Chapitre 11 : Objectif localisé !

La base des octalings était un vieux​ bâtiment entouré de murs d’enseintes recouverts​ de barbelés. Mais cela ne fut pas un problème. L’amiral avait emmener une sorte de bombe datant sûrement de l’Antiquité humaine.

- Il y a longtemps, des petits squelette utilisaient ce genre de bombe pour détruire des murailles et permettre ainsi à leurs alliées de passer, dit l’amiral. Nous allons faire la même chose.

Il déposa l’antique bombe au pied du mur, alluma une sorte de mèche et s’écarta en courant (si on peut appeler ça courir). La bombe explosa mais au lieu de voir une grande tâche d’encre sur le mur comme je m’y attendais, je ne vis qu’un grand trou.

- Allons-y, déclara 2. Les rouleaux et les lanceurs d’abord !

Nous entrâmes donc dans la base par ce qui ressemblait à un couloir. L’espace était mal éclairé si bien que l’envie d’enlever ma capuche devenait de plus en plus omniprésente (les « des abisses » étant habitués à une lumière permanente, rien ne pouvais plus me stresser que de me retrouver dans un endroit sombre – comme c’est le cas).

Après avoir suivi le couloir, nous tombâmes sur une porte qui donnait sur une grande pièce. Celle-ci était vide. Il y avait juste une porte au fond. Pierre allait l’ouvrir quand Chloé l’arrêta :

- Attends !

- Quesqu’il y a ? Demanda 3.

- Vous trouva pas ça bizarre qu’on est vu aucun octaling, alors qu’on est sensé se trouver dans leur base ? Ceux qu’on a liquidé en arrivant devraient être réapparus, maintenant.

Elle n’avait pas tord. Les seuls explications à cette absence d’ennemis étaient que soit qu'ils étaient partis chercher des renfors, sois ils nous tendaient une autre embuscade quelque part. Lorsque j’exposa ma réflexion au groupe, l’amiral prit la parole :

- Malheureusement, je pense que tu as raison, 11. Je pense aussi que tu devrais enlever ta capuche. Un peu de lumière supplémentaires ne sera pas de trop pour déjouer une embuscade.

J’enleva ma capuche et la lumière orangée de mes tentacules se refléta sur les murs. Malheureusement cela révéla aussi les octalings cachés dans la pièce. Nous nous mirent directement en position de combat. Les rouleaux firent encore de nombreuses victimes en roulant sur les octalings sans réagir aux tires adverse. Et moi, cette fois bien au centre du cercle lançais des traqueurs au hasard. Une nouvelle fois l’embuscade fut déjoué, Juliette lança un sonar pour être sûr qu’il ne restait pas d'octalings dans la zone. Nous continuâmes donc d’avancer dans les plus-si-sombres couloirs de la base. Nous arrivâmes bientôt devant une porte blindée. L’amiral déclara :

- C’est sûrement là qu’ils ont du cacher le Bazookarpe. Personne ne sais comment ouvrir cette porte ?

- J’ai un logiciel pour craquer les codes dans mon squidphone, répondis-je en sortant ce dernier.

- Pourquoi tu as ça dan ton squidphone ? Demanda Sophie une fois que j’avais branché bon squidphone au pavé numérique de la porte.

- Comment crois-tu que j’ai fais pour fouiller dans les contacts de Francis ? Répondis-je en regardant l’expression de surprise sur le visage de ce dernier.

Une fois la porte dévérouillé, je lança un haut-perceur pour ne pas se prendre un « devines qui c’est ! » en rentrant dans la pièce. Une fois à l’intérieur, je vis que j’avais eu une bonne intuition, car une flaque d’encre orange se trouvait sur le sol, avec l’équipement de combat d’un octaling. Et devant nous se trouvait l’objectif de notre mission. Juliette poussa un cri de joie mais 1 l’intéropit :

- Rien n’est encore joué : il faut encore ramener ce Bazookarpe à notre points de contrôle.

Comme pour lui donner raison, toute les alarmes de la base se mîrent à sonner …

À suivre...

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