T2, soixante-quatrième chapitre
k.mbappe
Yaoundé, Cameroon
👤monicadesouza
Aimé par neymarjr, monicadesouza, kevintrapp et 9 027 729 autres personnes.
k.mbappe Bientôt 10 ans que je te supporte, ma petite psychopathe ❤
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monicadesouza C'est plutôt moi qui te supporte, mon grand schizophrène ❤
amanda.ls Profitez de vos vacances, les amoureux !
point de vue de monica :
William et Salomé ont ramené leurs petits-cousins à une sortie à la piscine et au centre, histoire de les gâter, ce qui fait que je suis seule avec mon cher mari.
Nous sommes calmement posés sur le hamac, dehors, Kylian caresse mon ventre. Je prends une vidéo, en filmant une partie de notre tête sinon on saurait ma grossesse, pendant que le hamac se balance. Kylian remarque l'écran de mon téléphone et décide de faire un clin d'œil. Je soupire en riant avant d'arrêter de filmer. Comme musique, je choisis Sunset Lover de Petit Biscuit.
« Claqué au sol. Eclatax, @k.mbappe »
- Ton clin d'œil était pété, lui avouais-je.
- Quelle jalousie de mon succès, roule-t-il des yeux.
- Quel succès ? l'interrogeais-je.
- De t'avoir mise enceinte des jumeaux.
Je le fixe avec les sourcils froncés, il a le sourire d'un imbécile heureux comme s'il venait de sortir la meilleure blague de sa vie.
- ...C'était une blague, ça ?
J'explose de rire quand je le vois perdre son sourire petit à petit.
- Allez, je lève mon bras en l'air, j'te nique, je le baisse à la diagonale comme Mohamed Henni.
- Depuis quand tu connais ?
- Début 2018, grâce à Flo et Anto. Il est drôle ce gars. J'kiffe trop quand il casse les télés, ricanais-je. Tout à l'heure, tu avais l'air pensif. Pourquoi ?
Je vois qu'il hésite à me le dire.
- Non, c'est rien, ne t'inquiète pas.
Je soupire.
- Mais c'est vrai !
- Kylian, tu veux qu'on se dispute ?
Je ne veux pas que ça refasse comme la dernière fois.
- C'est juste que... J'ai pensé au jour quand je t'ai fait tomber sur le tapis, tu... Étais enceinte et... Et j'ai eu peur mais maintenant, ça me rassure qu'ils bougent normalement, bouge-t-il sa main sur mon ventre.
Je place ma main sur la sienne pour le rassurer. Je lui souris en le fixant puis je caresse son visage.
- Tu n'as pas à t'inquiéter, amor, les bébés vont bien et puis on a encore un mois avant la deuxième échographie.
Je l'enlace dans ses bras musclés et protecteurs ensuite, mes lèvres capturent sa bouche rosée.
- Tes lèvres, chuchotais-je entre deux baisers, ne sont pas... Gercées pour une fois, ricanais-je avec mes lippes collées avec les siennes.
Il rigole avant qu'on continue le baiser mais on cesse rapidement quand on sent qu'on va tomber.
- On rentre à l'intérieur ?
Je regarde l'heure, il est bientôt 21 heures.
- Vaut mieux.
Nous sortons du hamac pour rentrer dans la maison. Mon époux me tire jusqu'à notre chambre, je m'assieds sur le lit.
- Tu fais quoi ? arquais-je un sourcil lorsque je le vois fermer les rideaux.
Il se tourne vers moi, il me pousse à me coucher pour qu'il puisse se mettre sur moi sans me faire mal au ventre.
- Je voudrais bien te soulever sans qu'il y ait des regards sur nous, me répond-il en me regardant droit dans les yeux, donc je ferme les rideaux même si nous sommes seuls à la maison.
Je n'ai pas le temps de répliquer qu'il embrasse. Ses lèvres se baladent sur mon cou, mes paupières sont closes.
- Ça sera compliqué de faire l'amour avec mon ventre, je gémis en sentant ses lippes suçant mon cou.
Nous utilisons que deux positions simples à faire donc je me tairai les noms.
- Ne t'inquiète pas, je trouverai toujours une solution.
Il s'attaque à mes pauvres lèvres en se mettant sur moi... Enfin, il essaye de trouver une bonne position. C'est drôle de le voir réfléchir.
- C'est dur de trouver une position, grogne-t-il.
Je pouffe de rire, « Je t'ai prévenu mais comme d'habitude, tu ne m'écoutes jamais ». Il prend un drap et le pose sur mes jambes. Je me demande ce qu'il fait.
- Autant faire les préliminaires.
Je rigole au début mais quand je le vois aller en dessous de la couverture légère, je perds mon sourire.
- Oh non, Kylian...
- Couche-toi, m'ordonne-t-il.
Sachant qu'il trouvera des excuses, j'obéis. Je pose un coussin sous ma tête et je regarde le plafond. La gêne est toujours présente quand mon mari s'apprête à me faire un cunnilingus.
- Je vais m'occuper de toi, sa phrase est remplie de sous-entendus.
Je regarde sa tête disparaître de ma vision et je commence à réfléchir à ce que je peux lui dire pour qu'il ne le fasse pas, même si j'ai énormément envie de lui.
- Tu sais, tu n'es pas, je sens une langue passer sur ma partie intime jusqu'au clitoris, je gémis en « courbant » mon dos, obligé de le faire mais continue, s'il te plaît.
Je suis sûre et certaine qu'en ce moment-même, il sourit.
⭐⭐
j'ai perdu la notion du temps. je croyais qu'hier on était dimanche
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