XVIII - Dix-huitième chapitre


Le sentiment de s'accrocher
Et celui de se décrocher,
A ce qui nous rappelle la réalité
Et celui de notre passé.

La vie de la défunte mère
Nous mène peu à peu sous terre
Et l'espoir encore se fait tard
L'Aube ne tardera pas à succomber
Au spectre de ce bel été
Passé.

Il y a l'amour, et la mort
Il y a la vie, et la solitude
Il y a le futur, et le passé
Mais le présent réunira ceux que tu chérira.

Innombrables guerriers dévoués à la force.
Sentinelles, ils ou elles, consentant à l'amorce.
Immobiles armes, contraction de l'âme.
Sous terre cherchant d'autres drames.

Le seul fil qui nous uni
Celui qui fait passer la vie
Te rendra ce qu'il ta prit.

L'Aube progressant
Plongé les enfants joyeux
Dans une pénombre odieuse ;
Nuages de lieu ;
N'ayant que pour origine
Le Feu.

Sous les yeux du changement
Se désespère le chant de la mouette
Et vole-t-elle, comment
Pouvoir être aussi traître.

Mira el futuro de nuestro mundo
Sabe que,
Toda la vida es para encontrar y
Ver nuevas cosas.


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