chapitres 13

Sous l'emprise de ma meilleure amie.

Chapitre : 13

Du côté de Houssaïna.

Je me suis réveiller avec des maux de tête insupportable et remarque 3 paires de yeux braquer sur moi. Je me suis redressé sur les genoux de tante Binta et vois également que j'ai des griffures sur mes deux bras et sur mon cou.

- me caressant le dos : (heureuse) tu es réveiller ma fille. Comment te sens tu??

- (confuse)  qu’est ce qui met arrivée ? Qu’est ce que vous  faîtes là tous assis à me fixé?

-(rire) nous, nous étions de passage donc ont en a profité pour venir te rendre visite : dit père Oumar en s'installant près de moi.

- en regardant mes bras : et ces griffures papa ?? Regarde mon cou qui saigne là.

- j'ai même pas remarqué cela, Fatima amène la trousse à pharmacie. Dit tante Binta.

- Fatima, dit moi ce qui m'est arrivé ?

-(se levant) arrête d'exagérer Houssaïna, rien ne t'es arrivé alors calme toi d'accord ?

- pourquoi...

- me coupant : ma princesse tu t'ai évanouie seule dans ton salon, mais le médecin nous a rassuré que ce n'était rien de grave.

J'ai fais semblant de le croire, mais je suis vraiment sûr qu'il y a pire que ce qu'il vient de me raconté là. Ma tante a soignée mes plaies sur le corps.

Ils voulaient que je rentre avec eux à la maison, mais je leurs ai rassuré que je vais bien, Fatima aussi leurs a également dit qu'elle passera la nuit avec moi. Une fois qu'ils sont partis, je suis aussi montée dans ma chambre accompagner de Fatima.

- me jetant sur le lit : pourquoi vous refusez tous de me dire ce qui m'est arrivé Fatima??

-c'est pour ton bien Houssaï, oublie cette affaire s'il te plaît...

- où est mon téléphone? Je vais appeler Isaac, lui, il ne va pas me le caché.

- regarde là-bas.

- où ?

- derrière toi.

- ah, merci.

- je vais descendre te préparé quoi mangé d'accord ??

- non,  Fatima ce n'est pas autorisé que tu prépare dans cet état.

- oublions un peu cette foutue tradition Houssaï, tu es malade, je vais allé te préparé une soupe pour que tu aille mieux

-lui lançant le coussin à la figure: têtue que tu es, d'accord ne met surtout pas trop de piment...

- essaye de te reposé un peu d'accord ?

- d'accord.

A sa sortie,  j'ai appeler Isaac qui a répondu à la première sonnerie.

- Allô, mon amour comment ça va ?

- bien, s'il te plaît bébé dit moi ce qui m'est arriver, tout le monde refuse de m'en parlé....

- ne cherche pas non plus de le savoir Houssaï, c'est pour ton bien. Tu ne ressens plus rien comme douleurs n'est ce pas ?

- seulement mes griffures qui me brûle un peu si non ça va.

- ah, je suis soulagé. Repose toi d'accord, je t'appellerai après.

- d'accord.

J'ai déposé mon téléphone à mon chevet, voulant m'allonger, j'ai reçu un sms venant d'un numéro masquer. Je me suis redressé prend mon téléphone pour vérifier le message.

Message.

Salut mon amour, je suis sincèrement désolé de ne pas t’avoir donné de mes nouvelles ces temps ci, j'espère que tu vas bien. Moi oui, je ressens jusqu'à là tes baisés et tes caresses subtile sur tout mon corps... Je t'aime à jamais Abdoul.

J'ai jeté mon téléphone et me lève en pleurs, oui je me rappelle maintenant de tout, j'ai trompé mon mari avec un type que je ne connais même pas, qu’est ce qui m'a pris de commettre l'adultère à l'issu de mon mari qui m'aime énormément ? Isaac ne mérite pas une femme comme moi.

Sans attendre j'ai couru dans la douche, active le jet d'eau et laisse l'eau couler tout au long de mon corps.
Pas suffisant pour me purifier, je suis sale. Il faut que je me purifie moi même entièrement .

J'ai pris tous les gels de bain et les vide dans la baignoire. L'eau bien mousseuse, j’ai plongé dedans, prend l'éponge et me met à frottée tellement fort ma peau que mes griffures commencent a me piquer mais tout ce que je mérite c'est de souffrir.

Du coté de Fatima.

Après avoir convaincue, madame Houssaïna, je suis descendue lui préparé sa soupe... Je découpais les tomates quand une idée géniale met subitement venue à l'esprit. J'ai pris mon téléphone et masque mon numéro avant de lui envoyer un sms en me faisant passer pour son cher amant.

Je déversais la soupe dans le bol quand les cries de Houssaïna me sont parvenus jusqu'à la cuisine. J'ai déposé le bol pour d'abord éclaté de rire. 

Des minutes à attendre qu'elle se donne la mort... N'entend plus sa voix, j'ai décidé de monté là voir. Elle n’était pas dans la chambre.  J'ai déposé le bol de soupe sur la table puis me dirige vers la salle de bain. Mais pour mon plus grand malheur,  elle respirait encore.
Assise dans la baignoire pleine de mousse dans la douche. Elle était plier sur elle même avec un regard rempli de tristesse dans le vide. Je me suis approché d'elle. A peine j'ai touché sa main qu'elle s'est mise à crier sur moi.

- (se levant)  ne me touche pas Fatima ! Ne t'approche surtout pas de moi.

Mon coeur a fait un boum dans ma poitrine, mon esprit s'est directement tourner vers Baba... Me demandant, et s’il a fait en sorte que Houssaïna sache tout.

- écoute Houssaïna.

- je ne t'écouterai plus jamais Fatima, quel genre d'amie es-tu ? Pourquoi tu ne m'as pas conseiller quand je suivais cet homme ?? Pourquoi Fatima? Pourquoi tu m'a laissé trompée mon mari avec un inconnu ??

J'ai soupiré de soulagement.

- mais tu me l'avais caché Houssaï. Comment voulais-tu que je sache que tu avais un amant alors que tu me l'avais caché, moi je te faisais confiance, même dans mes pire cauchemar je n'aurai jamais imaginer qu'un jour tu tromperai ton mari...

- (pleurs) je suis sale Fatima, qu’est ce que cet homme a pu bien faire pour m'avoir sans que je ne m’en rende compte ? Est ce possible que tout ce qui s'est passé soit naturel ?

-vient d'abord avec moi dans la chambre Houssaï, tu es malade tu sais ça non ?

- (me fixant) et si ça se trouve, peut-être que cet homme est malade Fatima ??

- s'il  te plaît Houssaï vient avec moi dans la chambre, si non je vais appeler tes beaux parents. Cette affaire, tu dois l'oublier, tu pense que le mot adultère est un jeu d'enfant? Tu vas ternir ton image si les oreilles indiscrets arrivent à entendre que tu as trompé ton mari.

Elle semble réfléchir un moment, avant de me suivre dans la chambre. Son cou et ses bras saignent de plus belle, j'ai pris le coton et l'absorbe dans l'alcool puis essuie son cou et ses bras.

- regarde comment tu tremble Houssaï, enlève moi cette robe mouillée s'il  te plaît...

Elle s'est changé et s'allonge dans son lit en tremblant de froid. Je l'ai couvert du drap avant de m'installer auprès d'elle.

- Fatima, je ne peux pas caché cette affaire a Isaac, appelle le pour moi.

Non, me dis-je elle va faire foiré tous mes plans si elle fait la victime devant son mari.

- Houssaïna, que vas tu en tirer en disant à Isaac tout ça ? Dieu même sais que tu n'étais pas toi même en commettant cette acte ignoble. Dire à Isaac que tu l'as trompé ne servira qu'a le faire souffrir et tu crois aussi qu'il va te croire sur parole? Oublie tout ça Houssaï.

-et, si cet homme revient Fatima?

-Si tu pars rejoindre rapidement ton mari il ne te retrouveras plus jamais.

- se redressant : je ne peux pas partir sans avoir récupéré mes biens Fatima, ces arnaqueurs ne peuvent pas m'enlever tout comme ça.  

Ah mince !! Elle est vraiment revenue à elle, cet idiot de Baba, il va m'entendre. Ne sachant quoi dire, j'ai simplement souris.

Du côté de Houssaïna.

Encore deux semaines ce sont écoulées, il ne reste que quelque jours avant que mon visa n'expire. Isaac m'appelle jour et nuit pour me le faire savoir. Mais il me faut récupéré mon institut d'abord. Fatima semble distante dans l'affaire, mais moi non, je suis déterminée et je compte vraiment arrêté ces arnaqueurs.

Ce matin,  je me suis réveillé avec une forte nausée qui m'a fait vomir tout ce que j'ai avalé comme petit déjeuner. Je ne sais vraiment pas ce qui m'arrive ses temps ci. J'ai toujours des vertiges et des maux de têtes. Très préoccupé par cette affaire, je n'ai pas eu le temps d'aller me consulter à l'hôpital.

Nous voilà Fatima et moi dans le bureau du détective que j'ai engagé pour faire des recherches concernant la nouvelle propriétaire de mon institut. Depuis des mois personne ne travaille là-bas. 

- bonsoir, monsieur.

- bonsoir, mesdames installez vous s'il  vous plaît...

-il y a du nouveau concernant l'affaire?

- je suis vraiment désolé de vous annoncez cela, mais hier nuit votre institut a prit feu.

- me levant : quoi ?

- désolé madame.

Je suis sorti de son bureau dévasté accompagner de Fatima qui n'a pipé mot depuis que nous nous sommes mis en route pour rentré à la maison.

- ça va n'est ce pas Fatima ? Tu es trop silencieuse a mon goût.

- oui,  ça va!

- tu ne compte pas me dire ce qu'il y a ?

- c'est pas nécessaire que tu le sache ma belle donc garde ta curiosité😂😂. Que compte tu faire maintenant?? Ton institut est parti en fumée donc je ne vois plus l'intérêt de recherchée la nouvelle propriétaire.

- (soupire) je vais réfléchir à tout ça avant de prendre une décision.  Fatima
Je suis sûr que cet incendie est encore l'œuvre de ces malfrats. Ils ont peut être remarqué que j'ai pris l'affaire au sérieux.

- mais bien évidement que ce sont eux, ils savent tout de nous, ton téléphone sonne je crois.

J'ai jeté un coup d'œil sur mon téléphone, encore Isaac. Il commence vraiment a me saoulé avec ce voyage.

- tu ne réponds pas ?

- je n'ai plus envie de me disputé avec lui. Je sais ce qu'il me dira quand je prendrai son appelle.

- fait ce qu'il te demande Houssaïna, il est le Patron donc obéis c'est ton mari...

- (soupirant) salut bébé.

- Houssaï, je viens d'acheter ton billet d'avion tu quitte dès demain la Guinée. Compris ??

- is....

- je ne veux plus rien entendre Houssaïna. Fait ce que je te dis.
Puis il me raccroche au nez.

J'ai déposé mon téléphone, confuse.

- ça va Houssaï ?

- il veut que je quitte le pays demain.

Fatima m'a aider à faire mes valises. Le soir elle m'a encore accompagner chez mes beaux parents. Depuis cet accident jusque là, je n'arrive pas à oublier. Même Baba m’a rassuré et m'a dit que je n'ai rien fait de mal. Mais j'ai honte de regardé Isaac en face après cet acte dégoûtant...

Le lendemain nuit.

Me voilà à l'aéroport, accompagner de toute ma famille, Fatima à tellement pleuré que j'ai pas pus retenir mes larmes aussi. Hier encore j'ai fait un de ces malaises, Fatima avait appelée une infirmière à domicile qui m'a rassuré que mon malaise est dûs au stress.

Votre avis sur ce chapitre.

Et max de partage svp.

Je m'arrête là hein !!! A cause de vous ma sauce a brûlée sur le feu.  Si vous savez combien c'est difficile d'écrire wallahi vous allez commentez milles fois mes écrits. Mais ceux qui me dits simplement "merci " me suffit largement. Après tout j'écris parce que c'est une passion pour moi.

Suis vous êtes curieux de découvrir la suite... Likez nombreux pour encourager chrochro bisous je vous adore ❤❤

Désolé pour les fautes s'il vous plaît

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