Pdv Allanay

J'avais à peine émergée de mon sommeil qu'une odeur désagréable parvenu à mes narines. J'avais l'impression d'être dans le cabinet de mon médecin. J'ouvre les yeux et les murs blancs en face de moi me frappait. Je ne suis pas chez moi. Je ne suis même pas dans une maison, je suis à l'hôpital. À peine avais-je fais un geste qu'une douleur languinante se logeait à l'arrière de ma tête. Mon dieu, mais que s'est-il passé ?! Un bandage un peu trop serré entouré le haut de ma tête ainsi que mon bras gauche, une perfusion était planter dans mon autre bras qui était un peu bleuté. Je ne me souviens pas d'avoir été tant blessée. Bien sur, je me souviens de ce qui s'était passé la veille mais j'ai seulement rencontrer un mur, mon bras n'a pas été touché. J'entendis, grâce à mon ouïe surnaturel, des pas pressés se dirigeaient vers ma chambre ainsi que des voix qui s'élevaient. Et en peu de temps, la porte s'ouvrit et se referma aussitôt. Je n'étais pas bien sur de la personne qui venait d'entré puis ce qu'elle était de dos mais elle ressemblait fortement à...:

"Valente! Ouvre cette putain de porte ou je te casse le deuxième bras!

-Vas te faire voir, répondu celui-ci."

Mais cette voix, c'est... Liam Afanasy, mon directeur... Mais que fait-il ici?! La porte finit par s'ouvrir et mon patron entra en trombe dans la pièce en bousculant Valente:

"T'es qu'un abruti, l'insulte Liam!

-Et toi un connard ! Tu sais même pas conduire!

-Quoi? C'est toi qui m'as pris le volant des mains!"

Ils peuvent pas se taire? J'ai un mal de crâne pas possible avec leur engueulade. À la limite de ne pas sortir d'ici vivante. Mais quand leur dispute commence à prendre une tournure violente, je décide de les séparer... Ou du moins essayée, car il est impossible pour moi de me lever. Et j'ai pourtant essayé. Alors je décide de prendre ce que j'avais sous la main et leur balança dessus. Certainement un flocons de sédatif. Après que la bouteille en verre éclate a quelques centimètres de leur deux tête, ils se tournèrent vers moi et leur réaction ne se fit pas attendre. Ils hurlèrent mon nom une dizaine de fois en courant vers moi, se poussant faisant tombé l'autre afin d'arriver le premier. C'est finalement les deux qui s'étalaient une fois arrivé à mon chevet. Puis ils se relevèrent en même temps, parfaitement synchronisé, et s'avancèrent vers moi:

"Tu vas bien, me demande Liam soucieux tandis que Valente cherchait quoi dire. Il n'a pas l'habitude de ce genre de situation, c'est même la première fois qu'il met les pieds dans un hôpital depuis sa naissance.

-Oui, je vais bien. Mais... Que vous est-il arrivé, demandais-je en voyant le plâtre sur le bras de Valente et les autres nombreux bandages?

-En voyant que tu t'es évanouie, on s'est dépêché de t'amener à l'hôpital... Mais cet abruti m'a pris le volant des mains en disant que ce n'était pas la bonne direction et nous avons foncé droit dans le mur, se plaint Liam!"

Ce qui expliquerait donc ma blessure au bras gauche :

"Peu importe, l'important c'est que tu aille bien. Mais bon sang! Qu'est-ce qu'il t'es passé par la tête pour avoir tenté de couchée avec cette brebis galeuse?!"

Et c'est reparti pour un tour...:

"J'ai tenté de couchée avec personne, qu'est-ce que tu racontes ?

-Ah pardon, j'avais oublié qu'il était normal chez toi de te retrouver à moitié à poil avec un homme."

Si je n'étais pas aussi faible, je lui aurai sans doute envoyé mon poing dans la figure. Seulement, il est possible que j'ai été à deux doigts de coucher avec mon patron. Le problème est que je ne m'en souviens pas!:

"Mais j'avoue ne pas comprendre le fait que tu réussisses à t'envoyer en l'air avec quelques alors que je suis ton âme-soeur. Si t'en avais vraiment envie, fallait me le dire, je suis dispo à n'importe quel heure!

-Attends, comment sa "âme-soeur"?

-T'as très bien compris !

-Ah non! Vous recommencez pas vous deux!"

Les deux se calmaient et je demanda à Liam de partir en disant que je voulais parlait seul à seule avec Valente et, malgré ses protestations, il finit par sortir de la chambre mais à mon avis, il ne partira pas bien loin:

"Que veux-tu me dire, ma chérie sexy?

-Tout d'abord, c'est ridicule. Mais c'est pas ça le plus important.

-Alors quoi? Dis-le moi, me dit doucement Valente en s'asseillant près de moi sur le lit tout blanc.

-Quand tu en a reparlé, de notre lien d'âme-soeur... Quelques chose a fait tilte dans ma tête...

-Et?

-Toi et moi on est d'une race différentes. Si l'un de nous était seulement loup, cela aurait été possible mais...

-Viens en au faite, Allanay.

-Valente... Il est clairement interdit que l'on soit ensemble. Notre relation pourrait entraîner une guerre qui divisera le monde en deux et risque de détruire notre monde. Y aura rien entre nous deux Valente.

-Yeeeeeessssss, hurla Liam juste derrière la porte!!!

Yllana P.