"Dylan! Dylan revient ici immédiatemment!"

Le petit garçon ignorait les injonctions de la femme et courut à l'intérieur de l'orphelinat. Un garçon, plus jeune l'avait de nouveau traiter d'affreux et il avait répondu par un coup de poing. Il savait qu'il allait se faire punir et n'en avait aucune envie. Les enfants était méchant entre eux. Avec ses cheveux roux foncé, ses tâches de rousseur et ses deux canine qui refusait de s'aligner dans sa bouche, il n'avait pas une figure avantageuse. Surtout que depuis toujours, une cicatrice barrait sa joue gauche sans raison évidente et que lorsqu'il fermait sa bouche, ses canines rebelle apparaissait entre ses lèvres.

Il errait dans la maison un moment. Maison, c'était comme ça qu'il avait toujours vu l'orphelinat. Il était arriver très jeune. Et ne l'avait jamais quitter. Il n'avait jamais rien connu d'autre. Sa vie avant cette endroit était un mystère. La seule chose qu'il possédait de son ancienne vie était un collier sur lequel un médaillon se trouvait. Le médaillon était gravé d'un arbre. Il entra dans le salon se disant qu'il pourrait écouter des bonhommes animés, quand il le vit. Sam était arriver à l'orphelinat le mois dernier et n'avait piper mot à personne depuis. Il était assis dans un coin de la pièce à dessiner sur des feuilles. Il était plus petit que Dylan, avait des cheveux bruns qui lui tombait au visage et personne n'avait jamais vu la couleur de ses yeux. Il pourrait se défouler sur lui. Tout le monde était dehors, personne ne saurait rien et le gamin allait en baver. Il sourit méchamment et s'approcha de lui.

"Hey Pipiaulit!"

Pipi au lit?

Oui c'était son surnom.

Pipi au lit, sérieux? Tu étais dont bien méchant!

Ok, c'était pas moi qui avait trouver ce surnom et je te signale que moi c'était l'affreux.

C'est pas une excuse pour appeler quelqu'un comme ça!

J'avais 11 ans bordel! Et puis il se pissait dessus trois fois semaines minimum. Il l'avait mériter son surnom.

Hahaha.

Riez pas les mecs.

Désolé c'est trop marrant. Je l'aurais appeler pareil.

Merci de votre soutien, maintenant je continu mon histoire ou vous avez d'autre critique à me faire?

"Je te parle, répond!"

Le petit garçon ne réagissait pas, surement perdu dans ses pensées. Dylan fit un pas en avant et lorsqu'il fut à moins de deux mètres, le corps du garçon, se contractait dans un rictus douloureux et il lâcha son crayon pour reculer dans le coin du mur. Gémissent, il plaça ses mains devant sa tête pour se protéger. Dylan figea. Il l'avait même pas toucher encore! Il allait encore se faire punir s'en avoir eu besoin de faire quoi que se soit. Il serra le dents. Aussi bien le frapper un peu, pour se rendre justice. Il fit un pas de plus en avant. Sam tremblait de tout son corps dans le coin de la pièce, son visage cacher derrière cheveux et main. Lorsque Dylan fut à moins d'un mètre, les poings serrer et transpirant la haine, il remarqua finalement le pantalon de se dernier devenir tremper. Dylan recula de dégoût. Dégueu, il c'était encore pisser dessus. S'il le touchait, il serait contaminé. Il baissait les yeux sur les dessins à ses pieds. Que des choses mortes. Fleur, oiseau, chat. Toute dessiner avec un crayon de couleur noir. Aucune couleur. Il prit les crayons au sol et partit en courant les cachers dans sa chambre. Il ne le toucherait certainement pas, mais il pouvait au moins le nuire d'une autre façon. Il mit les crayons dans un tiroir avant de sortir sa gameboy pour jouer à Zelda. Il sortit uniquement lorsqu'il su que le repas était prêt, mais arriver dans le réfectoire, une gardienne viens le trouver le regard sévère.

"Dylan! Après le repas rendez-vous en cuisine. Vous êtes de corvée de vaiselle pour vous être encore battu. Si vous tentez de vous dérober cette fois, les conséquences seront pire."

Dylan lui fit une grimace avant de courir se chercher un repas.

"On ne court pas à l'intérieur Dylan!"

Il l'ignorait de nouveau. Il ferait comme bon lui semble, il avait 11 ans, il était un grand garçon responsable. Le repas terminer, il tenta de s'éclipser dans le salon avec les autres jeunes. Bob l'éponge allait passer à la télé et personne dans la maison voulait le rater. Malheureusement, une gardienne lui empoigna le bras et le tira en cuisine.

"Vous êtes puni jeune homme. Aviez-vous oublié."

Il fit de nouveau une grimace avant de se débattre.

"Bien, continuez comme ça et nous vous priverons de tous. Enfermez dans votre chambre une journée entière."

Dylan serra les dents. Toujours à lui donner des ordres. Toujours à se penser supérieur à lui. Il ètait mieux qu'eux! Il valait mieux qu'eux! Il finit néanmoins par capituler apercevant sa gardienne Jenny. Elle était plus jeune que la plupart des gardiennes qui s'occupait d'eux. Elle était toujours douce et calme. Dylan était persuader qu'elle était ce qui se rapprochait le plus d'une maman, même s'il en avait uniquement entendu parler à la télévision.

"Dylan, tu viens m'aider à faire la vaiselle?"

"Oui, Jenny."

La vieille peau qui lui aggripait le bras serra plus fort sa prise.

"On dit madame Jenny. Montre du respect à tes ainés."

La douce femme approcha doucement, levant faiblement un bras.

"Soeur Rose, ça va. Je lui est permis de ne pas utiliser le suffixe madame. Lâchez-le qu'il m'aide."

La vieille dame relâcha le petit garçon qui lui fit une nouvelle grimace avant de rejoindre Jenny. Ils commencèrent la vaiselle en silence. Puis la femme rompit cette absence de son.

"Un crime à été commis dans l'orphelinat. Tu veux m'aider à le résoudre?"

Dylan souriait. Il aimait mettre son cerveau à la recherche d'indice. Disparition de muffin, vandalise sur un tableau. Il interrogeait tout le monde est trouvait le coupable à chaque fois. La moitié du temps, c'était lui qui l'avait commis. Bon OK, le trois quart?

"Sam a perdu ses crayons. Il ne peux plus dessiner. Il faudrait les retrouvers."

Dylan fronça les sourcils. Il avait commis le crime, mais ne voulait pas rendre les biens voler.

"Dylan pourquoi as-tu pris les crayons de Sam?"

"Il a cafter!"

"Non, tu viens de le faire."

Dylan fit une grimace à Jenny. C'était rare qu'il en faisait, mais il n'était pas content.

"Il c'était fait pipi dessus."

"Et alors."

"C'est dégoûtant."

"Dylan, j'aimerais que tu lui rendre ses crayons."

"Non! Il dessine que des trucs mort. Il a pas le droit."

"Dylan..."

"Moi je dessinerais ça et je serais punis!"

"La question n'est pas là Dylan."

"Si! Je suis toujours punis et les autres jamais."

"Dylan, tout les jours tu manque de respect à quelqu'un ou a un bien matériel. Voilà pourquoi les soeurs te punissent."

"Ludovic m'a traiter d'affreux! C'est pour ça que je l'ai frapper. Mais lui as pas été puni."

"Ludovic à dit ça à propos de toi?"

"Oui. Les autres enfants sont tout le temps méchant. C'est normale que je me défende. Ils disent que je suis trop laid pour avoir droit à une maman et un papa."

"Je vais voir pour Ludovic, promis. Est-ce que Sam aussi a été méchant avec toi? C'est pour ça que tu lui as voler ses crayons?"

Dylan se mordit la lèvre. S'il disait non, Jenny allait comprendre qu'il l'avait attaquer sans raison et elle serait déçu.

"Oui. Il m'a dit que je méritait d'être seul."

Jenny fronça les sourcils.

"Dylan, je n'apprécie pas que tu me mentes. Sam n'aurait jamais dit ça, il ne parle jamais."

Jenny semblait vraiment désaspointer. Dylan devait se rattrapper.

"Il parle pas au adulte, mais il est méchant avec les autres enfants. C'est pour vous manipuler!"

Wow! C'est toi le manipulateur! J'arrive pas à croire que tes dis ça.

Tu me déçois un peu Honey.

Hey! J'avais 11 ans, foutez moi la paix. J'arrête mon histoire si vous voulez.

Non, c'est beau, continue petit démon.

"Dylan, va dans ta chambre."

"Mais Jenny, je t'assure que..."

"Non Dylan. Ce garçon ne va pas bien. Il est traumatiser et je n'accepterais pas que tu nuise à sa réputation, ni à son intégrité ici. Il a besoin d'amour et de patience, pas de mensonge et de mauvais traitement. Va dans ta chambre."

Le petit rouquin disparut en courant. Maintenant Jenny aussi allait le détester. Il se vengerais sur Sam, alors.

Attend, mais qu'est-ce qui lui était arriver à Pipi au lit?

Vous allez continuer de m'interrompre dans mon histoire?

Dylan, on pose juste des questions pour mieux savoir.

Il était un des rares à être à l'orphelinat sans être orphelin.

Pourquoi?

Je connais pas tout l'histoire, mais ses parents lui on fait plusieurs abus, avant qu'on leur retire la garde.

Quel genre d'abus?

Je sais pas. Les gardiennes n'avait pas le droit d'en parler et c'était pas Sam qui allait me le dire. Il parlait jamais. Mais vu sa réaction quand on s'approchait trop de lui où qu'on montait le son, je dirais abus verbale, psychologique, physique et prions pour qu'il n'y avait rien de sexuel.

Tu lui as pas refait mal j'espère!

J'avais 11 ans et j'étais un démon. Je suis désolé de vous décevoir.

Le lendemain, il n'eut pas le droit de sortir de la maison durant toute la journée. Jenny avait surement plaider en sa faveur pour ne pas qu'il reste enfermé dans sa chambre, car il était libre dans la maison. Il joua sur sa game boy un moment avant d'aller dans le salon pour écouter la télévison. Comme à son habitude Sam était dans un coin à dessiner. On lui avait offert de nouveau crayon, puisque Dylan refusait de rendre ceux qu'il avait voler. Sam était la plus part du temps habillé d'un pyjama ample. Le rouquin hésita entre écouté des émissions pour enfant où embêter Sam. Il se souvient de la veille. À cause de lui, il avait eu des ennuis avec sa meilleure alliée Jenny. Il devait se venger. Il se dirigea vers Sam.

"Hey Pipiaulit!"

Aucune réaction du garçon qui continuait de gribouiller quelques chose sur sa feuille. En observant en détail, c'était une fleur morte. Dylan leva les yeux au ciel. Il n'aimait pas qu'on l'ignore ainsi. Il s'approcha de nouveau et la même réaction que la veille se produisit. À l'approche de Dylan, le garçon reculait apeuré dans le coin du mur se protégeant de ses mains. Dylan leva un poing, mais le rebaissa. C'était plate frapper quelqu'un qui se défendait même pas. Et puis, il avait l'impression qu'il n'en tirait aucune satisfaction. Il ramassa donc les crayons au sol et alla les cacher de nouveau dans sa chambre. Lorsqu'il redescendit, Sam était encore dans sa position de protection. Dylan alla à la fenêtre l'ignorant complètement et observa les jeunes jouer dehors. Lorsqu'il vit les gardiennes rassembler les enfants pour entrer, il se tourna vers Sam qui avait repris sa position assis face à ses dessins. Il était immobile à les contempler surement se demandant où était passé ses crayons.

Durant le repas, Jenny viens s'asseoir à côté de lui.

"Dylan, as-tu encore pris les crayon de Sam?"

"Non."

"Qu'est-ce qui nous est arriver? Depuis quand me mens-tu ouvertement?"

Elle connaissait la réponse, pourquoi perdait telle sont temps à lui demander.

"Dylan, j'aimerais que tu lui rende les crayons."

"J'ai pas envie."

"Dylan, s'il prenait ta gameboy, tu aimerais qu'il te le rend."

"Il touchera jamais à ma gameboy et il est bizarre de toute façon."

"Il n'est pas bizarre. C'est méchant de dire ça."

"Il parle jamais, il sort jamais, il se fait pipi dessus comme un enfant de deux ans."

"Dylan, tu aimes les animaux sauvage?"

"Oui, pourquoi?"

"Alors voilà ce qu'on va faire. Le plus grand détective de l'orphelinat à une mission. Je veux que tu découvre comment approcher Sam pour qu'il n'est plus peur de toi. Imagine que ses un chaton apeuré. Comment t'y prendrais-tu avec un chaton?"

"C'est pas un chaton et pourquoi je ferais ça?"

"Car un ami lui fera le plus grand bien."

"Je veux pas être son ami! Je suis détective, je résoud des enquêtes, c'est même pas un crime ce qu'il fait."

"Les détectives ne font pas que résoudre des crimes Dylan. Je suis sûr que tu sera capable. Je tes vus convaincres les oiseaux de venir te voir."

Jenny lui embrassa le front et rejoind les autres gardienne. Dylan tourna son regard vers Sam dans le fonds du réfectoire. Il mangeait son repas avec ses mains à une vitesse ahurissante, comme s'il craignait qu'on allait lui voler. Il avait réussi à amadouer les oiseaux avec de la nourriture en restant immobile pendant des heures. Les oiseaux l'avait finalement approcher découvrant en lui, toute autre chose qu'une menace. Il allait devoir essayer la même méthode avec Sam. Pas qu'il voulait devenir son ami, mais Jenny lui avait lancer un défi et il aimait les relever. Même si celui-là n'avait aucun rapport avec les crimes.