Bonus : Oscar

Cher Oliver,

Je ne sais pas quoi commencer cette lettre. Je ne sais pas si m'excuser ou te remercier en premier.

Tu as été un ami comme on en a besoin. Tu as été la pour moi lorsque Fanny n'était plus là et je m'excuse de t'avoir abandonné. Je ne voulais pas croire qu'à l'adolescence je puisse avoir un ami imaginaire. Malgré ça tu n'as jamais perdu espoir et tu venais si souvent me voir.

Bon, j'ai commencé  par mes excuses...

J'espère que tu pourras me pardonner.

Ton amitié m'est précieuse. Tu as été un frère pour moi.

Un frère que la vie à oublier de me donner et qui me la retirer aussi vite qu'elle me la donné.

Oliver, tu me manque tellement. Je n'ai plus les mots pour te dire à quel point ta présence me manque.

Je tenais à te dire merci. Merci d'avoir fait vivre mon âme d'enfant comme tu l'as fait. On peut dire que nous nous sommes amusés n'est-ce pas? 

J'en garde que de bon souvenirs tout est gravé dans ma tête et dans mon cœur. Tu fais désormais partie de moi.

J'avais besoin de te dire autre chose... quelque chose qui t'apaisera du moins je l'espère.

Peterson à été mis sous les barreaux. Fan et moi nous nous sommes battus corps et âme pour y arriver. Et nous avons gagner la bataille!  Cette fois c'est toi que nous sauvons du méchant dragon du lac.

Il payera à vie pour ce qu'il ta fait subir et ce qu'il a fait à ma sœur.

Tu peux être fière de nous. Nous nous sommes fière de toi. Après tout ce que tu as traverser tu es rester fort, tu n'as jamais baissé les bras.

Je t'admire mon Oliver.

Prend soin de ma petite sœur je t'en supplie. Elle me manque tellement.

Bon je vais devoir m'arrêter là Fan attend que je finisse de t'écrire.

Je ne te dit pas au revoir mon ami mais plutôt à bientôt car tôt ou tard nous serons a nouveaux réunis.

Alors, A bientôt.

Oscar.


Je plie ma lettre en quatre morceaux.

Je relève les yeux vers Fanny. Elle m'attend avec les deux ballons en main. Je me lève et m'approche d'elle.

- Tu es prête ?

Elle hoche la tête. Nous mettons notre lettre à l'intérieure du ballon et les gonflons d'Hélium pour qu'ils puissent montés au paradis.

- A trois nous lâchons. Dit-elle.

Nous levons notre ballons vers le ciel.

- Un... Deux ... TROIS !

Nous lâchons nos ballons ensemble.

Les regarder s'en aller me procure une drôle de sensation. Je suis triste et heureux à la fois.

Ce message sera transmit au delà de la barrière du réel.

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