chapitre 19
Chapitre 19
Los Angeles 28 mai
Jace
Putain je m'attendais à tout sauf à cette nana et son caractère à la con. Et de savoir qu'en réalité c'est son équipe, ça me fait bander, et oui les femmes de pouvoir ont toujours eu cet effet sur moi, et c'est pire que tout quand c'est elle, merde cette fille me retourne le cerveau comme ce n'est pas permis.
Ça fait cinq minutes qu'elle a quitté cette pièce mais je suis encore dans tous mes états et le fait que son parfum à la vanille flotte dans l'air ne doit pas y être pour rien, je la veux d'une telle force que ça en est risible.
Je suis tellement dans tous mes état que je ne peux pas aller dans le bureau du prés', je dois boire un verre avant.
En descendant les marches je croise Simplet et Dynamite.
—Putain Gust tu en tires une tête, tu devrais tirer un coup ça te ferait du bien.
Bordel si tu savais comme j'en ai envie, mais la seule que je veux est à des milliards de le vouloir aussi.
—Ferme la Simplet, et toi tu as une pétasse à sauter !
—Et Gust, je ne t'ai jamais vu comme ça, tu ne devrais pas lâcher ta haine sur Simplet comme ça. Allez, viens mon vieux, je te paye un verre et tu nous diras ce qui ne va pas.
—Oui Gust, Dynamite a raison ce n'est pas dans tes habitudes d'être comme ça, un verre te fera le plus grand bien.
Ils ont raison jamais je ne me suis comporté comme ça, enfin avec mes frères du moins. Mais que m'arrive t'il à la fin, plus je suis proche de Kessy plus j'ai un comportement de merde avec eux alors qu'ils n'y sont pour rien, même si je ne peux pas tout leur dire je vais vider mon sac peut être qu'ils auront les réponses à mes questions.
—Je vous suis les mecs.
Tout en descendant, je réfléchis à ce que je peux leur dire sans révéler le secret de ma tigresse.
Une fois au bar, nous commandons des shooter de tequila.
—Alors tu vas nous dire ce qui se passe dans ta tête Gust, ou il faut que je te tabasse pour savoir ?
Il est toujours dans la finesse Dynamite, il le dit mais ne le fera pas, après tout ce n'est qu'un simple membre et moi je suis le vice président.
—En fait, c'est compliqué.
—Quand c'est compliqué c'est qui y a une nana là dessous, ne me dit pas que notre serial baiseur est tombé amoureux car là je crois que le monde va s'écrouler.
—Mais Simplet je ne suis pas amoureux.
Déjà pour l'être il faudrait savoir ce que c'est, non, je suis simplement attiré physiquement par cette femme.
—Oui c'est ça alors dis nous pourquoi c'est compliqué alors car je ne comprends pas. En temps normal si elle te plait tu te la fais et tu passes à autre chose et même celles qui te résistent tu arrives toujours à te les faire alors pourquoi c'est si compliqué ?
Merde c'est la première fois que Dynamite fait une phrase aussi longue.
—Tu as raison mais cette femme n'est pas comme les autres, elle me prend la tête, me fait chier la plupart du temps et pourtant je ne passe pas une minute sans penser à son corps, à ses formes, à sa bouche, alors que je ne l'ai jamais touchée. Ça vous est déjà arrivé ça, les mecs ?
Je les vois qui se regardent avec un grand sourire, ce qui n'a rien de bon pour moi, car quand ils font cela c'est qu'ils ont mit le doigt sur un truc énorme et je dois dire que ça n'a rien de rassurant pour mon cul ça !
—Bon les mecs dites moi ce qui se passe dans votre cerveau de dégénérés car vous me faites peur là.
Je prends mon verre, le descends cul sec et en commande un deuxième.
—Gust je vais te dire un truc que tu ne vas pas aimer mec, mais c'est pour ton bien.
Que je n'aime pas quand Simplet fait durer le suspense comme ça.
—Accouche mec.
—Mon bichon, ce que tu nous décris là, c'est l'amour.
Non mais ils ont fumé la moquette ou quoi je ne peux pas aimer, je n'en ai pas le droit, et attend il m'a appelé son bichon ?
—Et Simplet je ne suis pas contre les homo mais si tu as besoin d'une queue ça sera pas la mienne alors oublie, je ne suis pas ton bichon, et non je ne suis pas amoureux c'est juste...
—C'est juste quoi Gust, dis nous car si ce n'est pas de l'amour c'est quoi ?
En fait je ne le sais pas moi-même, personne ne m'a jamais fait ressentir ça, mais il n'est pas question que je le leur avoue.
—Ce que je veux dire c'est que je veux la sauter c'est tout.
—Mais bien sûr tu sais quoi, saute la et après si tu as toujours envie et qu'elle t'obsède encore tu auras ta réponse.
—Ah oui ! Laquelle ?
—Que tu aimes cette nana !
—Bien sûr bon je vous laisse les débilosses, le prés' veut me voir.
—Ok Gust mais tu nous diras si elle est aussi bonne que tu le penses quand tu l'auras sautée dans tous les recoins de ton appart ; qui sait si tu lui suffis pas non plus, je suis là pour la combler.
Pour toute réponse à ces deux connards je leur fais un magnifique doigt d'honneur, personne à part moi ne peut la toucher, merde c'est que je deviens jaloux, ils ont raison je la saute et après tout ira mieux, c'est sûr.
Je remonte, et frappe à la porte du bureau du président.
—Rentre.
—Bordel Jace tu t'es perdu en route, Chris allait lancer un avis de recherche pour te trouver.
Oui c'est sa il veut me chercher, ce mec je l'aime pas et de savoir qu'il est proche d'elle me met encore plus en rogne
—C'est gentil ça mais je suis là ; tu voulais me voir prés', pourquoi ?
—Juste pour t'informer qu'à partir d'aujourd'hui tu feras équipe avec Nessa et que ça prend effet tout de suite car vous allez en planque devant l'hôtel de passe.
Putain, retourner là-bas me donne des hauts le cœur, mais être avec elle, c'est peut être ma chance après tout.
—Ok, quand partons nous ?
—Tout de suite.
Et là, ma belle passe devant moi. Au moment ou je m'apprête à la suivre, je vois l'autre connard me jeter un regard noir comme si il voulait me faire peur, mais tu sais mon pote tu peux me regarder comme tu veux, je la désire et je l'aurais ça tu peux en être sûr.
Le trajet se fait dans un silence de mort jusqu'à l'hôtel. Elle met tout en place, la tension est à son comble dans la voiture, moi qui n'ai pas l'habitude de la fermer je ne dis rien.
Par moment elle me regarde, et dans ces magnifiques yeux, je ne décèle pas grand-chose, cette fille est un vrai mystère.
Cette situation dure pendant plusieurs heures, mais quand tout d'un coup elle se débarrasse de sa veste et de sont haut, pour se trouver devant moi en débardeur blanc qui laisse entrevoir à travers le tissu ses tétons, c'est trop pour moi mon cerveau disjoncte.
—Hé, ma belle je ne suis pas contre un strip-tease, mais si tu me chauffes comme ça tu vas le regretter.
—Connard je ne fais rien pour te chauffer, je me mets simplement à l'aise pour pouvoir continuer à prendre des photos.
Oui mais juste ça ma belle tu me fais bander, je voudrais tellement qu'elle la prenne dans sa bouche pour me soulager, mais je ne peux pas lui dire ça comme ça.
—Ha oui tu ne veux pas mais tu m'excites ma belle.
Tout en disant cela je me rapproche d'elle, je vois que sont souffle devient de plus en plus erratique, putain je sais qu'elle a autant envie que moi.
Cette fois je décèle dans ces yeux, une excitation, ils sont voilés par le désir qu'elle a pour moi, les miens doivent refléter la même chose ; cette fille est un drogue pour moi il me la faut.
—Tu n'es qu'un obsédé Jace.
S'en est trop pour moi, je la regarde dans les yeux puis je regarde ses lèvres et sans m'en rendre compte je me jette sur celles-ci comme si ma vie en dépendait.
Sa bouche a le gout du paradis, même si au début elle ne me le rend pas, elle finit par céder à ses pulsions.
Je ne fais pas que l'embrasser ma langue fait l'amour à la sienne. Plus ça va, plus la chaleur de mon corps monte, cela ne l'empêche pas de gémir à mes caresses.
Alors que je m'apprête à passer à la vitesse supérieure, elle me pousse violement, au début je pense que c'est qu'elle veut prendre le dessus mais non.
Son visage ne marque plus le désir ni l'envie, mais le dégout.
— Jace, ramène-moi !!!
Mais que se passe t'il, j'ai fait un truc de mal, pour qu'elle me hurle comme ça dessus ?
—Princesse, si j'ai fait truc qui t'a déplu, dis le moi je ne veux que te faire du bien !
—Jace ramène-moi, ce qui s'est passé était une connerie, là je veux juste rentrer et vomir tout ce que j'ai dans mes tripes ok
Merde, jamais une nana n'avait dit que quand je l'embrassais ça lui donnait envie de vomir.
Quand je tourne la tête je vois que ce n'est pas moi quelle regarde mais l'hôtel. Mais c'en est trop pour moi, ma fierté en a pris un coup.
—Je vais te ramener, mais une minute Kessy, personne ne me traite comme tu viens de le faire alors je te ramène et je vais demander à ton oncle que je ne fasse plus équipe avec toi, car toi aussi tu me donne envie de vomir.
Elle ne me répond rien, et elle devient de plus en plus blanche, mais je suis trop en colère pour me rendre compte que ce n'est pas moi qui la fait réagir comme ça.
En rentrant je n'ai qu'une idée en tête c'est sauter la première fille qui me tombera sous les mains, et il se trouve que c'est sa collègue Lola, mais je m'en contrefous j'ai besoin de baiser sauvagement.
Je m'approche d'elle, je sais de la façon dont elle me regardait l'autre jour qu'elle ne me dira pas non.
Je m'approche d'elle et lui dit à l'oreille.
—Viens avec moi j'ai envie de toi salope.
—Moi aussi j'ai envie de ta queue.
Elle et moi nous allons dans une des chambre faite pour ça, une fois à l'intérieur je lui laisse le temps de rien, je lui arrache sous pantalon lui déchire son string, je m'éloigne juste le temps de mettre une capote et m'enfonce en elle.
Je suis brutal, je ne veux pas de douceur je veux juste tout oublier, mais même si j'y vais fort, elle a l'air d'aimer ça car elle gémit, elle hurle.
Une fois mon affaire terminée je la laisse là, mais quand je sors de la chambre je tombe sur Kessy.
Je vois des larmes qui perlent sur ses joues, putain de merde je viens faire la plus grosse connerie de ma vie.
Je n'ai pas le temps de dire quoi que ce soit qu'elle s'enfuit, et là l'autre pétasse sort de la chambre.
—Ne t'en fais pas pour elle, si elle a besoin d'un coup vite fait, je suis sûre que Chris se dévouera comme d'habitude.
Hein ! Elle vient de dire quoi, là?
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top