Bonus
Cela faisais déjà plusieurs heures que le médecins était au chevet de la belle blonde afin de soigner au mieux sa blessure qui était beaucoup plus profonde qu'on aurait pu l'imaginer, étant ressortie, la balle a fait d'assez gros dégâts, tout comme les draps en soie qui avaient pris une teinte rouge foncée.
Une immense douleur s'empara d'elle, ce qui avait fait ouvrir subitement ses yeux dans un long cris de douleur, une main s'était alors posée délicatement sur son front et de doux murmure italiens lui étaient parvenu à l'oreille. C'était une vieille dame plutôt âgée mais qui vous donnait envie de se blottir contre elle pendant qu'elle vous chante une berceuse.
Celia était perdu et ne savait pas trop où elle se trouvait, elle avait sentie une drôle d'odeur, un parfum qui n'était pas le siens ni celui de son petit ami, et pourtant, il était si enivrant qu'elle ne dirait pas non pour la sentir encore des heures, sans doute un délire due à la douleur qui était bien trop importante.
Un homme qu'elle n'avait jamais vue lui avait administrer une drôle de lotion afin de la calmer un petit peu.
Malgré tout, elle n'arrivait pas à enlever de sa tête le visage de cet homme si beau et impure. On peut très bien imaginer le nombre de victimes qu'il avait laisser derrière son passage rien qu'en le regardant dans ce regard si sombre mais beau à la fois.
Quelques instants plus tard, ses paupières fut lourdes au point qu'elle ne puisse plus combattre puis elle avait sombrer dans la plénitude et le rêve où seule Celia en était le maître de la situation..
*****
Il faisait sombre dans cette petite pièce seulement éclairée d'une petite lumière qui, accrochée au plafond, donnait un certain romantisme par sa luminosité qui avait été sans doute réglée pour qu'elle soit ainsi. Malgré la pénombre, on pouvait repérer deux personnes assises près d'une belle table en verre face à une immense baie vitré qui donne une vue imprenable sur un mélange chaud de couleur.
La belle blonde semblait plutôt gênée par la situation, peut-être n'avait-elle pas envisagée ceci ? Après tout que lui était-elle arrivé pour se retrouver ici, vêtu d'une robe longue rouge décolleté dans tout son dos pour s'arrêter à l'arrête de ses fesses, laissant à son partenaire une vue magnifique sur la courbure parfaite de son dos, quelques grains de beauté se voyaient par ci par là, ce qui donnait l'eau à la bouche à cet homme qui est réputé pour aimer les beautés pur.
- Parlez-moi de vous Celia.
Cette dernière avait levée les yeux vers son interlocuteur un peu surprise, elle ne sait pas vraiment si elle avait envie de parler d'elle en compagnie de cette personne qui la regardait avec tant d'intensité.
- Il n'y a pas grand chose à dire sur moi. Avait-elle répondu en portant son verre de champagne à ses lèvres.
Le grand brun la regardait avec appétit et avalait avec délections chaque paroles qui sortait d'entre ses lèvres.
- Savez-vous qui je suis Mademoiselle Capri ?
Était-ce un piège ? Sans doute, mais quelques choses en elle la poussait à rentrer dans ce jeu de séduction de cet homme.
- J'en ai ma petite idée oui.
- Et vous n'avez pas peur qu'il vous arrive quelques choses en ma compagnie ?
Elle avait fermé les yeux quelques secondes pour reprendre le contrôle de son corps qui à très vite réagit aux son virils de la voix de cet homme si indomptable. Lorsqu'elle les avaient ouvert de nouveau, ses prunelles bleues s'étaient plantées dans la noirceur de ce latino qui ne semblait pas aimer perdre le contrôle de la situation.
Elle l'avait examiné à son tour avec sa bouche légèrement entre ouverte cherchant quelques broutilles de phrases pour combler le vide .. mais elle n'arrivait pas a trouver les mots... Allongée dans le lit son visage affichait la douleur et se battait avec la réalité... Mais dans ses songe, il en était tout autrement, l'homme en face d'elle ne lui faisait pas peur et n'avait rien d'intimidant....
- Pourquoi ? Devrais-je avoir peur de vous ?
Son petit sourire en coin de lèvre ne lui plut pas réellement, aussi sexy qu'il ne soit, il aimait être le maître de la situation même lorsqu'il s'agit des femmes.
Ce brun sexy s'était lever et s'était placer derrière son invité, il ne savait pas vraiment comment elle est venue ici, mais une chose est sur : Il n'était pas prêt de la laisser repartir d'ici en un seul morceau.
Il s'était tourner vers elle et admira la peau nue de ses épaules puis de ses omoplate et pesta qu'elle soit encore assises contre le dossier de sa chaise pour ne pas pouvoir plus admirer
- Cela est plutôt aguicheur de venir dans mon domaine si peu vêtu aussi douce que vous êtes sachant qui je suis.
Ses doigts traçaient une ligne imaginaire le long de son cou très vite suivit par ses lèvres, Celia était tétanisée mais adorait ce qu'il était entrain de faire malgré que son cerveau lui disait sans relâche de partir.
Cette dernière s'était lever à son tour pour se planter devant l'homme le plus maléfique qu'elle n'est connu qui resta émerveillé lorsqu'il vis la petite ouverture discrète entre ses seins.
Cette femme lui voulait la mort, sinon pourquoi se serait-elle vêtue ainsi ? Et pourtant il n'arrivait pas à la comparer à ses putains, qui portaient encore moins de tissus sur elle avec qui il s'amusait lorsque l'envie lui prenait.
A son tour la jeune femme voulait faire monter la pression, montrer qu'elle aussi pouvait être maitresse de la soirée. Quelques battements de cils, les lèvres entre-ouvertes, et une main qui passait dans sa chevelure épaisse donnait l'impression de perdre le contrôle, alors qu'elle contrôlait à la perfection la situation. Le regarde que lui lançait l'homme lui prouvait bien qu'il était tombé sous la charme de cette belle blonde.
- Vous savez avec qui travaille Mario n'est-ce pas Celia ? Ce n'est pas qu'un simple bon petit flic qui suit les règles comme tous le monde.
Elle reculait de plusieurs pas comme frappée par ce que son interlocuteur lui avait dit. Comment était-il au courant des manigances de Mario ?
- Comment ?...
- Allons ma jolie vous le savez pourtant non ? Je suis d'un milieu où tous les mauvais garçons à la mauvaise réputation sont dans ma liste. Répondit l'homme debout en face d'elle qui la détaillait de haut en bas en affichant un sourire sardonique.
Elle n'était pas encore prête à lâcher des informations et il le sentait, et il devait se l'avouer, une toute autre envie lui était passée par la tête
- Mais nous ne sommes pas là pour parler de cela n'est pas ma jolie ? J'aimerais énormément finir la soirée ailleurs afin de découvrir ce qui se cache derrière cette barrière de tissus si tentante.
Un sursaut de douleur l'avait fait revenir à la réalité quelques secondes, mais pas assez pour qu'elle ne retombe pas dans ce bonheur surréaliste.
La soirée n'était pas encore prête de toucher à sa fin, elle avait accepté sans vraiment savoir pourquoi son invitation pour finir la soirée. Son corps avait parlé pour elle, elle ne pouvait pas le nier, elle avait une irrésistible envie que ses mains larges touchent chaque centimètres de sa peau, que ses lèvres frôlent la peau de son ventre, ses seins... Un long frissons d'envie s'emparait d'elle, elle le savait, elle était fichue et allait être l'une des nombreuses victimes de cet homme puissant.
Une fois pénétré dans l'ascenseur, le beau brun dominateur n'a pas attendu très longtemps pour coller son torse musclé contre le dos de cette douce donzelle fragile, un de ses bras enlaçait ses hanches fines tandis que l'autre traçait, du bout des doigts et lentement, une ligne le long de ses côtes afin de l'incité à coller ses fesses contre son bassin où son sexe commençait à réclamer qu'une seule chose : elle toute entière.
Il n'avait pas encore appuyé sur le numéro de l'étage, il souhaitait s'occuper d'elle ici, lentement et sensuellement, qu'elle le supplie de continuer et qu'elle lui saute dessus une fois avoir pénétré dans le salon.
elle laissait ses doigts écarter plusieurs mèches de ses cheveux de façon à ce que ses lèvres pulpeuses puisse embrasser la ligne parfaite de son cou, sa tête s'était penchée machinalement sur le côté lui donnant un meilleur accès à sa découverte magnifique de chaque passerelle de sa peau.
Elle avait sentit un gémissement grandir en elle lorsque la bouche de ce diable en personne se dirigeait vers l'une de ses oreilles, ses dents lui avaient mordit son lobe la faisant entre-ouvrir ses lèvres. L'une de ses mains s'était glisser sous sa robe pour remonter lentement, très lentement vers son tanga qu'elle avait mis sans doute des heures à choisir le plus beau, et le plus sensuel alors qu'elle savait qu'il ne resterait pas longtemps sur elle.
(*1)- Mi rendi matta dea. Lui susurra-t-il à l'oreille.
(*1) : tu me rend fou déesse
Qu'est-ce qu'elle aimait cet accent italiens qui est très prononcé chez lui, Mario ne lui faisait pas autant d'effet, elle avait toujours aimer qu'il la touche mais pas autant que cet homme. Il était pourtant si dangereux, si impitoyable, tel un félin qui traque sa proie avant de la tué lentement pour se languir de sa victoire.
Quant à lui, il aimait qu'elle se laisse toucher, il avait le contrôle et il adorait ça. Puis, il entreprit à enlever ce bout de tissus qui lui servait de petit culotte, ce dernier semblait diablement sexy : entièrement en dentelle, du moins les partis qu'il avait touchés, il à pu constater qu'il ne s'agissait pas d'un string, tant mieux il avait horreur de ce genre de lingeries, et puis cela était beaucoup trop vulgaire pour une fille si délicate qu'elle...
Ses lèvres continuaient son ascension vers sa peau dénudé de son épaule pendant que sa main caressait l'intérieur de ses cuisses avec délicatesse.
- Giovanni.. Gémit-elle malgré elle.
Il n'avait pu s'empêcher de lâcher un râle de plaisir en entendant ce son s'échapper de cette bouche dont il rêvait de manger avec faim.
Une sonnerie de téléphone les fit arrêter net, ce qui lui avait permis de reprendre un peu son souffle, Giovanni lâcha de nombreuses insultes en italiens et avait répondit d'un air féroce à son interlocuteur qui ne semblait pas vraiment au courant du programme de son patron. Il avait horreur d'être interrompus surtout dans un moment pareil.
(*2)- spero che hai una buona ragione di interrompermi !
(*2) : J'espère que tu as une bonne raison de m'arrêter !
Bien sur qu'il avait une bonne raison, ses hommes ne risqueraient jamais leurs vies pour l'appeler à une heure si avancée, ils n'étaient pas vraiment le genre d'homme à appeler pour juste faire la causette, ils n'avaient pas vraiment le temps pour ça.
Voyant que son hôte semblait être plutôt très occupé, Celia examinait au peigne fin la boîte métallique dans laquelle ils se trouvaient. Elle avait repérer qu'aucuns numéros n'avait été sélectionnés, sans doute un oublie de sa part ou un souhait de commencer dans cet endroit, une petite teinte rosé s'installait sur ses joues. Ses yeux remontaient lentement vers le plafond, elle avait remarquer une caméra, Mon dieu pensait-elle, était-il au courant que son ascenseur était munie d'une caméra ? Bien évidement, c'est sa propriété il est au courant de tout.
Elle avait regarder sans un mot Giovanni appuyer sur le bouton du 3 ème étage sans couper sa communication, cela semblait plutôt important... Durant la monté, elle s'était laisser imaginer ce qui c'était arrivé s'ils n'avaient pas été interrompus, l'homme derrière son écran aurait eu un sacré spectacle, mais est-ce que Giovanni aurait continué son ascension à enlever ses vêtements ? Après tout elle avait bien faillit se retrouver sans petite culotte quelques minutes plus tôt. commencer ses ébats sexuelle dans un ascenseur était en quelques sortes un de ses fantasmes : Avoir cette craintes que la porte peut s'ouvrir à tout moments sur des personnes ou encore être observé par des yeux pervers d'un homme qui surveillait qu'aucuns problèmes n'est à déclaré.
Ses joues passaient du rose aux rouge, ce qui l'obligeait de se tourner de sorte à ce que le grand brun ne puisses pas remarquer qu'elle se permet d'avoir des pensées peu catholique près de lui. Mais sa tentative était un échec, Giovanni n'avait pas pu s'empêcher de constater le changement de comportement de cette déesse et suivis la direction dans laquelle ses yeux bleu se dirigeaient. C'est vrai qu'il n'avait pas pensé à cette stupide caméra qu'il avait souhaiter installer même s'il sait que lui seul peut la visionner de son bureau afin de surveiller les personnes qui se rendent chez lui.
Il commençait à perdre patience et en avait plutôt rien à faire de ce que son homme lui disait même si cela était plutôt important. Il avait trouvé des informations importantes sur cet enflures de Mario, mais ce soir il ne pensait qu'à cette femme et son corps de rêve étaler sur son lit où même ailleurs l'appelant à une folle danse intime jusqu'à épuisement.
Un petit bip avait fait sursauter Celia qui n'osait pas réellement bouger de la place où elle se trouvait, Giovanni quand à lui pénétrait à grande enjambées dans son salon afin de détacher cette cravate devenue trop serrée pour lui et avait fait voler sa veste vers son canapé non loin de là. Il se dirigeait ensuite vers son bar tout en remontant légèrement ses manches sur ses avant bras, il avait besoin d'un remontant pour se remettre les idées en place, il devait détruire cette femme et non la désirer autant.
Il avait bu son premier verre d'une traite sans pouvoir défaire ses yeux sombre de cette femme qui rentre avec méfiance dans cette immense pièce. Putain qu'elle est belle pensait-il, et terriblement bandante, d'ailleurs son sexe semblait être de plus en plus à l'étroit dans se pantalon de costard bien trop serrer pour ce genre de choses...
Au diable les affaires, il avait envie de cette femme et comptais bien se délecter du plaisir qu'il allait lui procurer.
sans un mot de plus, sans un regard ni un geste déplacé, il l'avait fait rentrer dans son grand appartement..pour regarder sa chute de reins se balancer devant ses yeux. A peine avait-elle franchit le seuil que tout avait basculé
(*3) - Ho voglia di voi Celia
(*3) : j'ai envie de vous Celia
(4) - cosa stai aspettando che ti prenda cura di me ?
(*4) : Qu'attendez-vous pour vous occupez de moi ?
Il ne lui avait pas fallut une phrase de plus à Giovanni pour plaqué Celia contre le mur de façon à sceller leur lèvres d'une manière animale. Il essayait par tous les moyens de lui ôter cette robe qui l'avait tant tenter durant toute la soirée.
Elle se laissait se faire déshabiller en sachant pertinemment qu'elle n'avait pas la force de luter contre cet homme, elle avait envie qu'il la touche ainsi depuis les premiers jours, dans ce bureau bourré d'ordinateur à l'atmosphère noire et glaciale.
Elle n'avait pas vraiment pue retenir un gémissement lorsque ses mains empoignait avec force ses seins afin de faire de petits mouvement circulaires pendant que ses lèvres déposaient des milliers de baiser sur sa peau déjà bien enflammée.
Elle aimait comment ses lèvres touchaient son corps, ses mains qui empoignaient ses seins pendant que son sexe grossissait au fur et à mesure que leur corps se touchaient contre ses cuisses.
Les habits de l'homme ainsi que ceux de la belle blonde avaient finis par rejoindre la robe de la tentatrice. Leur danse sensuelle avait commencé d'abord lentement, ce qui avait procurer à Celia un immense plaisir lorsqu'elle avait sentie son sexe entré avec délicatesse en elle. Elle perdait pied et aimait sentir les hanches de ce dieu la prendre au fur et à mesure avec force et envie.
Elle s'était réveiller dans un long gémissement de plaisir sans vraiment savoir s'il était parvenue de son rêve ou de la réalité. Dans tous les cas lorsqu'elle avait réussit à ouvrir les yeux elle avait sentit cette douce présence auprès d'elle.
Giovanni était la, assis près d'elle sur un tabouret tout en la regardant avec une soif envie d'assouvir cette envie qui l'avait soudainement frappé en voyant cette femme se tordre dans tous les sens jusqu'à montrer des petites réactions dans ses zones sensibles visibles.
Il n'arrivait pas à lâcher son regard de cette pauvre petit biche blessée qui semblait complètement perdu par ce qui venait de se passer.
Une chose est sur : il désirait cette femme.
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Lilou :
Je remercie @cythialou d'avoir travaillé ce chapitre.. Et oui le mérite te revient.. Comme quoi parfois quand l'inspiration n'est pas là et bien il n'y a rien à y faire...
N' oubliez pas de laisser une petite étoile 🌟.. Merci..
Lilou
Cinzia :
Alors qu'en pensez-vous ? Cela méritait d'attendre non ? J'espère que cette petite surprise vous aura plu et mis l'eau à la bouche pour la suite de l'aventure.
Comme je l'ai indiqué avant il n'y aura que cette partie en privé donc la suite sera en public ;)
Très bonne lecture et très bon week-end ensoleillé :)
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