Chapitre 9

Il avait vu Sam. Il lui était tomber dessus totalement par hasard. Il n'en avait même pas parler à Martin. Par contre, il était retourner matin et soir dans ce petit café espérant secrètement le retrouver. Rien. Plus aucune nouvelle de lui pendant une semaine. Il pouvait faire des détour monstre juste pour espérer le croiser à l'arrêt de bus. Mais toujours aucune nouvelle de lui. Ce soir là, il était stationner dans la rue depuis près de deux heures. Le regard fixer sur l'arrêt de bus que Sam avait prit. Était-il vraiment descendu aussi bas? Visiblement oui. Il redémarra son auto et repris le chemin vers sa maison. Il devait sortir ce garçon de sa tête, son comportement devenait vraiment mal sain. Il vit un groupe de gens réunis autour de quelqu'un. Des cris et des injures était pousser. Hors de question qu'il laisse faire ça. Il se stationna et sortie de sa voiture. En s'approchant, il remarqua l'odeur d'alcool qui régnait. Les hommes était complètement bourrer.

"Petite merde, tu vas répondre quand on te parle!"

"Dis à ton proprio que si on a pas notre fric demain on viens lui refaire le portrait."

"Répond enfoiré."

Dylan s'arrêta à bonne distance. Ils était trois hommes tous plus en forme que lui. Était-ce prudent de s'en prendre à eux en pleine soirée. Le soleil commençait à disparaitre. Il entendit un bruit sourd et quelqu'un tomber au sol. Surement le type qu'il aggressait. Bon maintenant il faisait quoi? Il n'était pas suicidaire non plus. Il n'avait aucune envie de se battre contre trois gars en état d'ébriété, mais en même temps la folie de son passé le rattrapait. Il était à la recherche d'adrénaline lui aussi. L'un des hommes donna un coup de pied au type à terre qui se mit à gémir. Le même gémissement que celui de Sam. La panique le gagna. C'était Sam qu'on aggressait!

"Hey! Foutez lui la paix!"

Les hommes se tournèrent vers lui en titubant.

"Mêle toi de ce qui te regarde!"

"Ça me regarde, c'est mon ami que vous aggressez."

Les hommes commencèrent à s'approcher de lui. Ils était pas seulement saoul, mais défoncez. Soudain Dylan se dit qu'il avait l'avantage. Il évita le premier coup et fit tomber l'homme au sol avant de marteler le torse d'un autre qui recula. Le troisième se mit a maugré.

"Dit a Bernard qu'on veux notre argent."

Puis il partie suivit des deux hommes qui lancèrent des regarda noir à Dylan. Qui était Bernard? Il se précipita vers Sam qui était assis sur le trottoir, ses mains en signe de protection.

"Sam c'est moi. Ils sont partie. Relève toi."

Mais si Sam baissa les mains, il refusait de bouger du sol en tirant sur son chandail et gémissent.

"Sam, qu'est-ce qu'ils te voulaient ses gars? Pourquoi il s'en sont prit à toi?"

Si Dylan essayait de voir le visage de Sam, celui ci fuyait carrément ses yeux, le rouge au visage. Pourquoi était-il gêner? Dylan se recula et baissa les yeux vers son pantalon. Son coeur se déchira et il poussa un soupir.

"C'est pas grave Sam. Tu avais peur c'est normale d'avoir fait pipi. Viens je vais te ramener chez toi. Tu pourras te changer."

Il tendit sa main que Sam prit doucement. Ils marchèrent ainsi jusqu'a la voiture comme si c'était la chose la plus naturel possible. Dans l'auto Sam marmonna une adresse et Dylan se dirigea vers celle-ci. L'odeur d'urine commençait à envahir l'habicale et Dylan baissa les fenêtres subtilement pour aérer. Sam avait-il continuer de faire pipi au lit tout ses années? Si oui, la nouvelle l'attristait, il aurait espérer qu'il est réussi à régler cette part de lui avant de partir.

Il arrivèrent devant une maison très simple. Dylan suivit Sam derrière où le plus jeune débarrait la porte du sous-sol avant d'y descendre. Ils arrivèrent dans une petite cuisine. Sur le mur du fond était aligné différente porte et d'un côté un escalier pour monter au deuxième. Un gars était assis à la table et les regarda à peine avant d'aller s'enfermer derrière l'une des portes. Sam en choisit une et refermait derrière lui. Dylan ne savait trop quoi faire. Devrait-il rester, devrait-il partir? Après tout, on l'avait aggresser.

Il vient ouvrir la porte de chambre de Sam pour lui poser de nouvelle question sur l'aggression, mais quand il entra, il retrouva le garçon les fesses à l'air en train d'enfiler un nouveau boxer. Il quitta la chambre immédiatement rouge de honte. Oh merde, il a toujours ses belles fesses ronde qu'il avait dans le temps. Sont coeur battait à tout rompre et du sang commençait déjà à venir titiller son entre-jambe. Ressaisis-toi bon dieu. Tu es avec Martin. Tu ne fais qu'aider Sam à s'adapter. La porte du deuxième s'ouvrit à la volé et un homme dans la quarantaine descendit les marches en faisant visiblement le plus de bruit possible.

"Devanture, ta mon argent pour le loyer?"

L'homme s'arrêta devant Dylan avec un regard interrogateur.

"Tes qui toi?"

"Un ami."

"Ah ouais, mais la régle est simple. PAS D'AMIS DANS MES PIOLES DEVANTURE. PAIE TON LOYER ET FAIS SORTIR CE MEC D'ICI."

Il avait crier plus pour se faire entendre de par delà la porte que par rage. Dylan serra malgrer tout les dents. Sam était fragile, il ne fallait jamais monter le son en sa présence.

"Vous êtes le proprio?"

"As-ton avis gamin."

"Vous vous appelez Bertrand?"

"Bernard."

Ah oui, c'était le bon nom. Donc c'était à cause de cette homme que Sam c'était fait attaquer par trois hommes. Uniquement car il vivait sous le même toit que cet idiot. Pris d'impulsivité, il repoussa l'homme de la porte qui s'apprêta à rentrer.

"Ne vous approchez plus de lui. Des types l'ont attaquer, car vous leur deviez de l'argent!"

L'homme pâlit.

"Qu'est-ce qu'ils ont dit?"

"On s'en contre fou! Je ne vous laisserez pas mettre sa vie en jeu."

La colère contrôlant tout son être, il s'engouffra dans la chambre de Sam qui c'était assis à son bureau et dessinait. Dylan aggrippa un sac à dos dans un coin de la chambre et le remplis des vêtements de Sam. Il se rendit compte qur son ami n'avait pas grand chose. Il observa la chambre à la recherche de quelques choses d'autres pouvant lui appartenir. Son regard se posa sur des feuilles de papier accrocher au mur. Même adulte, il plaçait le dessin de sorte que personne ne puisse le voir. Il monta sur le lit et les décrocha sans même les regarders, puis viens enlevez le cahier à dessin de Sam qui poussa un... soupir de soulagement? Dylan prit à peine le temps de voir le corps ensanglanté sur la feuille avant de mettre ceux du mur avec et de fermer le cahier. Cette fois, Sam semblait prit de panique.

"Non. Ils ne doivent pas être là. Ils doivent être sûr le mur."

"Pas le temps Sam. Tu déménages. Je ne te laisserais pas une seconde de plus avec ce stupide propriétaire. Tu vas vivre chez moi."

Il mit le cahier et les crayons dans le sac qu'il referma et prit la main de Sam pour le faire quitter les lieux.

"Hey! Il part pas comme ça! J'ai besoin d'argent moi. Qu'il me paie au moins son loyer du mois prochain le temps que je loue à quelqu'un d'autre!"

Bernard eut droit à un doigt d'honneur et Dylan claqua la porte derrière lui et Sam. Dès qu'il furent à l'appartement, Dylan montra les lieux à son ami qui semblait sur les bord du dépression nerveuse avec des larmes qui coulait le long de ses joues.

"Sam, ça va. Tu vas vivre avec moi maintenant. Pas besoin de stresser."

"Mes dessins. Ils doivent aller sur un mur."

C'était donc ça? Il n'avait pas arrêter de penser à ses dessins du trajet?

"Mets l'ai sur lui de ma chambre, ça me dérange pas."

Aussitôt, Sam les sorties de son sac et les retirais de son cahier à dessin. Dylan sentie son téléphone vibrer. Martin venait de lui écrire. Lui et le reste de la bande prévoyait aller au bord du lac manger de la crème glacé, demain. Dylan lui répondit l'heure à laquelle il finissait et ils se scédulèrent une heure pour tous se rejoindre. Il entra ensuite dans sa chambre. Sam était en train de mettre la dernière feuille sur le mur. Il semblait c'être calmer, maintenant que ces dessins ne se trouvait plus avec les autres.

"Tu devrais les mettres de l'autre sens."

"Non. Ils sont parfait comme ça."

"Sam. Il commence à se faire tard, alors... tu peux prendre mon lit, je vais prendre le divan."

"On dort pas ensemble?"

La question surpris Dylan? Sam voulait dormir avec lui? Ils l'avaient déjà fait enfant, mais c'était avant qu'il est un chum. Il ne pouvait pas dormir avec Sam, sinon Martin aurait de bonne raison d'être jaloux. Mais en même temps, si Sam aménageait avec ici, il devait lui trouver un endroit ou dormir il n'y avait que deux chambres dans l'appartement. D'ailleurs, comment Edward allait prendre la nouvelle de leur nouveau colocataire? Le connaissance, il voudra surement que Sam paie sa part du loyer pour diminuer la sienne. Bon il verra ça demain. Pour le moment, sa journée lui rentrait dans le corps.

"Non Sam, pas cette  nuit."

De quoi pas cette nuit? Il envisageait vraiment de dormir avec lui une autre nuit? Oui, il trouvait Sam beau, avec ses grands yeux et son jolie derrière, mais il ne devait pas penser à ça. Il était en couple et il avait ramener Sam ici pour l'aider à s'habituer à la vie hors de l'orphelinat. Pas pour lui sauter dessus, même si l'envie y était.

"Repose-toi OK. On se reparle demain. Bonne nuit."

"Nuit Dy."

Dylan sourit. Cette bouffé de nostalgie lui plaisait. Il alla gagner le divan et s'y effondra épuisé. Malheureusement, il eut de la difficulté à trouver le sommeil.  D'ailleurs, où était Edward? Ne devait-il pas déjà être rentrer? Il allait avoir besoin de son soutien dans cette histoire. Il finit par se servir un verre d'eau, puis la curiosité l'emporta, il ouvrit la porte de sa chambre. Sam dormait en boule d'un côté du lit. Son visage n'était malheureusement pas si paisible que ça. Dylan vient s'asseoir sur le lit et lui flattait les cheveux, jusqu'à ce que les muscles de son visage ce décrispe. Après plusieurs minutes, Sam semblait enfin serein dans son sommeil.

Dylan se mordit les lèvres. Bon, il pourrait toujours rester pour s'assurer qu'il ne fasse pas un cauchemars ou pipi dans le lit. C'était rien de sexuel. Juste, pour vérifier. Et puis, personne ne serait. Ça ne serait pas si grave. Surtout s'il restait de son côté du lit. De toute façon, Sam ne devait pas être gay, alors aucun risque. Dylan finit pas s'insérer entre les couvertures. Il observa un moment Sam dormir. Il avait tellement envie de le prendre dans ses bras. Sentir son odeur et sa chaleur. Il se tourna dans le lit pour lui faire dos. Pense à Martin. Tu sors avec Martin. Tu ne fais que dormir dans un lit avec un pote. Comme un party pyjama, aucune arrière penser. Le cadran affichait néanmoins deux heures du matin, lorsqu'il finit par trouver le sommeil.

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