Chapitre 2

Dylan avait observer de loin Sam pendant une semaine entière. Il devait connaitre sa cible pour savoir où frapper. Ses talents de détective était finalement utile. Il avait trouver des informations pertinente. Premièrement, personne n'avait jamais entendu sa voix. Même pas les gardiennes. Ensuite, il n'allait jamais dehors ou au sortie du samedi. Il venait dessiner des trucs mort quand la place était libre, sinon, il s'enfermait dans sa chambre. Si Dylan voulait amadouer la bête sauvage, il allait devoir lui prouver sa bonne foi. Les enfants partirent jouer dehors et lui montait dans sa chambre prendre tout les crayons qu'il avait voler. De retour dans le salon, il hésitait. Comment allait-il lui donner ses biens voler. Au finale, il lui lanca carrément dessus.

Attend, tu lui as lancer des crayons en plein visage?

Les déposers, ça te tentait pas?

Vous faites chier. Comprenez bien, j'avais jamais rien fait de gentil de ma vie. Je ne m'étais jamais excuser ni avouer de tord. Les mots m'aurait bruler la gorge avant. Arrêter de m'interrompre!

Les crayons lui tomba dessus et aussitôt le jeune garçon au cheveux brun se mit en mode défense. C'était pas comme ça que ça devait se passer. Bon, avec les oiseaux il était rester assit des heures sans bouger. Il s'assit donc à un mètre des dessins qui jonchait le sol. Il resta là sans bouger pendant une heure sans que Sam quitte sa position de protection. Dylan finit par soupirer de découragement avant d'abandonner. Il revient le lendemain matin. S'approchait à moins de deux mètres et s'assissait en silence. Ce n'était du tout concluant. Sam lâchait ses crayons pour aller se mettre en boule dans un coin et ne le quittait pas tant que Dylan était là. Cela prit une semaine avant que Sam ne réagit plus de la sorte avec Dylan. Quand celui-ci venait s'asseoir comme à son habitude à ses côtés, Sam ne fuyait plus dans le coin de la pièce. Bon, OK, il restait immobile et ne réagissait plus à rien. La bête sauvage était à l'affut de tout, mais c'était un progrès selon Dylan.

D'ailleurs, il était temps qu'il fasse des progrès, car il s'empêchait carrément d'aller jouer dehors pour amadouer le petit. Tout les jours où Jenny travaillait, il allait la voir pour lui faire part de ses avancements. Elle lui souriait, le félicitait et le câlinait. Juste pour ça, sa valait la peine de continuer les efforts.

Et donc tu es tomber amoureux de lui!

Non! Arrêter avec vos interventions conne!

Calme toi Honey.

Je suis calme, mais me faire interrompre dans mon histoire ne me plait pas.

Quand Sam était enfermer dans sa chambre, Dylan devait dépenser l'énergie de plus qu'il avait. Surtout qu'il n'avait pas été jouer dehors, donc il en avait beaucoup. Il continua de se battre contre ceux qui se moquait de son physique et commenca aussi à se battre contre ceux qui s'en prenait à Sam. Dés que quelqu'un l'appelait Pipiaulit, il lui sautait dessus, griffes et dents devants. Il enchainait les punition et se fichait pas mal de savoir qu'il était privé de la sortie du samedi, car il pouvait passer plus de temps à amadouer Sam.

C'est quoi la sortie du samedi?

En gros, on était enfermer dans l'orphelinat 6 jours sur 7. Nous suivions nos cours dans une pièce spéciale et nous pouvions aller jouer dehors quelques heures par jour. Les seule fois que nous quittions les grandes clôture de notre prison était le samedi. L'activité proposer était toujours afficher au début de semaine et il fallait écrire notre nom dessus avant le mercredi pour dire si nous participions. Ça pouvait être aller au glissade d'eau ou de tube pour l'hiver, comme aller voir un film au cinéma ou manger au Mcdonald. Mais bien sûr, il fallait avoir été sage. Ce que je n'étais pas.

Sam ne participait jamais à ses sorties. Alors Dylan venait s'asseoir a ses côtés et c'était mit à parler tout seule pour le tenir compagnie. Voilà un mois qui c'était écouler. Mise à part que Sam ne semblait plus avoir peur de Dylan, il n'avait eu aucun contact physique ou verbale. La tête de Sam restait pencher au sol cachant à la vue de tous ses yeux.  Dylan perdait patience. Ça l'avait été plus efficace et rapide avec les oiseaux. Une fois il avait essayer de flatter la tête du brun, mais a peine le premier contact fait, celui-ci courut dans le coin se mettre en position défense et Dylan avait du recommencer depuis le début. Il avait aussi recommencer à se refaire pipi dans ses pantalons de peur. Longue et douce torture de tout reprendre au commencement. Une nuit Dylan se réveilla au milieu de la nuit. Sa vessie le menaçait et il se dirigea vers les toilettes des garçons. Il entendit la voix de madame Rose derrière celle-ci.

"Franchement! C'est la deuxième nuit de suite! Je vais te forcé à porter des couches si tu ne prend pas sur toi!"

Sa voix était menaçante, froide et cruelle. Comme toujours selon Dylan. Il entendit un enfant pleurer et il entra dans la salle de bain. La vieille peau tenait fermement Sam par le bras qui tentait de fuir en pleurant. Son pantalon et ses culotte tremper gisait à côté de lui le laissant fesses à l'air ainsi que le zouizoui. Madame Rose ne semblait pas du tout contente. Le tirant plus vers lui quitte à faire des marques sur son bras, elle lui tendit une débarbouillette mouillé.

"Lave-toi! Et arrête de geindre!"

Sam aggrippa le linge et viens le passer sur son entre-jambe en continuant de se lamenter. Le regard froid de madame Rose croisa celui de Dylan.

"Qu'est-ce que tu fais debout à cette heure Dylan?"

"J'avais envie."

"Et bien ne reste pas planter là et va au toilette."

Dylan serra les dents. Il aurait voulut lui sauter dessus, la grafigner, la mordre. Il n'avait jamais aimer cette femme et rare était les enfants de l'orphelinat qui l'aimait. Il alla s'enfermer dans une cabine en ruminant sa rage.

"Rhabilles-toi! Et je te jure que si tu refais pipi dans ton lit demain soir, je convainquerais le directeur de te faire porter des couches."

Dylan pouvait entendre les pleure discret de Sam. Elle allait tout gâcher les efforts qu'il avait mit! Il sortit de la cabine et courra vers elle. Lui donnant des coups.

"Lâchez-le! Vous êtes la pire de tous! Une vieille folle qui va finir sa vie seule!"

Awww! Tes trop mignon.

Tu as aggresser la mamie?

Oui, elle était toujours sur le dos de tout le monde et je l'haïssait!

Trop fort, mais je présume que tu en as baver après.

Plutôt, oui.

La dame finit par relâcher le poignet de Sam qui s'effondra à terre redoublant ses larmes. Il avait retrouver sa position defensive habituelle. La main de Rose s'éleva dans les airs et Dylan la reçut de plein fouet au visage.

"Petit gamin arrogant. Sam retourne te coucher et toi" elle aggrippa le bras de Dylan pour le soulever du sol" tu viens avec moi."

Sam ne bougea pas. Ses sanglots était étouffé dans sa position foetal, Dylan lui était trainer en dehors de la pièce. Sa joue était en feu et il se refusait a pleurer. Il ne donnerait aucune satisfaction à la dame, au contraire, il voulait lui faire payer. Il poussa un cris surpuissant. Elle l'intimait de se taire, mais il n'obéit pas. Bientôt, il eut réussi à réveiller l'orphelinat au complet. Des têtes endormie sortait des différentes chambre et les deux autres gardiennes de garde cette nuit là du venir prêter main forte pour tous les renvoyer au lit. Le chao était prit. D'autres enfants c'étaient mis à hurler pour énerver les gardiennes, certains courraient partout et d'autre profitait de la confusion pour commencer une partie de cache-cache. Allait-il regretter son comportement. Surement plus tard, mais pour le moment il ne pouvait que sourire. Il avait su jouer à la perfection pour montrer à cette madame Rose que c'était lui qui dirigeait ici.

Tu as raison, un vrai démon.

Je suis fier de toi Honey~

Merci, mais je me suis attirer de gros ennuis.

Le calme ne regagna l'endroit qu'une heure plus tard avec l'intervention de monsieur René. Il était le directeur de l'établissement. C'était un grand homme début trentaine qui avait succéder à son père à la tête de l'établissement. Monsieur René était le type d'homme pour toute les situations. Il ne montait le son que très rarement, car ce lui était inutile. Tous, enfants comme employé avaient cette fascination dans le regard quand il parlait. Les dames et les petites filles le trouvait dont attirant et les garçons voyaient un ami puissant en lui. Malheureusement, cette nuit là, il n'avait rien du sympathique homme qu'il était habituellement. D'une voix forte et confiante, il demanda le silence à tous. Ordonnait que chacun regagne sa chambre immédiatement et que le coupable de ce chao soit présenter devant lui. Dylan se mit a trembler. S'il rêvait secrètement que Jenny devient sa maman, il aurait adorer que Monsieur René soit son papa. Les chances était mince surtout qu'il allait baisser dans son estime une fois que Madame Rose l'aurait présenter devant lui. Le regard fâché de Monsieur René se déposait sur Dylan qui baissa la tête.

"Dans mon bureau, maintenant."

Monsieur René offrit une chaise a Dylan et laissa la vieille dame debout. En fait, il l'ignorait complétement.

"Dylan, pourquoi as tu fait une scène à cette heure avancer de la nuit."

"Car madame Rose était méchante avec Sam et moi.".

La femme en question ouvrit la bouche pour argumenter, mais d'un signe de main, Monsieur René la fit taire.

"Vous ne parlerez que lorsque votre tour sera permis. Exprime toi plus clairement Dylan. En quoi madame Rose qui est ici pour prendre soin de vous, a été méchant avec toi et Sam?"

"Sam a fait pipi au lit et elle lui criait dessus et lui serra le bras, mais Sam aimes pas qu'on le touche et il avait peur, alors je lui est dit de le lâcher et elle ma frapper au visage, alors j'ai crier pour qu'elle est des ennuies."

Il avait dit son argumentation sans prendre la peine de respirer pour prendre son souffle. Monsieur René leva un sourcil en fixant le petit garçon devant lui. Il reporta ses yeux vers son employé.

"Madane Rose, avez-vous oui ou non frapper Dylan?"

"Ce petit monstre c'est jeter sur moi quand j'aidais Sam à se changer et il c'est mit à..."

"Madame Rose, ayez la gentillesse de répondre à ma question. Avez-vous oui ou non frapper ce jeune garçon?"

"Il me donnait des coups me hurlant des injures et..."

"Madame Rose."

"Oui, car..."

"Suffit. Dylan retourne dans ta chambre te coucher. On discutera de ta punition demain quand tu sera reposer."

"Mais..."

"J'ai besoin de m'entretenir seul avec madame Rose. S'il te plaît ne m'oblige pas à réitérer mon ordre."

Dylan baissa le regard. Il allait encore être puni pour rien. Jenny aurait pris sa défense elle. Il retourna donc se coucher en trainant les pieds derrière lui.

Qu'est-ce qui est arriver avec Rose?

Je sais pas trop. On ne la pas revu pendant quelques semaines, puis elle est revenu.

Et toi? Ta punition?

Privé de sortie pendant aussi longtemps que madame Rose avait disparu.

Et donc, ca aider pour ta relation avec Pipiaulit?

Sam!

Même choses, mais c'est plus drôle l'appelait comme ca.

Grr... Oui, je crois que ça la changer des choses.

De nouveau privé de liberté, son passe-temps favoris fut d'aller s'installer au bord de la fenêtre pour commenter les activités des jeunes dehors. Pendant ce temps, Sam était à sa position habituelle a dessiner des dessins lugubre.

"Ils jouent a canoé-couleur."

Sam tracait une ligne de plus sur son dessin avec son éternelle couleur noir.

"La couleur ses rouges. J'aurais passer, mais pas toi. Regarde, j'ai du rouge sur mes souliers."

Dylan pointa ses baskets sans que Sam ne se retourna ou ne prête attention à ses propos.

"Marie ses fait toucher, elle est illiminé."

Dylan s'accoudait plus sur le bord de la fenêtre afin de mieux voir le jeu extérieur.

"La couleur c'est bleu. Tu aurais passer facilement, ton pyjama est bleu."

Sam viens noircir un corbeau empalé.

"Hahaha, il y en a un qui est tomber!"

Ce fut ainsi jour après jour, tant et aussi longtemps qu'il était privé de sortie.

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top