Tu te rappelles?

Le cœur battant la chamade, le pauvre jeune homme reposa son téléphone sur son lit de l'internat. Ce message lui marteler le cœur, allant jusqu'à ruiner son âme. Il se retient de pleurer, il ne veux pas paraître faible face à ses «amis» mais il en a besoin.

Les minutes passent, il n'en peux plus, il craque. Son cœur se brise, il laisse ses larmes coulé, la tête entre les mains. Il se sent minable, il ne comprends pas, il a dû mal à y croire. Comment tout cela à pût arrivé?

Il sent un cercle de présences autour de lui. Quand une main se pose sur son épaule, il relève la tête baigné par ses larmes, il croise le regard doux de Arthur. Il scrute ses trois camarades à la recherche d'une quelconque expression amusé ou de pitié mais leur expression sont défaite, aucune trace de railleries juste de la compassion. Ça lui réchauffe le cœur, il ne pensais pas que c'était ces personnes qui le consolerai, il s'en voulu de les avoir jugé. Après tout il les connaissaient depuis trois ans, il aurait du leur laissé une chance au lieu de les observer.

Devant le regard triste et compatissant du roux qui était à ses pieds, il ne pût se retenir encore plus longtemps.
Ses sanglots plus déchirant que n'importe quelle son que même le diable en aurait été touché.Il se déchirait l'âme, elle se délabré, il aurait aimé mourir.

Il se montrait faible, il se détester à cette instant.

Des bras s'enroulent autour de lui, son corps frêle tremble, les mains de son ami se trouvant à sa droite lui caresse le dos, il essaye de le rassuré. Il pleure, il n'en peux plus. Son cœur le torture, toute sa mémoire l'assomme de leurs souvenir.

*********

Une nuit entière à pleurer devant ses colocataires qui l'avaient soutenue en se relayant, ils avaient peur de perdre leur ami. Ils le voyaient pleurer pour la première fois, surpris, ils avaient compris que quelques chose de grave se produisait.

*********

Au bout d'une longue semaine, il allait légèrement mieux... enfin il mangeait. Arthur alla vers lui, lui regardé ce satellite qui éclairé la nuit noir.

-Eden? Demanda incertain que celui ci daigne répondre, contre toute attente le dénommé Eden se tourna vers son désormais, il en était sur, ami.

-O-Oui? la voix tremblotante et éraillé tellement il usé ses cordes vocales chaque soir en se déchirant.

-Tu devrais le dire, tu sais ce qui t'arrive ou tout simplement te défoulé par les mots...j'y ai réfléchis pendant toute la semaine, tu devrais vraiment le faire...libère toi! Retrouve ta joie perdu, souris de nouveau, ris, chante, danse en plein milieu de la cour! Redeviens toi même, redeviens celui que tu étais, le rayon de joie de cette chambre monotone!

Après avoir dis ces mots les larmes coulé en torrent sur les joue d'Arthur. Comprenant la situation, Eden pris son ami dans ses bras, il le serra contre son cœur en le remerciant et lui faisant la promesse de redevenir le petit Eden que tous le monde connaissaient.

********

Il était deux heures du matin, le souffle régulier de ses camarades de chambre lui indique qu'ils dorment. Ses couvertures se froisse quand il sortit de son lit, il enclencha la lampe torche de son téléphone.
Après quelques pas, il se trouvait dans sa chaise de bureau. Une larmes coula quand il attrapa son stylo bille et une copie double du paquet entassé sur le coin de son bureau. Il avait décidé d'écouter Arthur, c'est alors, hésitant, qu'il possa la pointe du stylo sur cette feuille. Les mots coulé sans réfléchir, sa main le guidait. La simple copie fût rapidement recouvert par son écriture de mouches ressemblant à celle de son médecin. Il l'as relu. Encore et encore, il la connaissais désormais par cœur. Il repartit dans son lit en oubliant de ranger son bureau et d'éteindre son téléphone.

Arthur se réveilla en premier avant même la sonnerie de l'internat. Une lumière attirant son attention, il s'approche du bureau. La lettre était plié soigneusement, un prénom inscrit dessus. Il fourre la lettre dans sa poche connaissant désormais le destinataire et le responsable du mal être de son ami. Mais si seulement il l'avait lu.

*********

Le cour de littérature commença, quelle idée il avait eu de choisir L, lui qui préféré mieux les nombres et les équations, pour Eden c'était plus facile de comprendre les nombres que les états d'âmes d'un écrivain du siècle dernier. Franchement! Il avait peut-être vécu une guerre mais lui n'avait pas vécu l'abandon! À ce moment, il aurait voulu trouver cette écrivain et lui faire manger son livre. Mais bon, il ne pût que répondre à la question de sa professeur de littérature.

*********

Arthur s'approcha d'un groupe de personnes, il pris à part l'une d'elle à part. Il lui pris sa main et posa la lettre de Eden dans celle-ci avant de se retourné.

***********

La lune remplaça rapidement le soleil, une personne à la fenêtre de sa chambre tiré une taffe sur sa cigarette. Ce matin un drôle de garçon lui avait remis un feuille plié en quatre avant de partir comme un voleur. Sur son lit, son sac et ses potentiels devoir l'attendait, elle termina sa cigarette avant de se jeté sur son lit et commencé ses exercices.
Dans son cahier d'anglais, elle retrouvait ce papier, ne l'ayant toujours pas lu et de nature curieuse, elle la déplia.
Le premier détail qui l'a frappa fût la ressemblance de l'écriture avec celle de son ex-ami. Elle commença à lire.

«Yo petit ouistiti!
Enfin, Amélie j'avais oublié que je n'ai plus le droit de t'appeler ainsi, excuse moi.»

Le début lui fit mal, un pincement au coeur lui pris, elle continua.

«Tu te rappelles ?
Enfants, on pouvait pas se quitter!
Tu te rappelles à la récré?
À la récré, ces vélos jaunes, on les retourné et on s'amusait à faire tourner les roues en mettant des cailloux et de la terre. Combien de fois on c'est fait engueuler? Je ne compte même plus!
Quand on jouaient aux gendarmes et aux voleurs, tu venais toujours me délivrer!
Tu te rappelles aussi de la cantine?
Tu me crié dessus parce que je parlé soit disant trop fort, du coup, tous le monde nous regardaient bizarrement.
Tu te rappelles du jour où on s'aimer?
C'était bien malgré que mon frère se moquait de moi et que je pleurait. Tu as toujours été la plus forte, moi j'étais faible. Tu me consoler.
Tu te rappelles de cette rentrée?
Le maître nous avait mis à côté, on se quittaient plus. Je t'aidais pour les mathématiques et toi pour le français. On se tenait parfois la mains discrètement sous la table.
Tu te rappelles de ce jour où j'ai disparu?
J'étais même pas au courant à vrai dire que je partais. J'en ai voulu à ma mère. Mais le mal était déjà fais. Je t'ai fais énormément de mal, tu me l'as déjà dis.»

Un rire sans joie franchit ses lèvres pulpeuses, elle le détester mais malgré tout elle continua.

«J'ai enchaîné trois écoles, tu était toujours dans mes pensées et puis est venus le temps du collège quand je t'ai revu! J'était fou amoureux de toi! Et puis après j'ai encore disparu. On pouvait se parler par messages mais avec le temps, ne plus voir tes cheveux noir, tes yeux envoûtants et t'admirer me devenais insupportable alors j'ai commencé à t'écrire de moins en moins jusqu'à plus du tout d'écrire.
Tu te rappelles se message j'en suis sûr.
Je t'aime plus. Voilà les quatre mots qui avait tous coupé. Je me rappelle de tes pleures quand tu m'as appelé. J'aurais aimé te consoler mais je ne pouvais pas, je restai froid. Quand j'ai raccroché, j'ai fondu en larmes, je venais de faire la plus grosse erreur de toutes ma vie. Je t'aimais mais la distance me détruisait de plus tu méritais quelqu'un à l'égal de ta beauté, pas un garçon rondouillard.»

Elle l'insulta Eden en le traitant de menteur.
Connard, pensa t-elle avec amertume.
Elle voulait quand même terminer cette lettre maudite.

«Je ne peux expliquer la joie ressenti quand tu as voulu de nouveaux me parler. Je t'avais brisé le cœur, j'avais brisé le miens mais ce jour là, il se recolla.
Tu te rappelles le jour où je suis arrivé dans ton collège?
Mon dieu! J'ai cru mourir de joie quand la prof m'as mis à tes côtés. On se retrouvé enfin! J'avais envie de te prendre dans mes bras et de t'embrasser à pleine bouche mais on était juste ami, comme au début...
Tu te rappelles de notre dernière année au collège?
Tu ne pouvais plus me supporter, je faisais que me plaindre. Je monopolisé tout la conversation, maintenant je me sens stupide. Tu m'écoutais me plaindre alors que toi aussi tu souffrais comparé à moi tu resté dans un monde de silence endurant les dur choses de la vie. »

Une larme s'échappa des yeux bleus d'Amélie en repensant à cette époque. Eden se plaignait tout le temps à chaque fois il ramené la conversation, à croire qu'il n'y avait que lui. Égoïstes, pleunichard, lâche et salopard! Voilà comment elle l'avait vu!

Elle repris sa lecture en essuyant rageusement ses larmes qui avait suivi.

«Tu te rappelles quand j'ai voulu te rendre jalouse?
Enfin bien évidemment tu n'ai pas au courant. Donc, ouais, j'ai offert plusieurs cadeau à ton amie Honoré, je lui ai même écrit des lettre d'amour et je t'ai demandé en plus de ça de lui donné. Franchement c'est pas la meilleure des idées que j'ai eu!»

Elle avait l'impression qu'il mentait. Et elle voulait à tout prix penser que c'était un mensonge, elle espérait. Elle lu de nouveaux.

«Tu te rappelles quand on ne sais pas vu pendant un ans?
J'ai cru que j'allais mourir! Sans te voir chaque matin, le besoin de te voir était réel. Moi qui pensé avoir oublié mes sentiments amoureux envers toi, le manque m'a bien fait comprendre que je n'avais jamais cessé de t'aimer!
Tu te rappelles le jour de la rentrée en première?
La joie me débordé! Tu était devant moi, magique! J'était bien sûr désolé pour toi que ton père ne veulent plus te recevoir mais ça serait te mentir que j'avais été super enthousiaste! Tu ne vivais plus à cinq heures de moi.
Tu te rappelles de cette fête de village?
Tu étais en couple, j'étais tellement jaloux mais heureux pour toi. Toi tu avais tourné la page donc je me suis dis que j'allais faire la même chose. Je me suis mis en caleçon devant tout le village! J'étais mort de honte quand ils se sont moqué de moi, je resté neutre, je suis un homme après tout, les hommes ne sont pas faible! »

Elle souris, pas un sourire amusé mais blessé et mélancolique. C'était les mots qu'elles lui avait dit en primaire mais elle avait insulté de tapette en plus de cela.

«Tu te rappelles cette même année de première?
Bâtard. PD. Tapette. Tafiole. Salaud. Inutile. Gros. Meurs. Crève. Etc. Tout les jours, je resté souriant, je m'étais trop plein par le passé. Les menaces on commencé à pleuvoir dans mon casier, dans les vestiaires ils me battaient et me touchaient. J'ai commencé à me mutilé, quelles conneries! Je t'en ai parlé, enfin que de ma mutilation. Tu m'as répondu un: Ah! Je me suis senti faible, de nouveaux.»

Bien fait pour ta gueule, se répétait elle dans sa tête. Elle repris.

«Tu te rappelles quand tout à changé?
Rentrée terminal. Tu me snobais, tu en avais sûrement assez de voir la personne qui avait recommencé à se plaindre. J'aurais aimé que tu me gifle!»

Un rire amer sorti de sa gorge. Ouais j'aurais dû, pensait elle avec amertume.

«Tu te rappelles de nos messages?
Je t'en envoyais TOUT les jours. Je recevais des vues. Tu me répondais une semaine plus tard...on dit que le silence n'est qu'un bon présage, j'y ai cru.
Tu te rappelles ton dernier message?
Oui celui-là même. Celui qui me brise encore...je pensais que c'était rien qu'une dispute et qu'on allait de nouveaux se reparlé mais ton "au revoir, oubli moi, adieu.", j'ai compris.
Tu te rappelles?
Dis moi que oui.
Dis moi que tu n'as pas oublié nos quinze ans d'amitié, d'amour, de dispute et de déchirure.
Tu te rappelles de notre promesse?
Même si tu ne veux plus jamais me voir. Je travaillerai d'arrache pied pour que tu puisses faire le tour du monde. Je te l'ai promis!
Tu te rappelles de ton premier amour?
Moi, le miens je m'en souviens! Elle est magnifique. Elle est un peu ronde, les yeux bleu lagon, de long cils, une crinière ébène, ses lèvres pulpeuses et rosés, un petit nez, et etc...en bref! La perfection! Comment elle s'appelle t-elle? Amélie FiFaliana Valentine Bernadette Antoinette GAILLOT-CASSIULLA. Né à Avignon, le 24 juin 2000. (Tu pourras quand-même dire à tes parents qu'ils on abusé sur les prénom.)
Tu te rappelles de la date de notre anniversaire?
Le 5 février dans ce parc pour enfants.
Tu te rappelles du jour où tu me verras plus jamais?
Non, bien évidemment. C'est moi qui vais te le dire. Le 7 mars 2018. Le jour de mon départ, donc dans deux jours à l'heure où j'écris cette lettre.»

Les lèvres pincées. Elle ne comprenais pas. Elle voulais s'arrêté là mais la curiosité la poussa à tout terminé.

«Je ne regrette rien, je suis juste désolé. Désolé que tu m'ai connu. Désolé d'avoir souvent été lâche. Désolé de t'avoir fais souffrir. Désolé de t'aimer de plus en plus chaque jour. Désolé d'avoir été un conard. Désolé d'avoir été la source de tes larmes et de tes peines. Désolé d'avoir été un égoïste. Désolé d'avoir été ton premier amour. Désolé de nos souvenirs. Désolé pour mes blagues vraiment pas drôle. Désolé de partir. Désolé de te quitter. Désolé! Je t'en prie excuse moi!

J'ai aussi, encore, à te dire: merci! Merci d'avoir été ma raison de vivre. Merci de me détester. Merci de t'avoir connu. Merci de tes cours de français. Merci de m'avoir engueulé. Merci de m'avoir réconforté. Merci de toujours m'avoir m'écouté. Merci de m'avoir aimé. Merci de m'avoir fait confiance. Merci de toujours vivre. Merci de m'avoir soutenu. Merci de nos souvenirs. Merci de ce concert. Merci de m'avoir volé mon cœur. Merci d'être mon seul repère. Merci de ton amour et de ton amitié. Merci de m'avoir fait savoir. Savoir ce que je savais déjà. Merci de me laissé dans le doute. Merci de ne pas avoir répondu à mes questions.
Tu te rappelles?
Quand je te disais que je t'aimais à en vivre! Désormais je t'aime mais j'abandonne. Pardonne moi de vouloir abandonné.
Tu vas peut-être me trouver lâche. Ou peut-être tu ne vas pas me croire. Mais après tout je m'en fiche.
Quand je serai plus là, vas chez moi. Ma mère est au courant que tu dois passer. Vas dans ma chambre et ouvre le placard interdit et tu comprendras.
N'oublie pas que je suis ton meilleur ami, ton confident et ton première amour.
Rappelle toi.
Tu te rappelles de ton adieu, moi aussi je te dis adieu, sans regret, sans remords, seulement avec toi dans ma tête et l'amour inconditionnel que je te porte.
Laisse moi te le dire une dernière fois: je t'aime mon ouistiti!

Ton ex, ton ex meilleur amis, ton ex confident, ton petit chou»

Elle ne comprenais rien à cette stupide lettre, qu'elle brûlait avec son briquet. Elle le croyais pas, il est trop lâche pour partir en la laissant. Il mentait comme à chaque fois.

*********

Deux jours que la lettre avait été confiée à Amélie, qui s'en fichait pas mal.

Un rouquin se leva comme tout le reste de sa chambre à cause ou grâce à cette sonnerie horrible de l'internat. Cette sonnerie aussi insupportable qu'un acouphènes permanents. 

La tête encore dans ses rêves le rouquin trébuche et se ramasse par terre. Le rire de Arthur et Léo, le dernier colocataire de cette chambre, résonnait entre les quatre murs de leur prison. Quant à Liam, le rouquin,  lançait des injures en se tenant les pieds.

Léo allait ouvrir les volets pendant que Arthur aidé Liam à se relevé.
Quand les rayons lumineux du soleil matinale envahie la pièce, personne ne compris pourquoi la déco de Eden avait disparu et que sa valise été fermé en plein milieu du passage menant à la salle de bain.

Eden sorti de la salle de bains déjà prêt. Prêt à quoi? Bonne question! Il regarda tour à tour ses camarades un à un alors que les trois autres étaient figé.

-Où tu vas? Osa demander Liam en rompant le silence devenu beaucoup trop bizarre à son goût.

-Je pars, dis simplement Eden.

-On à bien vus! On est pas idiot! S'emporta Léo.

Il souris, un sourire sincère et franc,  pas triste, pas forcé, un vrai magnifique sourire. Comme il allait lui manquer le petit Léo et son caractère de cochon.

Léo lui reçu un tape derrière la tête d'Arthur. Il ris.
Arthur aussi allait lui manqué, une vrai maman ou papa, il prenait soin de tout le monde même ceux qu'il déteste. Une perle, rare, tellement rare que le sourire de Eden s'agrandit.

-Tu pars où? Demanda Liam.

-Je change de lycée mon petit marsupiaux.

Il prit le petit Liam dans ses bras.
Il était tellement innocent malgré qu'on soit en terminal, comme je regrette, pensa Eden.

-Comment ça? Pourquoi tu pars? Précipita Arthur, il essayé de rester impassible mais sa voix tremblante l'avait trahis.

Eden malgré qu'il ne soit pas le moins du monde très câlin, tira son ami à lui et le serra fort sans lâcher Liam qui s'accrochait à lui ayant peur qu'il disparaisse.
Le cœur de Eden se sera, comme il regrettait de les avoir jugé juste à cause de leur popularité mais il ne regrettait en aucun cas ces nuits à parler et à rire avant de se faire punir par le surveillant.

-En plus tu fais un câlin collectif sans m'inviter! S'injure Léo. Et tu ne réponds même pas, je sais que t'es pas très bav...

Il fut coupé, absorbé par le «câlin collectif». Il se calma rapidement rassuré par la chaleur procuré par ce moment.
Rien n'existaient. Juste eux. Tout avait disparu. Seul maître, le silence.
Enfin pas pour énormément de temps, apparemment.

-Je pars pour la laissé vivre. Pour voir de nouveaux mondes. En plus je pense que vous serez mieux pour les deux derniers mois, déclara t-il.

Il reçu une claque sur le crâne, signé Arthur. Leur étreinte se finit.

-Raconte encore une bêtises du genre et je te coupe la tête, menaça Arthur.

-Non mais d'où tu utilises mon expression! J'exige des droits d'auteur! Espèce d'artichaut moisie!

Comme chaque jour, plus précisément chaque matin, les disputes fusé. Sauf qu'aujourd'hui elle ne durera pas bien longtemps.
Eden les avait calmé juste en fermant correctement sa valise. Finalement il les serra une dernière fois dans ses bras, leur souhaitant tout le meilleur du monde.
Liam avait pleuré pendant les mots de son ami.
Après que Eden ai quitté la chambre, tous ses anciens colocataire ont éclaté en sanglots.

*********
Il pensait.

Tu te rappelles?
Tu te rappelles de nous?
Tu te rappelles de toi?
Tu te rappelles de notre amitié?
Tu te rappelles de notre amour?
Tu te rappelles de nos rêves?
Tu te rappelles de nos promesses?
Tu te rappelles de nos mondes?
Tu te rappelles de ta joie?
Tu te rappelles de nos déchirure?
Tu te rappelles de nos retrouvailles?
Tu te rappelles?
Moi je me souviens et je te promets que je n'oublierai jamais!

Le pont. Sa valise lourde. Son cœur léger. Ses adieux fait. Sa famille le serais bien assez tôt. Sept heures et demi du matin. Personne sur ce pond. Seul. Il était seul. Plonger, il devait plonger.

Ce matin dans la salle de bain, deux boîte sont passé. Il ressentait enfin les effets. Il fallait qui plonge. Plonger.

Il se rappelle, de tout. Il souris tristement et bascule.

«Je t'aime» fût sa dernière penser.

Plouf. Plus rien d'Eden à part sa valise rester sur le pont.


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