chapitres 2

Sous l'emprise de ma meilleure amie.

Chapitre : 2

    Mes yeux sont restés braquer vers le haut quand soudain j'ai vu la tête d'Isaac descendant les marches des escaliers.

  Il était vêtu de son ensemble costume, qui lui allait comme un gant, il dévalât les marches avec tellement de charisme que j'ai d'abord pincer ma chair pour me rassurer si je ne rêvais pas. Mais non, il était là juste à quelque centimètre de moi.

  J'ai commencé à le détailler de haut en bas, il avait un sourire charmeur au coin de ses lèvres charnus qui peut même faire damner une sainte. Sans parler de ses sourcils froncer avec sa virilité hors pair… quelque chose d'humide sur ma joue droite m’a tiré de ma contemplation, je l'ai repoussée gentiment et me met à le regarde avec insistance.
 
  Le voir ne me déplaît pas, mais j'avais prévu tellement de chose pour cette rencontre après tant d'années de séparation, comment peut-il venir se pointé comme ça ?
  Une tape dans mon dos m’a fait tourner la tête et c'était ma mère .

-tu compte resté figé à contempler mon fils comme une bête de foire?. Me dis ma mère au creux de mon oreille avant de tourner les talons pour monter dans sa chambre.

- entre deux baiser sur ma joue : ma surprise ne t’a pas plut ?

  Sans un mot, je me dirige vers le canapé et il est venu me rejoindre après .

-dit quelque chose houssaï , tu commence à me faire peur là.

-en le regardant avec insistance : C'est ça que tu appelles surprise ?, non cela veux dire surprendre. Après tant d'année de séparation, je mérite de venir t'accueillir à l'aéroport avec mes amis, tu m'as grave déçu.

s'il  te plaît pardonne moi houssaï, moi je n'y connais rien dans le domaine du romantisme. C'est un ami qui m'a conseillé de te faire cette surprise, il dit que les femmes adorent les surprises.

-oui ont adorent les surprises, mais pas de cette façon, je n'ai pas du tout aimé. Puis je tourne ma tête de l'autre côté.

-je suis désolé, s'il  te plaît ne gâche pas ce moment magique que j'ai tant attendu.

- tu sais que je ne peux pas me fâché contre toi... j'ai accompagné ma phrase avec un baiser.

- tu as raison je t'aime trop , en approfondissant le baiser .

Il se lève et m'aide à me relever de suite puis il enfuit sa main dans sa poche pour chercher je ne sais quoi et sort une magnifique collier orné de diamant, même à la vu de cette perle on sait qu'il a coûté très cher.

-tourne toi.

-Isaac ce collier est très chère pour moi, je ne peux pas l'accepter.

- houssaï rien n'est plus importante dans ma vie que toi, s'il te plaît tourne toi et laisse moi te couvrir de perle qui t'est semblable parce qu'à mes yeux tu es une vrai perle.

  Il a dit ces mots avec tellement de sensualité que j'ai senti mes membres vibré de tout mon être, j'ai tiré mes longues mèches brésilienne de l'autre côté, et il mis le collier autour de mon cou, avant de me tiré sur son torse et me pose un chaste de bisous sur le front.

-tu ne sais pas combien de fois j'ai rêvé de ce moment .

-asseyons nous d’abord et tu me raconte tout ce que tu es devenu durant ces quelques années passer en France.

Il s'est installé et me fait asseoir sur ces genoux, en me donnant de petites chatouilles dans le dos.

- comme je te le disais au téléphone, je suis chirurgien dans un hôpital prestigieux et tu connais tout de moi n’est ce pas.

-pourquoi ta rentré soudaine ? Tu m'avais dit que tu ne viendrai qu’à une semaine du mariage.

- oui , j'ai eu un mois de congé en avance , c'est pourquoi j'en ai profité pour venir le passer à côté de ma bien aimée.

-tu as manger ?

-ma tante s'est bien charger de remplir mon ventre avec ses délices .

-attend tu veux dire que ma mère savais que tu venais, et tes parents ?

-oui depuis avant-hier, j'ai parler de ma surprise à ma tante et mes parents je veux leurs faire une surprise aussi, tu m'accompagne ?

-pourquoi pas, donne moi juste deux minutes, pour retoucher mon maquillage.

-en me tirant par le poignet : tu es parfaite ainsi.

-tu crois ?

-oui , tu es très belle.

-bah allons y , les clés.

-d’accord.

   Dans la voiture un silence de mort c'était installé entre nous, Isaac avait les yeux braquer sur la route et moi les yeux braquer sur lui.
 
Je le scrutais jusqu'aux chevilles et je suivais ses moindre faits et gestes qui le rendait diablement sexy. Ces magnifique mains qui tenait le volant bougeaient sans cesse au rythme de la musique qui résonnait dans la voiture. Quand il s'est aperçu que je le contemplais il a tourner la tête vers moi.

-je suis beau n'est ce pas ?

-qu’est ce qui te fait dire ça ?

-tes magnifique yeux, qui refuse de me quitter.

   Oups…quelle honte, je lui fait un faible sourire avant de détourner mon regard vers le vitre, pour contempler le beau paysage qui défilait sous mes yeux.
 
   Arrivé dans la grande famille barry à Kipé centre militaire, le grand portail nous a été ouvert par samba, ce vieillard a fait plus de 20 années à garder cette demeure, on le salut chaleureusement avant d'entrer dans le salon, il y avait mère Binta, sœur Fanta, Aïda et les enfants. Mère Binta et Aïda ainsi que les enfants ont accourut dans les bras d'Isaac , la joie et les rires se faisaient entendre dans toutes la pièce.
 
   Mais par contre la venue d'Isaac n'a même pas fait bouger cette dernière de sa place, sœur Fanta était concentré sur sa série télévisée avec le visage neutre, aucune émotion ne se lisait sur son visage. Moi qui croyais qu'elle n’en voudrais qu'à moi, mais là on dirait bien qu'elle a rajouté Isaac  dans sa liste noire. Comme elle ne bougeait pas d'un pouce, Isaac  est allé la prendre dans ces bras.

   On s’est tous installé et mère Binta a posé la tête de Isaac  sur ses genoux.

-mon grand, pourquoi tu nous a rien dit de ta venue, après toutes ces années de séparation tu ne crois pas que tu mérite une petite fête pour ton accueil ?  Dis mère Binta sur un ton de reproche.

-je suis désolé maman .

-c'est pas grave, l'importance est que tu sois là, devant moi, laisse moi aller dire au servante de te préparé quelque chose de simple et rapide d’accord ?

- non c'est pas grave maman, tante Mariam s'est déjà charger de ça.

-elle a tourner la tête vers moi, houssaïna tu étais au courant que mon fils venait et tu n'as pas daigner a nous le dire ?

-je ne le savais pas ma tante, Isaac m’a autant surprise que vous.

-hum… comment tu veux que houssaï nous mette au courant de l'arrivée de ton idiot de fils alors que mère Mariam et sa fille on planifier de remplir le ventre de ton fils avec des frittes.

   J'étais abasourdi face à une telle accusation, cette femme a une langue aussi tranchante qu'une lame, à chaque fois qu’elle ouvre la bouche pour me parler c'est pour me lancé des mots qui me touche comme un poignard en plein cœur. Comment elle peut dire ce genre d'absurdité sur ma mère alors que ma mère, on ne la connais que dans la douceur et dans la piété.

   Comme je ne réagissais pas face à ses paroles déplacés, Isaac  s'est charger de me défendre.

-Sœur comment peux-tu dire ce genre d'absurdité sur ma tante, tu ne changera jamais donc après tant d'années. Tu ne contrôle jamais tes paroles avant de les lancer.

  Elle s'est levé en furie et se rapproche dangereusement de Isaac. Ce dernier s'est aussi levé, mère Binta moi et ainsi que Aïda, nous nous sommes tous lever et ce que nous craignions est arrivé, sœur Fanta a asséné une bonne gifle sur la joue de Isaac.

-entre ses dents : N'ose plus jamais lever le ton sur moi, je ne suis pas seulement ta sœur mais en plus c'est moi qui t'ai éduqué. À ta naissance ma mère a eu des complications donc elle est resté des mois dans le coma, aucun membres de la famille n'a voulut accepter la charge d'un nouveau née, j'ai donc quitter l'école pour m'occuper de toi, te nourrir de mes propre mains, supporté tes pleures pendant des nuits, me salir les mains à chaque fois que tu faisais tes besoins, aujourd'hui comme tu es devenu toi, et à cause d'une fille tu m'insulte idiot.. !!

Puis elle tourne les talons pour aller se rasseoir à sa place.

  Je me suis rapproché d'elle à pas timides et avec une détermination pour savoir pourquoi tant de haine à mon égard.

- sœur Fanta, l’appelais -je à voix hésitante.

   Elle a levé les yeux sur moi et me foudroie avec un regard de tueur.

-J'ai ravalé ma salive et lui dit : sœur pourquoi tant de mépris à mon égard, qu’est ce que j'ai bien pus faire sans que je ne le sache pour te mettre autant en colère contre ma personne ?

- c'est pas contre toi, mais contre ton idiot de fiancé, c'est à cause de lui que je vous ai embarquer dans le même pirogue.

J'ai tourner ma tête vers Isaac qui était figé depuis la gifle avec la mâchoire contracté de colère qu'il ne pouvais pas défouler sur la personne qui la mis en rogne.

-Isaac .

-Ne t'inquiète pas houssaï, elle nous en veut parce que j'ai refusé d'épouser la fille qu'elles ont choisi pour moi. C'est ma vie et je choisi qui je veux, mais pas celle que vous aimez.

-ah oui… dit lui aussi que cette fille n'était pas n'importe laquelle, mais ma meilleure amie qui est attiré par toi comme un amant. Si c'est pas elle ont ne veux aucune autre comme belle sœur, même si ton choix déplace le mont Kakoulima pour nous impressionner.
Dis Aïda avec tellement de fureur et de haine que ça fait froid au dos

Ces mots m'ont atteints au plus profond de mon être j'ai donc pris mon sac pour me barré d'ici car mes pauvres oreilles en ont trop entendu. Mais tonton Oumar a fait son irruption à ce moment même pour m'interrompre dans mon élan.

-je peux savoir pourquoi tous ce brouhaha dans ma maison ?

Puis son regard s'est posé sur Isaac .

-oh fiston tu disais donc vrai et que tu étais en route… viens faire un gros câlin à papa. Pourquoi tu ne m'as pas appelé pour que je vienne te chercher à l'aéroport ?

  Après ces câlins entre père et fils, père Oumar a reposé sa question.

-Binta je peux savoir pourquoi tes filles criaient comme des hystériques dans ma maison ?

-en bégayent : c'est…c'est...ce n'est rien de grave..

-mais Isaac  lui coupe la parole et dit : Papa depuis 30minutes déjà sœur Fanta et Aïda se défoulaient sur houssaï comme si c'était une parfaite inconnu.

-je comprend, c'est pourquoi Fanta parlait sans frein, et toi Aïda tu es folle ou tu as été piquer par une mouche folle ?  Tu ne sais pas que houssaïna est ton aîné de plusieurs d'années ?! Dis père Oumar en leurs criant dessus.

- sœur Fanta : Wallahi papa ton fils est aveuglé par houssaï et ta belle sœur. Aujourd'hui quand cet idiot est rentré au lieu de venir en première chez lui, il est directement passer chez tante Mariam, cette dernière en a profité pour bien remplir son ventre de frites pour le rend......

Ces absurdités ont été coupé par le cris de tonton Oumar :
  Tu la ferme ! assez ! Tu n'es qu'une Satan doté de cruauté Fanta, je comprend maintenant pourquoi tes deux mariages ont échoués !!  Tes ex époux disaient donc vrai sur tout ce qu'ils racontaient sur toi.. ! Comment tu peux parler d'une mère ainsi devant sa propre fille ?? Au lieu de te soucier de comment me libérer des charges de tes quatre gosses, tu es là à t’immiscé dans la vie de ton frère.

-merci de m'avoir rappeler combien la vie n'a pas été tendre avec moi. Je ne passerai plus une nuit dans cette maison, réjoui toi parce que dorénavant tu es libéré des fardeaux qui pesait sur ton épaule :  dis sœur Fanta en pleur et elle a courut dans sa chambre, Aïda l’a suivi après.

Mère Binta aussi s'est levé et me dévisage avec insistance avant de tourner les talons.

   Sans plus attendre j'ai pris mon sac et me barre des lieux avec une grande boule qui s'est formée dans ma gorge et qui risque d'exploser à tout moment.

   J’arrête le premier taxi arrivant et rentre dedans, arrivé chez moi, j'ai trouver ma mère en train de discuter avec un homme, je leurs ai lancer un bonsoir sec avant de me diriger vers ma chambre.

-ah houssaï sa tombe bien que tu sois là, voici Yakou le grand créateur et styliste dont je t'avais parler l'autre jour, viens voir ces derniers modèles, me dis ma mère avec tellement d’enthousiasme.

-en refoulant mes larmes pour ne pas craquer devant elle : maman tes choix sont toujours bons, choisi tout ce qui te plait, je suis dans ma chambre.

-houssaïna,  tu....

  Sans plus attendre j'ai couru dans ma chambre et ferme ma porte à double tour parce que je sais que ma mère viendra me demander ce que j'ai. J'ai vider tous les larmes de mon corps, fatigué j'ai sombré dans les bras de Morphée.

La sonnerie insistante de mon téléphone m’a réveillé, c'était Isaac .

-Allô, avec une toute petite voix.

-houssaï je suis vraiment désolé pour ces mots blessants que mes sœurs t’on dit .

-c'est pas grave, dit moi juste que sœur Fanta et ses enfants n'ont pas quitter la maison.

-devine quoi…

-quoi ?!  En me redressant.

-tout est réglé entre mes sœurs et moi, elles passeront même te voir demain pour s'excuser.

-en soupirant : Quel soulagement .

-tu ne sais pas combien je suis heureux , sœur Fanta m’a même dit qu'elle n'a rien contre toi et qu'elle te faisais juste peur pour que tu me quitte .

-elle a réussi, j'ai tellement peur d'elle. Tu viendra dîné avec nous ?

-J'aimerai bien mais ma mère a organisé un dîné en mon honneur, tu viens pas ?

-tu crois pas que c'est assez pour aujourd'hui ?

-oui tu as raison, bon je te laisse à demain .

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Le lendemain matin.

  Je me suis réveiller à 8h passer, fait ma routine matinale, m'habille en sape classique avant de descendre prendre mon petit déjeuner.
J'ai trouvé ma mère en train de siroter son jus de fruit, hier je me suis endormi avec le ventre vide pour juste fuir à l’interrogatoire de ma mère, mais ce matin hum… je crois que sa va chauffer pour moi.

-en lui baisant la joue :diarama néné  ( bonjour maman)

-d'un ton sec : diarama ( bonjour)

  Je pousse une chaise et m'installe en fuyant son regard.

-je t'écoute jeune fille.

-hier ?

-oui pour hier .

-maman j'ai pas envie d'en parler .

-encore Binta est ses filles n’est ce pas ? Houssaï tu es sûr de vouloir  t'engager dans cette union ? Parce qu'il faut que tu sache qu'on ne se marie pas à une seule personne mais avec toute sa famille .

-je sais m'man, hier j'ai eu une petite altercation avec sœur Fanta  mais tout est réglé.

-hum… c'est à toi de voir

  A l'institut sœur Fanta et Aïda sont passées, elles m'ont demander pardon, donc tout à été régler entre nous. Le soir Isaac est venu me chercher, je lui ai dis de m'accompagner chez fatima car Ahmed nous a inviter en boîte donc on a passé le reste de la soirée à danser et à boire des bon cocktails.

  Isaac  m’a annoncé, en me ramenant chez moi, qu'il a loué le deuxième appartement qui se trouve dans la cour où fatima vivait.
  Je suis rentré heureuse du fait que je serai voisine avec ma meilleure amie.

" Si j'avais sus que cette cohabitation entre fatima et moi serai le début de mon malheur, jamais je n’aurai fait la connaissance de fatima  "

votre avis et vote sur ce chapitre merci.

Savouré ça en attendant que chrochro aie mieux pour écrire la suite de pleurs d'un ange.

Bonne lecture a vous,  vos messages et vos commentaires ne font que me donné l'envie et le courage décrire d'écrire et d'ecrire encore pour vous distraire..  Vraiment je ne savais pas que créé une page s'est d'avoir une vraie famille... Merci à vous et merci a mariam ba😚😚😚😚

désolé pour les fautes s'il vous plaît

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