Chapitre 7
Sam Devanture n'existait sur aucun réseau sociaux. Du moins pas dans la ville ni c'est environ. Au fil, des jours, Dylan avait élargie ses recherches dans la province en entier. Toujours aucun résultat. Il était un peu stupide en même temps. Sam avait grandit dans l'orphelinat où toute acitvités dites non éducative était interdite. Il ne devait même pas savoir ce qu'un réseau sociaux était. Il regarda néanmoins son cellulaire espérant trouver la réponse à toutes ses questions.
"Honey, tu peux lâcher ton téléphone."
Dylan releva la tête vers Martin qui semblait décourager.
"Je te parle et tu ne m'écoute même pas. C'est blessant. Tu semble ailleurs ses derniers temps. Qu'est-ce qui va pas?"
"Rien, j'essaie juste de retrouver Sam, mais j'y arrive pas."
Le type au cheveux bleu leva les yeux au ciel en croisant ses bras sur son torse.
"Je te sors au restaurant et tu penses à lui."
"Capote pas, je m'inquiète c'est tout. Si tu l'avais connu tu comprendrais qu'il y a de quoi s'inquièter."
Martin vient tourner l'anneau dans son nez. Signe qu'il réfléchissait. Lorsqu'il le lâcha, il avait un sourire sur le visage.
"Tu veux qu'on aille à ton ancien orphelinat?"
"J'y suis déjà été, et il n'avait aucune info à me donner sur lui."
La bonne humeur de Martin disparut aussitôt.
"Quand?"
"Jeudi dernier."
"Sans moi."
Dylan fronça les sourcils et regarda surpris Martin.
"J'ignorais que tu aurais voulut venir."
"Bien sûr que j'aurais voulut venir!"
"Bah désolé, la prochaine fois."
"Car il y aura une prochaine fois? Si j'avais su que te faire parler de ton amour d'enfant te metterais dans cette état je me la serait fermer."
"Tu es sérieux? Tu es jaloux, maintenant?"
"Je suis pas jaloux!"
"Ça parait pas!"
Un silence gagna l'endroit. Ah oui, il était dans un restaurant et ils venaient de crier. Dylan poussa un profond soupir.
"Désolé Nam. Je suis à cran ses dernier temps. J'étudie pour aider les gens et l'idée que j'ai abandonner la personne qui avait le plus besoin de mon aide ne me fait pas plaisir."
Martin ne semblait pas calme pour autant. Il n'ajouta rien par politesse, mais bouillait encore en dedans. Oui, il était jaloux. Il ne l'avait jamais été de sa vie, mais le fait que Dylan fasse ses recherches dans son dos ne l'enchantait guère. Il savait très bien que la nuit il restait éveiller pour faire ses recherches. Maintenant il venait d'apprendre qu'il avait essayer de voir le garçon sans lui à ses côtés.
"Nam, je suis désolé."
"J'ai entendu la première fois."
Dylan soupira. Son copain était une vrai tête de mule.
"Je crois que je vais rentrer. Je feel pas bien en se moment. On se reprend pour le souper en amoureux."
Martin maugréa.
"C'est ça on se reprend."
Dylan déposa sa part de la facture sur la table, viens donner un bisou sur la bouche de son copain et rentra chez lui. Il partageait son appartement avec un dénommé Edward, étudiant en droit. Connaissant son coloc, il trouverait surement un joint ou deux dans sa chambre. Il n'eut pas à chercher longtemps, effectivement son tiroir cachait plus que quelques herbes. Il en prit un et alla l'allumer sur le balcon. Si Martin le verrai, il serait encore plus fâché, mais il en avait cure. Il avait besoin de relaxer. Ça faisait plus d'une semaine qu'il avait raviver ses souvenirs d'enfant et ceux-ci ne l'avait pas quitter.
Il avait presque fini son joint quand la porte du balcon s'ouvrit et une fille vient s'asseoir à ses côtés.
"Salut Jo."
"Ça va Dylan?"
"Merveilleusement bien, pourquoi?"
"Martin m'a texter."
"Génial."
"Vous vous êtes encore disputer."
"De quoi, ENCORE disputer?"
Josianne lui lança un sourire triste.
"Ne viens pas faire comme si tu n'avais pas remarquer. Ca fait quatres ans que vous êtes ensemble. Et les deux dernière année n'ont pas toujours été rose."
"Bah oui, tout les couples ont des chicanes. Reviens-en."
"Ce n'est pas de ça que je parle."
"Alors de quoi tu parles?"
Il finit son joint et viens l'écraser dans le cendrier qu'Edward avait mis à disposition.
"Je veux dire que ça fait deux ans que j'ai remarquer que votre amour était plus pareil que comme avant. La passion est morte et à laisser place à une amitié. C'est correcte, mais tu n'es pas heureux là-dedans, je me trompe?"
"N'importe quoi! On a coucher ensemble cette semaine."
"Et c'était quand la dernière fois?"
Dylan ne répondit pas. C'est vrai que son attirance pour Martin avait beaucoup diminuer. Ils l'avaient fait uniquement, car il ne se sentait pas bien et avait espérer remonter son moral, sinon, il s'en serait passé. Dire que la première année, il le faisait quasiment tout les soirs.
"Je l'aime, juste... plus comme les premières fois, mais ses normales ça."
"D'accord si tu le dis."
Ils restèrent les deux un moment en silence. Observant la ville sous eux. Edward arriva quelques temps après et fit du charme à Josianne avant de disparaitre dans sa chambre.
"Un vrai clown ton coloc. Vous devriez partir vivre en appartement toi et Martin. Ca vous fera peut-être du bien."
Dylan eu un rire nerveux.
"Martin en appart avec moi. Jo, c'est un fils à maman. Je lui est déjà proposer, mais il a insister qu'il était bien à sa maison."
Josianne sourit. Elle avait réussi à redonner le sourire à son ami.
"J'avais oublié. Elle paie encore son forfait cellulaire?"
"Elle lui paie encore ses fringues."
Les deux amis pouffèrent de rire. Martin jouait les rebelles avec ses percings et ses cheveux colorés, mais tous ceux qui le connaissait le moins du monde savait qu'il était le gros bébé a sa maman. A la seconde où il ne rentrait pas dormir pour rester avec Dylan, il l'appelait pour l'informer. C'était un côté de sa personne que Dylan aimait et trouvait énervant en même temps. Après un moment de silence, Dylan parla.
"J'ai été visiter mon ancienne orphelinat jeudi."
"Pour de vrai. Ça t'a rappeler des bons souvenirs?"
"Oui, toute était plus petit que dans ma pensé, mais, c'était bien."
"Bonne nouvelle, mais je présume que tu voulais me parler du petit garçon et non de la bâtisse. C'est quoi son nom déjà?"
"Sam."
Josianne lui sourit pour l'insister à continuer sur sa lancer.
"Il n'a jamais été adopter et j'ai se sentiment horrible de l'avoir abandonner."
"Ne pense pas comme ça. Ce n'est pas ta faute."
"Je sais, mais j'aurais pu demander à faire des tours. Prendre de ses nouvelles au lieux de juste le tasser dans un coin de mon cerveau et l'oublier à tout jamais."
Josianne se rapprocha de Dylan et viens le serrer dans ses bras. Même se contact lui rappelait sa vie d'avant maintenant. En fermant les yeux, il pouvait s'imaginer Jenny.
"Tu sais où il est maintenant?"
"Non. Il a eu 18 ans récemment et à quitter l'orphelinat."
"Tu vas le chercher."
"J'ai l'impression que si je ne le fais pas, il continuera de me hanter."
"Tu veux que je t'aide?"
"Comment?"
Josianne relâcha sa prise sur Dylan et se leva pour s'accoter a la rembarde.
"Tu as regarder les réseau sociaux?"
"Oui. Même avec son nom complet, sa date de naissance et la ville j'arrive pas à le trouver."
"Il ne doit pas être loin. On pourrait retracer le chemin de l'orphelinat jusqu'à l'opposé carrément de la ville voir si quelqu'un la vu. Il doit bien avoir un travail à quelques part."
"Tu te rend compte le nombre de commerce qui pourrait l'avoir engager? On les ferait pas un à la fois."
"Au téléphone ça se fera plus vite."
Dylan sentit un poids disparaitre. Josianne allait vraiment l'aider à retrouver son ami. Ils cherchèrent pendant prêt de deux semaines. Appelant magasin et restaurant pour savoir si un dénomme Sam Devanture travaillait là. Le découragement se faisait de plus en plus sentir et l'intérêt disparaissait peu à peu. Sa relation avec Martin continuait de se dégrader, car Dylan préférait passer ses temps libres sur ses recherches qu'avec lui. Chaque fois qu'il croisait un homme de son âge, dans la rue, à son travail, dans les restaurant et boutique, il ne pouvait s'empêcher de le regarder espérant que se soit lui. Chaque fois il était déçu. Il pouvait voir plus d'une centaine de personne défilé à la billeterie du parc aquatique et jamais aucune d'elle ne comblait ses attentes.
Un soir, sa mère organisa un souper. Il invita Martin. Il fallait bien qu'il lui prouve qu'il l'aimait encore. Malheureusement, la mère de ce dernier lui avait demander de l'aider à monter un meuble de bureau et il lui était impossible de lui dire non. Il se présenta donc seule chez ses parents et s'installa à table avec eux. Au bout d'un moment sa mère s'inquiètait.
"Mon coeur, il c'est passe quelques choses avec Martin?"
"Hein? Non. Il avait de quoi avec sa mère."
"Mais tu as l'air triste."
"Je pensais à Sam."
Son père se retourna vers lui pour prendre part à la conversation.
"Qui est Sam?"
"Un ami de l'orphelinat."
Sa mère se mit soudain à rire en lui lançant des regards coquin.
"Il y a un problème maman?"
"Non, je me souviens juste de cette ami."
"Tu le connaissait?"
"Non, mais je me souviens de la fois où nous sommes venus te chercher. Disons juste que ne n'ai pas été surpris plus tard quand tu nous a appris que tu été homosexuel."
Dylan se sentie rougir. En générale ses tâches de rousseur cachait cette couleur rouge. Il espérait que c'était le cas aujourd'hui.
"Comment il va?"
"Qui?"
"Sam."
"Oh. Aucune idée. En fait, c'est ce qui me dérange depuis trois semaines. J'essaie de le trouver pour prendre de ses nouvelles, mais je n'y arrive pas."
Ses parents l'observairent un moment en silence. Son père enchaina.
"Mais des affiches de porté disparu."
Dylan lui lança un regard froid, pendant que sa mère riait discrètement de la blague de son mari. Pitié, quel blague horrible et de mauvais goût. Ils finirent par changer de sujet de conversation. Il rentra tard le soir à son appartement pour retrouver Edward en boxer dansant une danse lascive seule dans le salon.
"Qu'est-ce tu fou?"
Edward se retourna un joint dans la bouche.
"Merde Ed! On avait dit pas dans l'appart."
Celui ci rit et continua de danser seule dans le salon. Dylan roula les yeux avant d'aller s'enfermer dans sa chambre. Edward était un type sympa, mais avec un peu trop de je m'en foutisme en lui. Dire que se mecs étudie en droit pour devenir avocat.
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