j'ai baisé Aria en tout consentement. J'ai conscience que ce n'est pas sains mais cette nana est une tentatrice. Je ressens quelque choses de puissant à son égare. Depuis, le jour que j'ai franchis sa porte, j'ai eu ce sentiments étrange en moi. Je voulais la posséder alors qu'elle m'ait interdite. Je voulais juste m'amuser mais là, nous venons de dépasser un cap. Disons que l'alcool et la fumette m'y a aidé. Cependant, je ne regrette aucunement mon acte. Il y a une alchimie entre nous que je n'ai jamais ressenti auparavant. Même si, je déteste mon père, je suis heureux que ma vie ait prit cette tournure, en tout cas ce soir. Je ne l'aurais probablement jamais rencontré si mon père n'avait jamais franchi la porte de chez ma mère il y a de ça dix ans.
Voir toutes ses lettres, proprement rangées dans une boîte, fait surgir en moi le doute, la colère et l'incompréhension. Pourquoi certaine n'ont jamais été envoyé et d'autre son retourné chez lui ? Ma mère m'aurait privé de recevoir ces quelques mots ? Ça m'aurait tellement rassuré. Ça m'aurait sûrement évité de devenir ce que je suis aujourd'hui. Un bon rien. Un bagarreur. Un rebelle. Lorsque j'ai commencé avec mon premier piercing à seize ans ma mère en a fait un scandale. Mais je voulais plus, en plus d'adrénaline, alors je me suis tatoué. J'ai cru que ma mère allait faire une syncope. Ensuite, je me suis mit à me battre au lycée. Un rien me mettait en colère. Bien que maintenant, j'arrive à me gérer, ça ne m'a pas empêché de casser la gueule à un bouffon et d'être viré de l'université. Ma vie ne tient qu'à ma guitare. J'ai l'envie de me battre pour ce que j'aime ; la musique ! Je deviendrais ce « quelqu'un » sur scène ! Je le souhaite tellement que je n'abandonnerais jamais.
Une fois sorti de la chambre de nos parents, j'ai dégagé les derniers fêtard qui dormait dans le jardin et le canapé. Avec Aria, nous avons sorti des matelas et nous les avons étaler par terre pour que mes potes puisse dormir ce soir. Nous rangerons ce bordel demain.
Assit sur mon lit, le manque d'Aria commence à grandir dans ma poitrine. Savoir qu'elle n'est qu'à quelque pas dans son lit, me rend nerveux. Je passe la main plusieurs fois dans mes cheveux. Joue sans cesse avec mon piercing à la lèvre. J'ai encore sa bouche imprégné sur la mienne. Ce moment où, elle a jouis en même temps que moi restera gravé à jamais en moi. Nous avons toucher les flammes de l'enfer et je suis prêt à recommencer, seulement pour la sentir encore sur moi. Suis-je fou ? Vêtu d'uniquement mon boxer, j'ose me lever et frapper à sa porte entre-ouverte.
— Aria, tu dors ? chuchoté-je.
Elle se tourne vers moi.
— Non.
Elle écarte ses draps comme si elle avait lu dans mes pensées. Je m'y glisse dessous en me couvrant jusqu'au cou.
— Wes ?
— Oui, poupée?
— Qu'est-ce qu'on es en train de faire ?
Un faible sourire fend ma bouche. Je caresse sa joue tendrement.
— Aucune idée. Mais tu me plais vraiment.
Je la vois rougir dans la pénombre.
— Tu me plais aussi pourtant...
Je lui coupe la parole.
— Chuuuut... Ça sera notre secret. Toi et moi.
Nous nous contemplons un long moment dans les yeux sans dire un mot. Lentement nos visages se rapproche.
— Je ne comprends pas ce besoin incessant de vouloir te sentir contre moi, Wes. J'ai peur, avoue-t-elle.
Mon cœur bat à tout rompre. Moi aussi j'ai la frousse... Aria est a seul qui apaise mes maux.
— Tu me fais perdre tout contrôle de moi-même, Aria. J'ai peur aussi.
Je perds tout sang froid lorsque je pense à elle. Plus se désir grandit en moi, plus j'ai envie qu'Aria n'appartienne qu'à moi. Pourtant, il a cet imbécile de petit ami au milieu.
— Wes... je suis prête à quitter Jake pour toi.
Je n'attend pas une seconde de plus pour lui approuver que ça me réjouit. Je l'embrasse, enfournant ma langue dans sa bouche. Je presse son corps frêle contre le mien. Je tremble de la tête au pieds une sensation étrange s'empare de mon ventre. Ce qui me brise le cœur est que je ne resterais pas ici toute ma vie. Et que je n'ai pas envie de laisser Aria.
— Quand je deviendrai connu, que j'aurai assez d'argent pour ne plus être sous les ordres de mes parents. Tu viendrais avec moi, Aria ? Loin de tout ça.
Agripper à ma nuque, un sourire naît sur son visage angélique.
— Je te suivrais n'importe où comment refuser devant de si beau yeux ?
Enlacée l'un contre l'autre, je profite de ce moment unique pour sombrer de sommeil.
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