Le reste de la journée fut calme, sans Valente ni mon patron aux alentours. Cependant, le stresse et la peur me consument de l'intérieur, me rendant nerveuse à chaque geste, à chaque mouvements que je fis. Une question me trottait dans la tête '' était-il un loup ??? Mon patron, un loup ? Avais-je bien vus ?''Aucune certitude, je ne savais pas.

Les heures passèrent et dix neuf heures arriva. Je me dirige vers les vestiaires et m'effondre sur le sol après avoir voler une bouteille de vodka quoi que je ne savais pas du tout ce que c'était mais du moment que c'est buvable, ça me convient. J'avais peur de je ne sais quoi, sûrement du faites que je venais de me faire inviter chez mon nouveau patron. Sans réfléchir je bus la bouteille d'une traite et retourna chez moi pour me changer.

Pdv Liam

Je l'avais appeler aux moins dix fois mais aucune réponse ! Je paniquais un peu, après tout, je ne lui ai donné aucune heure précise mais tout de même j'espérais qu'elle vienne. Je commençais à être désespérer quand quelqu'un toqua à la porte. Je sursaute et alla ouvrir.
Ça m'a fait plaisir de la revoir après toute cette journée mais quelque chose clocher. Elle riait et portait une tenue très peu convenable. Son haut lui serrait sa poitrine, sa mini jupe rouge la rendait certe belle mais aussi la rendait très... Comment dire... Si je ne la connaissais vraiment pas, je l'aurai sûrement insultée de salope. Je lui sourit:

"Tu me laisses entrée, beau gosse, ou tu veux rester planter là à me mater, dit-elle sans aucune gêne.

-Je... Allanay. Je rougis gêné.

-Hum je vois."

Ses yeux devinrent dorés, elle me prit par le coup et me plaqua violemment contre le mur. Elle rit de plus belle et me lécha le coup. Je gémis malgré moi, la fixa et la repoussa:

"C'est pour sa que tu voulais me voir ? Elle se mordit la lèvre à sang avant de s'assoir sur le canapé.

-Si, je veux dire non ! Si je voulais, et bah... rho puis merde! Je ris et me mit à côté d'elle. Ses petites mains se déposèrent alors sur mon torse et retira mon tee-shirt."

Je l'avais chercher pendant des années, j'avais fouillé dans les dossiers de la mairie sans aucun succès et comme part hasard, un beau jour, je la retrouvais enfin. Cette belle créature... Son odeur me gêna tout de même. Elle empestait l'alcool, un mélange même de plusieurs alcools. Je grogne complètement dégouté et tante de me lever. Allanay me bloqua et m'embrassa à nouveau. Cette fois elle enleva son haut, sa brassière, dévoilant peu à peu ses seins. Putain je crois que... Ho non pas sa. Érections bonjour. Je frissone. Elle prit mes mains et les posent sur ses hanches. Que les dieux me gardent de ça, pitié.... La jeune femme en profita pour retirer mon pantalon et de s'assoir sur mon membre.
Je me mords la lèvre pour ne pas succomber au charme de cette jolie demoiselle mais je ne pus m'empêcher et je l'embrassa sauvagement. Elle fourra sa langue dans ma bouche et retira ses derniers vêtements.. La chaleur monta, elle ne cessait de rire. Je m'en foutais qu'elle soit alcoolisée, j'attendais ce moment.
Sans que je m'y attende elle se mit à chanter:

"C'est pas le rhum qui prend la bière, c'est la bière qui prend le rhum, tintin. Moi le rhum il m'a prit, tout les jours c'est kiri! Je me suis réveillée avec la gueule de bois, ça fait mal au cul, mais la vie c'est comme ça !!! "

Elle me fit rire tout de même, j'espérais allez plus loin mais nous firent dérangé par... :

"Alors toi!!! Tu as osé la toucher espèce d'enculer tu vas voir ce que je vais te faire. Il grogna et ses yeux devinrent bleus."

Il prit la jeune fille par le bras et la propulsa contre un mur avant de se transformer en loup. Je fis de même, mon loup apparut, noire et majestueux tandis que le sien était blanc et tout frivole.
Nous montrant les crocs, grognant et griffant nous nous attaquons. Le sang giclait et d'un œil j'observais la douce créature que j'avais osé embrasser mais pour une courte durée.

Pdv Allanay

Les effets de l'alcool se dissipèrent au moment même où je percute le mur. Je vis seulement deux loups se battant pour une proie qui n'était d'autre que moi...
Tout s'éteignait et je sombra dans un lourd sommeil.

S.R