Bonus 4

Sam était seul dans une pièce complétement noir. Une porte au loin s'ouvrit laissant passer l'ombre d'un géant. Il se mit à trembler et chercha des yeux un endroit où ce cacher sans rien trouvez. Puis l'ombre ce divisa en plusieurs et une multitude de mains se tendit vers lui. Paralyser de terreur, il ouvrit la bouche pour crier, mais aucun son ne sortit. Les mains l'agrippèrent alors pour le tirer dans tout les sens et les larmes dévala ses joues.

***

Les yeux à moitié-clos et la tête complètement ébourriffé, Dylan mis les draps humide dans la laveuse.

"C'est pas grave, My. Ça faisait longtemps que tu n'avais pas fait pipi au lit."

Il bailla et ajouta le savon.

"Tu as fait un cauchemar?" Demanda-t-il en partant la machine et se tournant vers le brun qui regardait fixement le sol.

Il vient prendre une débarbouillette pour la mouiller.

"Tiens, tu te lavera. Je vais mettre de nouveau draps sur le lit et t'apportez un autre pyjama."

Mais Sam ne répondait plus. Son regard parfaitement réveillé et perdu dans le néant.

"On ne t'en veux pas Mymy. Regarde Namour il s'en contre-fou." Il pointe Martin qui dormait debout la tête contre le mur en ronflant.

Dylan observa Sam toujours immobile dans un coin de la salle de bain. L'endroit exacte où Dylan l'avait amener après c'être réveillé dans des draps mouillé d'urine.

"Je vais allez mettre des nouveaux draps sur le lit."

Il quitta la pièce sans pour autant pincer le nez de Martin qui sembla réagir.

"Non... Je dorma... a." Bafouilla-t-il en entrouvant les yeux pour regarder autour de lui. "Je... eu... retourner... dodo?"

Puis il referma les yeux avant de se remettre à ronfler. Sam releva la tête en l'observant avant de venir observer son pyjama humide. Il vient le faire glisser au sol ainsi que ses sous-vêtement et s'approcha du lavabo. Il tendit la main tremblante vers la débarbouillette et commença à se laver. Puis il la redéposa sur le bord de l'évier en regardant autour de lui. Soudain il se sentait gêner et tira sur le bord de son chandail pour cacher ses parties. Puis de l'autre côté pour faire de même avec son fessier.

Il tourna son regard vers Martin, dont la tête glissait peu à peu sur le mur plus son ronflement s'intensifiait. Sam tourna son regard dans le miroir et fit le saut en voyant son reflet. Il voulait ce cacher. Il quitta la salle de bain et alla dans la chambre. Il profita que Dylan se battait avec le draps contour pour prendre les premiers vêtements de son tiroir et les enfilers. Maintenant il se sentait moins en danger.

Des lamentations lui fit tourner la tête vers Dylan qui était coucher sur le lit, le draps contour entourer autour de lui.

"Je veux juste faire dodo." Se lamentait-il.

Sam baissa le regard au sol. C'était ça faute. Il c'était réveillé en panique et avait uriner immédiatement après malgré qu'il avait reconnu sa chambre. Il avait réveillé Dylan qui avait fait sortir un Martin réticent du lit. Maintenant Martin dormait debout proche de la salle de bain et Dylan était mort sous les couvertures de rechange. Il était 4h du matin et il avait envie de pleurer.

***

Sam s'assit devant la psychologue sans oser lever les yeux sur elle.

"Bonjour Sam. Comment a été votre semaine?"

"J'ai fait pipi." Dit-il timidement.

"Au lit? Ça faisait longtemps, il me semble. Tu as fait un cauchemars?"

Il hocha doucement la tête.

"À propos du passé?"

Il continua d'hocher la tête.

"Et savez vous pourquoi vous avez rêver à ça?"

Cette fois ci, il fit signe que non. La psychologue entendit encore un peu avant d'enchainer.

"Tu es encore avec les deux garçons."

"Oui."

"Et tout va bien avec eux?"

"J'ai ai réveillé."

La psychologue lui sourit.

"Oui, effectivement, mais je suis sûr qu'ils ne t'en veulent pas. Je me demandais plutôt, si vous aviez eu des contacts physique qui aurait pu te rappeler le passé et ce que le contact ta plu ou non."

Sam vient aggripper le pendentif de son collier.

"On ce fait des bisous et des câlins." Dit-il inquiet qu'on lui disent qu'il n'avait plus le droit.

"Uniquement ça?"

"Oui."

"Tu n'es pas trop serrer dans un lit avec deux autres personnes? Tu ne te sens jamais étouffer ou en manque de place?"

"Non, j'aime ça. Je peux les prendres dans mes bras." Dit-il content.

"Donc ce n'est toujours pas ça. Des éclairs dehors? Des bruits inconnu dans l'appartement?"

"Je ne sais pas."

"Bon. Ce n'est pas grave. Tant que ce ne redevient pas réccurent comme lorsque vous étiez enfant. Sinon, mise à part que vous vous êtes échapper au lit, vous avez passé une bonne semaine?"

"Martin à essayer de me teindre les cheveux, mais Dy la arrêter avant. Puis je suis allez voir le nouveau cabinet d'Edward. Il était très fier et ma demander une toile pour décorer son bureau. Il dit qu'il va me l'acheter, mais je veux lui offrir, mais il ne veut pas. Martin veut que je prenne son argent, mais Dy il veut que j'y aille comme je le sens."

La psychologue lui sourit.

"J'ai parler aux garçons. Enfant tu tombais souvent dans la lune. Ton corps était ici et ton esprit complètement ailleurs. Tu as fais ça cette semaine?"

"Oui."

"Après ton cauchemars?"

"Oui."

"C'est normal. C'est ton mécanisme de défense. Tu as du le développer très jeune. Ça te permet d'échapper à la réalité. J'aimerais savoir où tu vas, quand ça t'arrive. À quoi tu penses? Tu peux me le dessiner aussi." Lui dit-elle en lui montra les feuilles blanche et les crayons qu'elle sortait à chacune de leur rencontre. "Alors. Après ce cauchemars, quand tu étais dans la lune, où étais-tu?"

Le brun sourit brièvement avant de prendre le papier et le crayon, puis se mettre à dessiner. En quelques minutes, il avait fini et montrait son dessin fier. La psy observa le carrelage fissuré devant elle.

"Il y a du carrelage dans votre salle de bain?"

"Oui."

"Il est brisé?"

"Oui."

"Et c'était là que tu étais quand tu étais dans la lune."

"Oui."

La psychologue observa Sam un instant.

"Peux-tu me décrire ce à quoi tu pensais?"

"Je me demandais pourquoi il était briser. Qui l'avait briser. Est-ce que ça l'avait fait mal. Si quelqu'un était tomber dessus pour le briser, est-ce que la personne avait souffert?"

La psychologue hocha doucement la tête avant d'écrire sur sa feuille.

"Je peux garder le dessin?"

"Oui."

"Je peux vous montrez d'autre dessin que vous m'avez permis de gardez et vous me demandez à quoi vous pensiez quand vous l'avez dessiner?"

"D'accord." Dit Sam qui ne voyait aucun inconvénient.

Elle ouvrit un porte-document avant de sortir une feuille où le coin d'un fenêtre était dessiner avec plusieurs coccinelles morte.

"Je me demandais comment elle était morte. Est-ce que c'est car elles se sont trop cogner à la vitre? Car elle n'avait rien manger ou bu? Car il faisait trop froid? Est-ce qu'une coccinelle, ça souffre? Est-ce ça peut pleurer? Leur sang est de quel couleur?"

La femme redéposa la feuille avant de noter certaine chose puis montra une autre image. Cette fois ci, c'était une fleur toute simple.

"Je la trouvais belle."

"C'est tout?"

"Oui. Elle était dans votre bureau, alors je vous l'ai dessiner pour que vous la gardiez."

"Et celle-ci?"

Demanda-t-elle en montrant l'image d'un raton laveur écraser.

"Il est mort. Mais je ne suis pas sûr. Je l'ai vu en autobus, alors je ne pouvais pas vérifier. Mais il est mort. Il y a du sang et il était sur le dos. Écrasé. Sa mort a été instantannée vous croyez? Ou il a souffert? Il avait une famille? Des enfants? La personne qui la tuer, a-t-il fait exprès?"

La femme lui offrit un sourire triste avant de noter dans son carnet.

"Les garçons m'ont dit qu'il vous arrivait encore de dessiner des truc épeurant. Est-ce toujours tout de suite après être tomber dans la lune?"

"Oui."

La femme l'observa un moment en silence.

"J'aurais un devoir à vous donnez. On ma dit que vous étiez très bon en portrait. Qu'il y en a plein sur le mur de la chambre. Cacher bien entendu. Pour les protéger, c'est ça?"

"Oui. Je l'ai protège."

"Et pourtant, il semblerait qu'il n'y ai pas ton portrait. Tu ne crois pas mérité d'être protégé Sam?"

Soudain le garçon se figea. Ses muscles se contractèrent et son regard se fit fuyant.

"Moi, j'aimerais beaucoup que tu te dessine Sam. J'aimerais te voir comme tu te vois. Tu peux faire ça?"

Mais Sam ne répondait plus. Il fixait la tâche sur le tapis. Qui l'avait fait? C'était du sang? À cause d'une bagarre? Un simple saignement de nez? La personne avait souffert?

***

"Comment ça été chez la psy?" Demanda Martin avant de fourrer un biscuit dans sa bouche.

"Bien." Murmura Sam.

"Mmh. Tu nous le dirais si on pouvait faire quelque chose pour t'aider dans ta tête. N'est-ce pas?"

"Wow. Comment tu lui dis ça." Marmonna Dylan en dévisageant le garçon au cheveux bleu.

"Bah quoi. Si je peux aider. Tant que ses pas à 4h du matin."

"J'ai remarquer. Je me suis réveiller et tu dormais sur le divan."

"Tu n'avais jamais fini de refaire le lit. Tu dormais dans un tas de draps et Sam était cacher dans le garde-robe. À 4h du matin, je gère pas ça."

Dylan leva les yeux au ciel, pendant que Martin mâchait un second biscuit.

"Je vous aimes." Dit Sam en les regardant.

"Moa auzi." Marmonna Martin la bouche pleine.

Dylan pouffa de rire en le voyant faire.

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