Pdv Ochaco:

J'ai encore vomis.

Comme chaque soir.

Comme chaque fois que je vais dans la salle de bain.

Je me suis vu dans le miroir.

Et j'ai entendu leurs paroles.

Alors maintenant je suis la comme une conne avachi sur les toilettes.

Et je pleure.

Encore.

Et encore.

C'est bon les larmes ne sortent plus.

Est ce qu'il en reste seulement quelques unes ou les ai-je toutes laisser tomber.

Mais je ne veux pas de votre pitié.

Je ne la mérite pas.

D'ailleurs je sais même pas qui ne le mériterait pas.

Ce que j'ai fait.

Ce n'est pas moi.

Je n'avais pas le choix.

Merde ça recommence.

Les larmes reviennent et ne semblent pas vouloir s'arrêter de si tôt.

S'arreteront-elle jamais un jour?

Ont dis qu'il faut parfois se salir les mains.

Mais je n'ai pas seulement sali mes mains.

J'ai souillé ma personnalité.

Je suis devenue une personne que je n'aime pas, une personne que je ne suis pas.

Une personne qui aime faire souffrir.

A quel prix?

Mais je suis la seule à pouvoir faire quelque chose.

Je n'ai pas le choix.

J'ai besoin de cet argent.

Mon alarme sonne.

Je dois aller bosser.

Je me lève reprise de vertiges.

Le sommeil n'est pas venue depuis longtemps alors ma santé s'éloigne.

Petit à petit.

Il faut dire que lors de mes pauvres moment de sommeil m'ont corps préfèrent pleurer.

Pleurer pour lui.

Car après je n'en ai plus le temps.

Après je dois gagner de l'argent.

Je n'ai pas le droit de penser.

J'enchaîné les cours, les heures supp, et mes pleurs.

Qu'elle vie de merde.

Et pour gagner quelques billets j'humilie des personnes chères à mon cœur.

Toi Ochaco Uraraka.

Qu'elle monstre est tu maintenant devenue?

Jusqu'à quand infligera-tu peine et souffrance?

Pdv Katsuki:

Izuku: Tu veux l'espionner?

Katsuki: Entre autres. Faudrait aussi pouvoir fouiller son téléphone.

Izuku: Mais pourquoi?

Katsuki: Pour voir de qui elle reçoit l'argent. Et pourquoi elle en a besoin d'autant.

Izuku: Mais elle travaille après les cours tout les jours. Et je sais même pas où.

Katsuki: J’ai peut être une idée d’à qui demander.

Izuku: Kirishima? C’était la seul relation où elle était vraiment amoureuse, elle a pleurer quand elle l’à quitter. Elle m'a dit qu’elle n’avait pas eu le choix qu’on l’y avait forcer. Je pensais qu’elle se calmerait après ça, mais ça a empiré.

Katsuki: Elle est vraiment trop conne. Si elle l’aimait vraiment elle l’aurait pas quitter. Je ne quitterais pour rien la personne que j’aime.

Izuku: Je pense qu'il y aurait des situations où personnellement je n’aurais pas le choix. Pour sauver une vie, ou pour quelque chose encore plus grave. La on m’y forcerait mais ça me ferrait tellement mal.

Katsuki: Ouais, bizarrement je comprends. Je préviens le feu rouge ambulant?

Izuku: Ouais. Mieux vaut demander à Kirishima si il veut en parler d’abord.

Je sortis mon tel afin d’envoyer un message à la chose qui me sert de meilleure pote. Sentant pertinemment son regard sur moi.

Je me risque un coup d’œil vers lui. Quand il s’en aperçoit que je le fixe moi aussi il détourne le regard les joues rouges avant de se mordre la lèvre.

Ni lui ni moi ne pouvons nier cette putain d’attirance et d’attraction entre nos deux corps.

Et en particulier nos lèvres.

Mais je lui ai promis.

Hier après m’avoir dit qu’il n’était pas prêt Deku avait continué à m’embrasser, on n’à pas arrêter de la soirée, j’ai fini torse nu. Et il s’est endormie près de moi. Avant de s’endormir il m'a fait promettre quelque chose.

Tant qu’on aura pas découvert pourquoi Ochaco réagit comme ça. Ni lui ni moi n’essayerons rien.

Je lui ai promis mais, c’est putain de dur.

J’ai l’impression que je vais craquer chaque fois que je croise yeux émeraudes. Chaque fois que j’entends son sourire.

Putain Deku. Tu vas me rendre fou.

Katsuki: C’est bon j’ai ses réponses. Elle travaille dans 3 endroits différents, et elle fait quelques babysitting. Putain c’est une mutante la meuf.
En plus avant elle faisait des cours en plus avec les filles de la classe.

Izuku: Je savais qu’elle se surmenait mais pas a ce point.

Le regard de Deku changea vers un air inquiet. J’approcha ma main de son visage pour le rassurer quand son téléphone sonna.

Izuku: Ah oui mince, je dois rencontrer le nouveau copain de ma mère. Désolé j’avais totalement oublié. On va vérifier ces lieux de travail demain si ça te dérange pas?

-Tkt le nerd, je libérerai mon aprem pour toi.

Je l’accompagna en dehors de ma chambre quand t'es tré- euh j’ai exécuter une chute d’entraînement aléatoire sur Deku!

Izuku: Ka- Kacchan tu-

Je commença à me relever quand il me dit la phrase que je ne pensais pas entendre de sa bouche de si tôt.

Izuku: Kacchan, j’ai envie de t’embrasser.

-Moi aussi le nerd.

Izuku: Mais je peux pas, pour elle. Je la respecte trop pour ça, et pourtant elle ne le mérite pas.

Tandis qu’il parler il caressait ma joue, et son regard semblait s’enfoncer de plus en plus profondément dans le miens.

Izuku: Mais j’en ai tellement envie.

-Je tiens à te dire que j’ai promis de rien faire Mr.l’indécis. Pour autant je ne t’empêcherai à rien.

Izuku: C’est une invitation à le faire?

-Je n’invite personne Deku. Les gens m’invitent, et je suis même très demander. Si tu passes ton tour il devrait y en avoir une petite douzaine de fangirls à me sauter dessus.

Je lui fis un sourire moqueur, sans oublier de me rapprocher un peu plus.

Izuku: Tu est entrain de me dire que je devrais saisir ma chance?

-Je ne te dis rien le nerd. J’expose les faits.

Izuku: Très bien.

Il remonta sa main sur ma joue vers mes cheveux.

Izuku: Je crois bien que je vais tenter ma chance alors.

Deuxième craquage.

Mais qu’elle divin craquage.

Nos yeux clos, pour mieux profiter du moment. Plus rien ne comptait.

Alors quand son téléphone sonna dans sa poche je commença à me reculer, mais il me tira vers lui d’une main sortant son téléphone de l’autre, il continua de m’embrasser alors quand il décrocha je décida de déposer des baisers papillons le long de son cou, remontant jusqu’a sa mâchoire.

Je m’arrêta un instant le temps de le laisser parler à Inko. La prévenant d’un soudain imprévue causer par un devoir. A peine eu-t’il raccrocher que je me releva et l’aida à se lever avant de fermer la porte et de l’attirer vers moi pour reprendre possession de ses lèvres.

Je suis accro bordel. Et je n’ai pas l’impression d’être le seul des deux.

Pdv Ochaco:

J’ai fini y a un bout de temps. J’avais pas envie de rentrer. Pas envie de croiser leurs regards emplis de dégoût.

Au début j’ai voulu sauter d'un toit.

Mais si je ne suis pas là. Il ne sera plus là non plus. Je dois tenir pour lui.

Maman m'a appeler. Elle était soûl, je l’avais jamais vu comme ça. Mais je comprends qu’avec l’entreprise ça doit être beaucoup plus compliquer.

Elle a beaucoup crié, elle m’a dit de pas abandonner.

Après j’avais toujours pas envie de rentrer

́j’ai déambuler. Je crois que j’ai failli me faire agresser.

Mais je devais faire peur à voir je suppose.

Je sais pas, je m’en rappelle pas vraiment.

J’étais la. Mais je n’y était pas vraiment.

J’étais lover dans un cocon doux. Loin de la souffrance. Et puis je me suis réveiller ici.

Sur cette colline, sous les étoiles. En larmes.

Et bien que les étoiles contemplent mes larmes.

Et qu’elles décident le bien du mal.

Et qu’elles décident si j’ai pris la bonne décision.

Peut être que j’aurais du écouter cet homme dans la ruelle.

Si je suis assez belle pour vendre mon corps.

Peut être que mon corps le sauvera.

Je n’aurais qu’à m’en débarrasser après.

Je dois bosser.

Je me lève me retourne.

Et je les vois.

Ces pupilles jaunes transpercent la nuit.

Et maintenant que je le vois, le sang. L’odeur imprègne tout ce qui se passe autour.

Toga: Ouuuuuh une héroïne~ et ma préférée en plus!

Alors...

Bonjour.
Oui j’ai arrêter d’écrire pendant longtemps.

Mais j’ai les cours à gérer, et peut être bientôt une autre pression à vivre.

Mais bref
Désolé.

Est ce que ce chapitre a réconforter votre longue attente?

Et autre question, que pensez vous d’Ochaco désormais? Enfin pour l’instant.

Dites moi tout!