PDV STELLA

C'était vraiment bizarre le rêve de cette nuit, je n'arrête pas d'y penser. Je ne comprend pas ce que ça voulait dire. Peut-être rien?

Une gare. Mais pourquoi une gare? Et des trains? La dernière fois que j'ai entendu parler de trains c'était Lydia qui- Oh mon dieu.

Je dois aller voir Lydia. Je me saisie de mon téléphone et compose son numéro dans la seconde.

Lydia : - Allô?
Moi : - Salut, tu- tu peux passer à la maison? C'est important.
Lydia : - Heu je.. Ok, j'arrive.
Moi : - Cool, à tout de suite.

Je raccroche et pose mon téléphone.

~

Moi : - Quand on était passés chez toi avec Malia l'autre fois, tu as dis avoir sentie les murs tremblés.. Comme si un train passait.

Elle ne semble pas vraiment comprendre pourquoi je lui en parle maintenant.

Lydia : - Oui... mais, qu'est ce qu'il y a?
Moi : - Le truc c'est que j'ai fais un rêve cette nuit, un rêve vraiment étrange.. J'avais l'impression d'être prisonnière du corps de quelqu'un.
Lydia : - De qui?
Moi : - J'en sais rien, je voyais ce que cette personne voyait, entendait ce qu'elle entendait et aussi ce qu'elle disait. J'ai même eu l'impression que je venais de parler à sa place, et aussi.. il y avait cette voix familière.. Ça voulait forcément dire quelque chose, non?

Elle redresse la tête tentant d'analyser ce que je viens de lui dire.

Moi : - Tu crois que ça à avoir avec la chasse?
Lydia : - J'en sais rien.

Je baisse la tête pour réfléchir.

Moi : - Et si..

Elle me regarde.

Moi : - Non oublie c'est stupide.
Lydia : - Dis toujours.

Je la regarde.

Moi : - Et si pendant ce rêve c'était dans le corps de Jess que j'étais prisonnière?

Elle équarquille les yeux.

Lydia : - Et tu crois que la voix familière serait-
Moi : - Stiles.
Lydia : - C'est.. si c'est ça-
Moi : - Ça voudrait dire qu'ils sont prisonniers dans une gare.
Lydia : - Dis moi exactement ce que tu as vu dans ton rêve.

~

Moi : - On sait où ils sont maintenant!

On se lève du canapé.

Lydia : - Sauf qu'il n'y a aucune gare à Beacon Hills.

Mon visage se décompose.

Moi : - Vraiment?

Elle hoche la tête et je soupire. Si ça se trouve on a faux sur toute la ligne.

Lydia : - Je te propose qu'on attende d'avoir plus d'infos.
Moi : - Tu veux dire attendre que je fasse un autre rêve?

Elle hoche la tête.

Moi : - Ok.

Elle se dirige vers la sortie et je la suis.

Lydia : - Je vais chez les Stilinski avec Isaac.

Elle se tourne vers moi une fois arrivée à l'entrée.

Lydia : - Claudia cache quelque chose.
Moi : - Essayez de ne pas être trop suspects.

Je lui ouvre la porte et elle sort.

Lydia : - T'en fais pas, on se tient au courant.
Moi : - Ouais.

On se sourit et je referme la porte.

PDV JESS

J'ai fais le tour de cet endroit, essayer de parler à des gens, mais je tourne en rond. Stiles m'a dit qu'il n'en savait pas plus que moi, mais c'est dingue! On dirait une gare abandonnée, il y a juste cette voix dans ce haut parleur.. Et ces portes. Ces portes? Je m'avance vers une d'entre elles, et tente de l'ouvrir. Mais c'est bloqué. Je baisse la tête, vire mes yeux au jaune et défonce la serrure. Je pousse la porte et arrive de l'autre côté.

Mais je me rend compte que je viens d'arriver dans la gare par une autre porte. C'est quoi ce délire?

Je reproduis la même chose une dizaine de fois mais je reviens toujours ici.

Moi : - Putain c'est quoi cette merde?!
... : - J'ai déjà essayé, rien à faire.

Je me tourne vers Stiles puis redevient humaine.

Stiles : - Il n'y a pas d'issues.

Alors que j'allais répliquer, j'entend des bruits de sabots et sent le vent nous claquer en pleine figure. On se tourne vers les bruits, c'est le tunnel où se trouvent les railles.

Stiles : - Qu'est ce que c'est?
Moi : - Les cavaliers fantômes.

Au même moment ils surgissent du tunnel et tout le monde courent dans tous les sens. J'attrape la main de Stiles et on court vers le fond de la salle.

Des gens apparaissent dans des fumées vertes, signes que la chasse à fait de nouvelles victimes.

On court vers le fond mais sur le chemin on bouscule un torse. On se rattrape à celui-ci, manquant de tomber. On relève la tête et- Non, pas lui. Tout sauf lui.

On se redresse et il semble dans le même état que nous.

De toutes les personnes que l'on connaisse dans cette fichue ville, il a fallut que ce soit lui.

Peter : - Vous.

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Et sinon ça va vous? Ça fait un bail que je n'ai pas posté sur cette fiction..

Si ça vous intéresse je reprend les cours dans un peu moins de deux semaines 🤔  Et vous?