Chapitre 7 : Première mission
- Comme je vous l’ai dis, nous avons toute les chances de croire qu’un bazookarpe serais cacher dans la zone 3 de l’octovallé.
Nous étions au QG de l’escadron espadon en réunion pour monter notre plan d’attaque. L’amiral nous montrait un tableau représentant une zone rectangulaire de mille mètres de longueur, d’après l’échelle.
- Tout le monde vient, continua l’amiral. Pour prendre ce bazookarpe, il faudra détruire le bouclier qui l’entour, retraverser toute la zone et le déposer sur le plot qui sera près de notre point de contrôle. La magie entrera en oeuvre et le bazookarpe sera téléporté dans notre entrepôt. Nous partirons après demain. Des questions ?
Voyant qu’aucune mains ne se levaient, il dit :
- Très bien, vous pouvez disposer. Numéro 11 ? Tu pourrais venir un instant ?
Je me leva et me dirigea vers lui en enlevant les dernières trace d’encre de la jupe de mon uniforme scolaire.
- Comme tu as pus le constater, le QG ne dispose pas de gardien. Pour l’instant, ça n’as pas vraiment d’importance, mais bientôt, je suis sûr que les octalings voudront reprendre les bazookarpes que nous leur auront pris.
- Je suis pas sûre de suivre, bredouillais-je timidement.
- Tu as raison. Venons directement aux faites : je sais que tu habites seule et j’aimerais que tu viennes viré ici pour assurer une garde constante du QG.
Abasourdie, je mis un instant à remarquer qu’il attend ma réponse.
- Heu je vais y réfléchir …
Il hocha la tête.
- Si tu dis oui, je ferais installer un nouvel étage rien que pour toi.
Je quitta le QG pour retourner chez moi. Là bas, je regarda les murs, le sol les fenêtres en me demandant que faire. J’aime bien mon chez-moi. Même si je n’y ai passé que deux ans, c’était ma première maison (hormis celle de mes parents). Elle signifiait pour moi le début de mon indépendance. Puis je me tourna vers le fenêtre où on y voyait la place. Même si j’aimais bien mon studio, ça proximité de la place me dérangeais. J’entendais toujours la même musique, diffusé par le hall, et les bagares des mauvais perdants me manqueraient pas. Le train aussi. Et puis je pourrais toujours venir en super saut. Je me baissa et appuya sur le bouton de mon bracelet transmetteur.
- Amiral ?
- Oui ?
- C’est d’accord.
- Très bien. Je m’occupe de tout. Tu pourras emménager demain, avec l’offensive.
- Merci.
Je me coucha sur mon lit et m’endormis en me demandant ce qui se passerait demain …
À suivre...
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