Les froids

Les larmes ayant coulées,
Sur un jardin d'odorantes fleurs dorés,
Il fut enfin temps, non sans craintes et appréhensions
de franchir ce seuil, cette porte, emplie de détermination.

Quel air rafraîchissant ! Ce long sentier s'éternise.
Des craquements? Des ombres? Ou de moi se joue la brise?
Ce monde blanc, distrayant, englobe mes pensés,
Jusqu'à ce qu'a ce qu'un pont, de large barrière protégé,
Marque mon arrêt, tandis que se confirme timidement, une avancée autre, à mes arrières.
Apeurée, démunie, immobile, ces pas se rapprochent, je me cache dans ma crinière.
"Salutation humain, sais tu comment doit-on saluer un nouvel ami? Retourne toi, et serre moi la main."
L'effrois , puis la surprise, enfin, le rire...Quel petit malin.

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top