Chapitre 13

* PDV de Angelique *

Je mis mes mains sur son torse et le poussa. Je le regardais incomprise, perdu et troubler par ce baiser. Qu'est-ce qui c'est passé? Bah t'es conne ou quoi? Il vient de t'embrasser! Me dit ma conscience encore sous l'extase de ce baiser. Je me recula de lui, en tenant ma tête entre mes mains et répéta "non" à plusieurs reprise, totalement perdu... Ren s'approcha de moi, un peu inquiet de mon état, il me prit les poignets pour que je le regarde. Mais lorsque ses mains touchèrent mes poignets, je recula avec agressivité.

Moi: *rouge et perdu* Pou-pourquoi t-tu m'as em-embrassé?

Ren: C'était le moment parfait, je crois... Je t'apprécie vraiment, tu sais...

Moi: ...

Je le regarda en silence, et un silence gênant et pesant s'installa... J'ôta ma tuque bourgogne et passa nerveusement ma main dans mes cheveux, les tirant un peu au passage.

Moi: On oubli ok? Il ne sait rien passé ok? Pas de baiser, pas de conflit, pas de drague, que dalle, compris?

Ren: *troublé* Oui, oui..!

Je soupira un peu et je sentis des doigts, fin et doux, me montée le visage. Je me replongea dans ses prunelles bleus océans, si hypnotisant et si mystérieux...

Ren: Mais je ne l'oublierait jamais, Petit coeur...

Sa voix était aussi douce qu'une brise d'été, aussi inaudible qu'un murmure... Mon coeur se mît à battre un peu plus fort, plus rapidement... Je me sentais légère, mais mon coeur était le seul poids que je pouvais peser en se moment. Il était rempli de tristesse, de souvenir douloureux et de culpabilité... Il lâcha enfin mon menton, d'une lenteur sensuelle et me prit la main, d'une manière douce, mais en même temps possessive..? Nous re commençâmes à marcher, sans parler, le sourire aux lèvres.

J'espère seulement qu'il y aura pas de mal l'aise entre nous deux.

Je me senti observer, donc je regarda Ren, qui lui regardait devant lui, un sourire léger et triste... Je serra un peu plus sa main, signe que je le soutenais. Il détourna le regard et me regarda enfin. Il me fit un sourire gêné et m'embrassa délicatement le front, comme ci il avait peur de me briser, peur que je le fuis, une deuxième fois. Ses lèvres était douce et chaude. Au contact de ses lèvres sur ma peau, une vague de chaleur se dissimula en moi. Il lâcha ma main, et passa son bras autour de mes épaules, quant à moi, je passa un bras autour de sa taille.

Me sentant toujours observer, je regarda derrière moi et ne vit rien, enfin, seulement des feuilles bouger légèrement. Je retourna la tête et continua de marcher tranquillement, un peu troublé. Après une dizaine de minutes, nous nous retournions devant le manoir. L'envie de retourné à l'intérieur n'étant point la, nous nous dirigeâmes vers le garage, prendre sa voiture. Il prit ses clé dans sa poche arrière et cliqua sur le bouton pour débarré les portes à distance. C'était une magnifique Chevrolet Camaro 2016 rouge sang.

Moi: *ébahie* Wow...

Ren: *rit un peu de ma réaction* C'est mon nouveau bijou, c'est sûrement l'une de plus belle Camaro.

Moi: Non, la plus belle, c'est la 2014, tu sais, Bumblebee dans Transformer? Ca c'est la plus belle des Camaro au monde!

Ren: *me sourit* Aller, rentre dans la voiture!

Je rentra d'une vitesse hallucinante et regarda le cuir noir, au bordure d'un rouge sang, qui recouvrer les sièges.

Ren: *met le contact* Tu aimes?

Moi: J'adore oui!

Ren: Aller c'est parti!

On roula en rigolant comme des fous et on discutait de tous et de rien. Il s'arrêta devant un grand centre commercial et se parka. Il arrêta le moteur, mais avant de sortir, il se mît un sweat gris pâle et une casquette. Nous sortions de la voiture, main dans la main et nous nous dirigions vers l'une des entrées du centre commercial.

•• Éclipse de quelques heures ••

On avait magasiner pendant plusieurs heures. En gentleman, il voulait absolument tenir mes sacs. Quel crétin! Au début, j'étais réticente à l'idée qu'il achète tous pour moi, mais après qu'il m'aille fait des yeux de chien battu, j'avais finalement accepté. Présentement, on était devant un kiosque qui vendait des étuis à téléphone. Une m'avais taper à l'œil, c'était Piyo-chan, le poussin de la télévision. Il était tellement mignon! Ren me rejoignit et regarda le case de téléphone.

Ren: Tu veux lui? *pointe lui de Piyo-chan*

Moi: Je le regardais juste, c'est tout...

En fait, j'aurais bien aimé l'avoir, mais bon.

Ren: Sûre?

Moi: Sûre!

On se dirigea vers la sortie, ayant fini notre journée. Apres plusieurs heures de magasinage, le soleil était bientôt coucher! Arriver devant la voiture, il ouvrit le coffre et déposa mes paquets. Il le referma et me regarda quelques minutes.

Ren: Que veux-tu faire, maintenant?

Moi: Un tour en ville? C'est juste à côté!

Ren: Pourquoi pas!

Il me prit la main et nous nous dirigions vers le centre ville, qui était à quelques minutes de là. On marchait entre la population, nombreuse à cette heure et les grandes et majestueuses bâtisses. On arriva au piéton et je lâcha sa main, pour me gratter un peau l'omoplate, me démangeant depuis un certain temps. Il y avait un écran géant, sur la tour d'en face, qui commença à faire jouer, la vidéo des STARISH! (Mettre la vidéo) C'était l'une de mes chansons préférées, Revolution.

Après que la chanson soit terminé, j'avais perdu Ren! Je tourna en rond sur moi même, voir si je pourrais le voir, mais non! La panique me gagna et lorsque je sentis une main sur mon épaule j'émis un cri, qui fut rapidement éteint par le main d'un homme. J'avais déjà touché cette main, quelque part, mais où? Je ne le sais pas! C'est alors que je sentis un souffle sur ma nuque, qui me fit tressaillir, se souffle du mystérieux inconnu, qui n'est pas si inconnu que sa, se rapprocha de mon oreille.

...: Du clame, c'est uniquement moi...

Tellement que sa bouche était proche de mon oreille, je sentais ses lèvres frôler celle-ci, se qui me donna des frissons de plaisir..? Je me retourna et découvris Tokiya, avec une paire de lunette, une écharpe verte qui lui cachait le cou et un manteau de printemps beige. Je soupira de bonheur, heureuse que sa ne soient pas un pervers inconnu.

Tokiya: Bon soir... (Media!)

Moi: Que fais-tu ici, Tokiya?

Tokiya: Je me promenais et je t'ai vu seule, donc je suis venu te voir...

Moi: Oh...

Le vent de nuit se mît à souffler, je commença à avoir un peu froid, ce qui était vraiment étrange pour ma part...

Tokiya: *remarque la chair de poule sur mes bras* Tu as froid! *me prend la main* Aller vient!

Il me tira et nous commençâmes à courir, je ne sais où. Après quelques minutes de courses, nous étions devant un Statbuck et il me fit rentrer en vitesse. Il me poussa ma chaise, pour que je m'asseye, donc je m'asseyais sur la chaise et il dé-zippa son manteau pour me le mettre.

Tokiya: *qui zippe son manteau, jusqu'à mon cou* Voilà, comme ça, tu auras moins froid...

Moi: Merci... *légèrement rouge*

Il prit une de mes mèches, qui me cacha la vue, et la fit glisser derrière mon oreille. Au lieu de retiré sa main de mon visage, il fit glisser le bout de ses doigts sur ma joue et me la caressa du revers de sa main. Le rouge cramoisi était bien présent sur mes joues, cela lui fit naître un léger sourire, qui s'efface aussitôt, en retirant sa main de ma joue.

C'est étrange à dire, mais quand il avait arrêté de flatter ma joue, j'avais senti un vide. Il avait quelques rougeurs, qui dissimula dans son écharpe et évitait mon regard. Pourquoi? Peut être que tu l'intimide? Demanda ma conscience, elle même pas sûr. Je le regarda quelques secondes, voir si il voudrait me dire se qu'il se passe, mais rien. Il se leva assez rapidement.

Tokiya: Tu veux quelque chose à boire, peut-être?

Moi: Comme toi s'il te plait...

Il hocha la tête en me gratifiant d'un petit sourire gêné. Il partit au comptoir, prenant notre commandes et payer pour nous. Je rongea l'ongle de mon pouce. Quelques minutes plus tard, il arriva avec deux boissons dans les mains.

Tokiya: Un chocolat chaud à la menthe poivrée!

Moi:*choqué* Tu aimes ça, toi aussi?

Tokiya: Euh... Oui cet ma boisson préférée, pourquoi?

Moi: La mienne aussi! *boit une gorgée* Mmh, merci...

Tokiya: De rien...

J'essaya de faire un contact visuel, mais il fuyait mon regard, comme ci il était triste..?

Moi: Qui a-t-il Tokiya?

Tokiya: Je t'es vue tout à l'heure avec Ren...

Une tristesse et une honte me gagna... C'est pour ça qu'il est aussi distant... Je mordais frénétiquement ma lèvre inférieure, essayant de faire passer ma honte. Mais si ce n'était pas ça? J'espère qu'il ne nous a pas vu lorsque Ren m'a embrassé...

Moi: Où ça?

Tokiya: *me regarde dans les yeux* Quand il t'a embrassé...

Une éclair de tristesse passa dans ses yeux, il baissa son regard vers ses mains qui tenait son verre. Je me sentis sale, honteuse et vraiment une fille facile. Je n'étais pas une fille facile, habituellement!

Moi: Il m'a embrassé par surprise, et je l'es repoussée!

Il leva sa tête vers moi et je pu voir enfin ses yeux. Il y avait une étincelle d'espoir et de réjouissance..?

Tokiya: Pour vrai..?

Moi: Si je te le dis! On s'est embrassé une demi-seconde! Et j'y ai même pas répondu à son baiser. Tu me crois aussi fille facile que ça?

Avant même qu'il puisse répondre je partis, blessé par cette nouvelle, du Starbuck. Je marchais je ne sais où et mes yeux commencèrent à me piquer. Putain tu pleures vraiment pour ça? Me cracha à la figure ma conscience. Imagine juste au moins l'homme de ta vie t'insulter deux fois comme ça en une journée! Elle me répondit pas et me fit la gueule.

Tokiya: ANGEL!

Je l'entendais courir vers moi, je fis sourde d'oreille. C'est alors que je sentis deux bras m'entourer la taille et vit deux boissons dans ses mains. Je baissa la tête poté pas qu'il voit mes yeux remplis d'eau.

Tokiya: Je m'excuse ok? Non je te trouve pas fille facile... Je suis désolé de ce matin et encore plus tout à l'heure.

J'hocha uniquement de la tête, sans dire quelque chose et même si j'aurais voulu dire quelque chose, ma gorge était noué. Je pris l'une des deux boissons de ses mains et en bu une gorgée. Il me retourna et je vit mon visage près du sien. Le rouge me monta aux joues et lui aussi rougissait et paraissais gêné.

Tokiya: *détourne la tête pour cacher sa gêne* Tu bois dans mon verre là...

Je le regarda en écarquillant des yeux. Bordel, quelle cruche! Je m'excusa en vain, mais cela le fit rire un peu.

Tokiya: Angel, c'est pas grave, je boirais dans le tien, c'est tout! *boit une gorgée*

Le rouge me monta aux joues et les cacha dans le col du manteau à Tokiya. C'est pas comme ci vous vous étiez embrassé tout de même! Arrête de faire ton enfant de 12 ans qui rencontre son premier petit ami! Me souffla désespéré ma conscience. Un mec par jour ses biens, deux on se calme!

À cette instant, je remarqua que nous étions dehors, la nuit et il n'avait pas de manteau! Je lui pris sa boisson et les déposa rapidement au sol et dé-zippa son manteau pour lui enfiler. Il me regardait intrigué et je lui zippe jusqu'en haut.

Moi: Comme ça, tu n'auras pas froid!

Je récupéra nos boissons et nous les redonnâmes à chacun. Il me murmura un "Merci" timide et regarda sur son cellulaire. Ses magnifiques sourcils se fronça.

Tokiya: On devrait y allé, les autres commence à s'inquiéter...

J'hocha la tête et nous nous dirigeâmes vers sa voiture. Elle se situait dans le parking du centre commercial, là où que moi et Ren avions passer la journée. Je le regarda un sourire moqueur sur les lèvres, celui-ci le remarqua bien vite et me regarda étrangement.

Tokiya: *sourit un peu et rougit un peu* Quoi?

Moi: En fait tu nous as espionné tout la journée?

Le rouge lui monta aux joues et je ris un peu. Il me souriait timidement et débarra la voiture avec ses clés et je remarqua enfin sa voiture, c'était une Acura nsx blanche, magnifique. Je la regarda, émerveillée devant cette voiture de mes rêves.

Moi: Wow..!

Tokiya: Merci..! *se gratte la nuque* Allé rentrons maintenant...

Nous rentrions à l'intérieur et il commença à rouler sur l'autoroute. Apres une vingtaine de minutes, nous étions arrivés et je remarqua la voiture de Ren. Nous rentrâmes à l'intérieur et Tokiya ota ses chaussures, pas moi.

Moi: ON EST RENTRER!

Des pas de firent entendre et nous vîmes tous le monde soupirer de bonheur. Il manquait Cecil, comme d'habitude quoi!

Ren: Petit coeur je me suis inquiété! *me prend dans ses bras*

Eux: PETIT COEUR?!

Moi: Longue histoire..!

Florence: Pourquoi t'a prit mes vêtements?

Moi: Pour sortir peut-être? Bref, moi je sors, je reviens dans une demi-heure gros max'!  À tantôt!

Eux: Bye!

Je referma la porte et me dirigea vers le petit lac et le pavillon. Je marchais en silence et en réfléchissant. Arriver là où je souhaitais aller, je m'essayais sur les marchés du pavillon et regarda le ciel, maintenant rempli d'étoile. C'est alors que j'entendis des miaulements de chat venir près de moi. Il se frotta à mes jambes en miaulant, donc je le pris par les aisselles et le regarda. C'était un chat noir, aux yeux qui me rappelais ceux de Cecil. Je le mis sur mes cuisses et le caressa avec une infime douceur. Il, car c'est un garçon, se mît à ronronner. Je regarda ci il avait un collier et il y en avait un. Kuppuru et pas de propriétaire. J'aimais bien son nom, Kuppuru, ça lui allait comme un gant. Je le pris dans mes bras et je me dirigea vers la maison.

Moi: Bonjour tout le monde!

Eux: On est au salon!

J'ota mes chaussures avec du mal car j'avais Kuppuru dans les bras, mais lorsque je réussis, je me dirigea joyeuse vers le salon. Ils jouaient à la play, se qui m'étonnait pas réellement et m'avait pas remarquer. Florence se mît à gratter ses yeux.

Florence: Vous avez pas un chat ici?

Camus: Non mai-

Kuppuru émit un miaulement en se frottant un peu plus sur mon buste, ce qui me mît au centre de l'attention.

Florence: POURQUOI T'AS UN CHAT ALORS QUE JE SUIS ALLERGIQUE?!

Moi: Bah... Il a pas de maître et je les trouvé tout à l'heure...

Kuppuru se mît à gigoter donc je le déposa par terre et il se mît à courir vers je ne sais où. Pour assurer qu'il me fasse pas de bêtises, je lui courra après en criant son nom. Après quelques minutes de course je me trouva devant la chambre de Cecil était Camus. Je l'ouvris et Kuppuru rentra à l'intérieur. Il saura sur le lit à Cecil et se mît en boule. What, quoi?!

Moi: Cecil, c'est toi?!

Kuppuru/Cecil leva sa tête vers moi et émit un miaulement... Au putain Cecil est un chat!!!!!!!, me cria ma conscience.

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