Pourquoi rien n’est jamais facile … Nous avions à peine eu le temps de prendre le Bazookarpe que des dizaines d’octalings arrivaient par l’entrée principale. 

-Vite ! S’écria Chloé. 

-Passons par cette porte, là-bas, répondit 2.

Bon, généralement, j’évite de passer dans une porte inconnu mais vu qu’on avait pas le choix. Je lança une fontaine au sol et courru suivre les autres. Nous arrivâmes dans un couloir qui aurait été d’un noir profond sans ma présence. Nous décidâmes de revenir dans la direction d’où nous sommes d’où nous sommes venu. Derrière nous, les octalings se rapprochaient. Sophie, qui avait le bazookarpe, tira plusieurs tornade tandi que Inkalo lançait un mur d’encre.

Nous fuyions en silence, même si 12 personnes qui courrent ne peuvent pas être silencieux. 

– Passez devant, dit 1. Nous les retiendront. 

Tandis qu’on repartait en laissant les rouleaux derrière nous, entendâmes Pierre crier :

-VOUS NE PASSEREZ PAS !

Tout se serait bien passé si on avait pas oublié un détail d’importance : Le compte à rebours du Bazookarpe. Nous courrions depuis 20 secondes quand Chloé pila net.

-Qu’es que tu fais !? Lui demandai-je.

-Vite par ! Répondit-elle en urgence.

-Hein ? 

-Deux …

Et c’est qu’au moment où elle fermit les yeux que je comprit. Je me jeta en arrière juste avant que le Bazookarpe explose, mais je senti quand même la déflagration d’encre m’éfleurer la main. Je le retourna direct mon Concentraceur Héroïque dans mon autre main regoin par mes autres coéquipiers. Au loin, nous entendions les cris des octalings. À l’évidence, Pierre et les autres on échoué. Et mon Haut-Perceur qui n’était même pas chargé à 10%…

-Quesqu’un a un missile tornade ? Demandai-je.

-Oui, me répondit Juliette.

-Très bien. Lance-le sur le bouclier du Bazookarpe. Quand il sautera, j’aimerais que vous fassiez un tir de barrage pour je puisse le prendre. Puis on repart.

-Ok, répondirent-ils.

Pour la première fois depuis que nous somme rentré dans cette base, un de nos plans a marché. Dès que je pris le Bazookarpe, je sus exactement dans combien de temps il explorerait. Nous repartîmes donc, moi en avant.

-Où est notre brèche ? Demandais-je essoufflé (courrir avec trentre kilo sur l’épaule, c’est pas de tout repos !) à l’amiral, qui courrai à côté de moi (pour un vieu comme lui, je me demande comment il est arrivé jusqu’à là).

-Dans le couloir à notre droite.

J’obliqua donc dans cette direction quand (évidemment !) je vis qu’il y avait des octalings devant notre trous de fortune. Sans plus attendre, Juliette oassa devant moi et se jeta sur les octalings. Sans fût liquidée sans grande peine mais celà m’avait permis de chargé mon Bazookarpe. Le couloir étant étroit et dégagé, les octalings fûrent tous liquidés (sextuple kill, cool).

Nous ressortîmes donc à l’extérieur mais il restait encore à faire une trentaine de mètres en vingts secondes. Je sais pas trop qui lança un traqueur droit devant mais je canala quand même et plongea dans l’encre déversé par ce dernier. J’avais parcourru le tière de la distance quand j’entendis un tornade passer dernière moi. Je m’arrêta le temps de voir se qui se passait et vis que j’aurai peut-être pas du le faire… Les octalings nous avaient regoins et l’un d’eux nous tirai dessus au lance-tornade (comment il l’a eu, lui ?) Je reparti donc avec toute la vitesse que me conféraient mes turbos calamars. Francis se décalana pour lancer un mur d’encre et 2 lança un deuxième traqueur qui, celui-ci , arriverai jusqu’au point de contrôle. Mais il ne me restait que 12 secondes. 

Je fonça, limite plus rapidement que quand j’ai eu la pieuvre géante à mes trousse. À deux secondes, je décalana et sauta sur un mètre et demi et jeta le Bazookarpe sur le point de contrôle (à 0.32 seconde de l’explosion). Dès que celui-ci toucha le point de contrôle, une vive lumière apparu, m’éblouissant. Lorsqu’elle disparu, le Bazookarpe avait disparu. Je me précipita dans le point de contrôle puis super-sauta vers le QG.

À suivre…