Il était une fois stalé, la déesse de la richesse qui se demandait comment était la vie à l'extérieur. Car oui elle était riche et s'offrait des voitures mais jamais elle n'en profitait, son bonheur se résumé à son cheval kals. Un jour, elle voulut sortir dehors car tu stalé ne connaissait que le monde de Dieu et chez elle à part des photos jamais elle ne vit l'extérieur d'elle-même elle ne pouvait pas. Elle demanda donc à Serge son majordome de donner rendez-vous à sage un sorcier médium qui connaissait bien les dieux et les parents de stalé car son père était plus
Plutus  le dieu de la fortune grec. Il était connu dans le monde des dieux mais aussi dans le monde des mortels. Sage connaissais donc tout. Serge étais allé chercher sage qui arrive à après dans le palais géant Royal de Stalé et après avoir s'est entretenu avec la déesse, elle lui demanda comment pouvait-elle sortir de son palais :
-Alors, dit-il, il n'y a qu'un seule solution tu doit devenir l'un des n'autres.
- Hein !!
-Grâce au médaillon du temps.
-Mais, il n'en existe que 2 et un est a l'Olympe, et l'autre est introuvable.
-Là où tu veux aller.
-Chez les mortelles, c'est s'étonna-t-elle.
-Oui exactement !
-Quoi, je... Je ne peux pas.
-Non mais moi je peux.
-Mais tu ne sais même pas où elle est.
-Qui te dit ça ?
-Mais seul LE maître le sais.
-Oui je sais et c'est... Moi.
-Alors ! Où est-il ?
-Je ne te le dirais pas sinon  se ne serait plus un secret vu que tu le dirait à tout le monde.
-Mais... Non !!

Après, avoir longuement discuté elle décida de refuser à savoir là où se trouvait le médaillon du temps .Car sage ne voulais pas lui révéler un lieu confidentiel et que seul lui connaissait. Quelques jours après il décida d'aller chercher le médaillon mais il n'y était pas,il se rappela que seul lui et son frère connaisse. Il se rappela que son père s'était endormi une nuit d'automne 3 ans auparavant et qu'il avait un fils qui avait 13 ans. Mais deux jours après cette nuit là il rendait visite à son frère il a pris qu'il était mort. Alors il pensait que c'était le fils de son frère qui avait le médaillon.