Chapitre 5
Mon téléphone s'arrêta puis reprit sa sonnerie incessante. Valente prit mon portable rangé dans ma poche de jean alors que j'essayais de me retirer de ces chaines. Je ne comprends pas comment ce fait-il que je me suis fais prendre aussi facilement, moi, une hybride sortit tout droit des Enfers:
"C'est un numéro inconnu.
-Ce doit-être mon nouveau patron... Oh non.
-C'est dingue, tu viens à peine de trouvé un travail que tu vas encore être viré à cause de moi, me dit-il en me léchant sensuellement le coup.
-Valente, je te jure que si tu ne me laisse pas répondre maintenant, t'auras plus de couilles quand tu te réveilleras."
Mes menaces ne l'avait certes pas atteint mais il me tendit tout de même le portable qui continué de sonner pour la quatrième fois:
"J'ai les mains attaché, du con. Je peux pas décroché."
Valente soupira avant de décrocher et de mettre sur haut parleur avant de rapprocher le portable de ma bouche:
"Hallo, demandais-je seulement ?
-Ah! Mademoiselle Geferson! Vous osez enfin décroché au téléphone, me reproche une voix que je reconnaîtrais comme étant celle de Monsieur Afanasy!
-Je suis désolée, Monsieur. Je suis en retard mais, je vous promets que j'arrive dans les plus bref délais !"
Je sentis soudainement une trainée de bisous se déposer le long de mon ventre jusqu'à arriver juste au-dessus de l'entrée de mon sexe:
"Allanay, j'ai fermé les yeux sur votre nature mais n'essayais pas de tout faire pour être viré.
-Oui, monsieur.
-Bien... J'aimerais que vous passiez dans mon bureau après mon service alors, ne trainez pas, me dit-il avant de raccrocher."
Valente jette ensuite violemment le portable sur le côté:
"Depuis quand tu travail pour Liam Afanasy ?!"
Comment le connait-il?! Il ne fréquente que des femmes ! Enfin, la plupart du temps...:
"Il m'a engagé en tant que barman la semaine dernière. Pourquoi ? Sa dérange ?
-Je vais te libérer. Mais je veux que t'aille dire à cet enfoiré que s'il continu à fourrer son nom dans les choses qui ne lui regarde pas, je lui réglerai son compte. Ah! Et s'il te touche, sache que je ne perdrai pas de temps pour lui refaire le portrait."
Pourquoi mon meilleur ami en veut à mon patron ? Valente me détacha puis, avant de me laisser partir, m'embrassa fougueusement, forçant l'entrée de les lèvres pour pouvoir mouvoir sa langue avec la mienne. Et il partit de la pièce sans se revêtir. Je me redressa en frottant les poignets douloureux. Mon corps était en braise et tout à l'heure, j'ai cru que j'allais jouir alors que j'étais au portable avec mon directeur. J'aurai fais bonne impression tiens...
Je m'étais rhabiller en vitesse et ai filé le plus vite possible de cette maison de torture. Non mais de quel droit Valente a osé faire cela?! Une fois dehors, j'appela un taxi et rejoins l'hôtel. À peine étais-je arrivée là bas qu'une femme aux cheveux teinté de rouge me fonça dessus:
"Tu dois être Allanay ! Je suis Mina, ton mentor si je puis dire. C'est moi qui t'ai parlé au téléphone. Suis moi, je vais te montrer le fonctionnement du bar."
Je la suivit sans un mot jusqu'au bar de l'hôtel situé à l'arrière aux rez de chaussée. Mina m'explique rapidement l'emplacement des choses et comment faire les différents cocktails puis elle partit car elle avait du pain sur la planche comme elle m'a dit. J'ai donc passé toute la journée à servir des cocktails, jus de fruits, smoothie puis quand l'heure se faisait plus tard j'ai servis plusieurs teckila, ou alors des verres de scotch ou de whisky, d'autre encore préféré le rhum mais que très peu. La journée s'est passé rapidement et je suis vraiment ravie de mon nouveau travail. Plus besoin de s'habiller comme une pute, tant que je suis élégante. Et je ne passe plus la soirée avec des gars bourré, sans oublier que mon patron n'a pas de vues sur moi. Enfin, je crois. Mon service maintenant finit, pour cette après midi, je dois filer jusqu'au bureau de Monsieur Afanasy. Je pris donc l'ascenseur juste après avoir nettoyé le bar, pas besoin de se changer, ma tenue est parfaite. Une fois arrivée devant la porte du bureau de Monsieur Afanasy, je frappa à la porte et attendu d'entendre un "entré" avant de... Bah d'entré :
"Bonjour, Monsieur.
-Ah! Allanay! Si vous êtes là, c'est que vous êtes donc venu travailler.
-Oui, répondis-je en le frottant le bras... Que voulez-vous me dire?
-Je voudrais savoir si vous étiez libre ce soir."
Libre ce soir? Pourquoi faire ? Passer la nuit avec mon patron?... Oh non:
"Mais... Je travaille ce soir, c'est vous même qui avez fait mon emploi du temps !
-Eh bien dans ce cas, prenez votre soirée, je vous l'accorde, me dit-il en me faisant un sourire craquant"
Mon dieu, quel charme! Il est incroyablement sexy:
"Pourquoi faire, bafouillais-je?
-Je me disais que peut-être accepterai vous de venir dîner chez moi."
Je retire ce que j'ai dis tout à l'heure à propos des non-vues de mon patron sur moi:
"Je suis désolée, je dois m'occuper de mon fils ce soir, l'informais-je alors qu'il s'étrangla avec sa propre salive.
-Tu as un fils?!"
Tiens, il me vouvoie plus :
"Euh... Oui.
-Et où est le père, me demande Liam Afanasy se remettant de son précédent choc?
-Partit, mentis-je."
Je n'allais tout de même pas expliquer à mon nouveau patron que je ne connais pas le père de mon fils. Il ne m'a pas engagé afin que je lui raconte ma vie:
"Cesse de te chercher des excuses maintenant. Si tu veux refusée mon invitation, dis-le tout simplement."
Est-ce bien de sortir avec son patron? Je ne pense pas. Mais quand je vis le regard de mon directeur changé de couleur, signe qu'il était un loup-garou et que son loup venait de faire son apparition, je sus que je ne pouvais ni refusé ni faire machine arrière. Ce soir, je sors avec Liam Afanasy, que ma louve le veuille ou non.
Yllana. P
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