Chapitre 3

Mais Valente le prit par le cou et lui décocha un violent coup de poing. C'est pas vrai, mais qu'est-ce qu'il lui prend?! L'homme tomba lourdement sur le sol après s'être défendu en vain et s'être prit une volé de coups plus puissant les uns que les autres. La musique s'était arrêté, les personnes sur la piste de danse avaient arrêté de se chauffer, on entendit aussi Candice se casser la gueule en tombant du haut tabouret, complètement saoule. Toutes les intentions étaient tourné vers nous. Et Valente ne s'arrêta pas, il continua de frapper l'homme à terre. Je m'empresse de les séparer mais rien n'y fait:

"Valente, arrête, tu vas le tuer!"

Mais à ce moment, je ne faisais pas face à Valente. Je faisais face à son loup, enragé, dans une colère noire. Des hommes de la sécurité viennent prendre Valente par les bras et le jetèrent dehors. Je vis, en regardant les hommes jetaient mon meilleur ami, mon patron nous regardait avec mépris. Je risque de passer un sale quart d'heure. Je m'agenouille près du type complètement amoché et regarde l'ensemble de ses blessures :

"Vous n'allez pas mourir, lui demandais-je tandis qu'il restait conscient.

-Euh... Non."

Donc je peux partir. Je me releva et pris la sortie par laquelle Valente s'est fait virer quand je croisa mon directeur :

"Il faut qu'on parle.

-Bien-sur, je serais dans votre bureau dans une heure.

-Maintenant, Allanay."

Mince. Il ne faut pas que je laisse filé Valente. De toutes façons, je n'ai pas vraiment le choix. Je suivis donc Monsieur Aldofs jusqu'à son bureau dans lequel nous nous engoufrons. Il s'assit ensuite derrière son bureau tandis que je restais debout, telle une pauvre soumise:

"Monsieur, je suis vraiment désol...

-Vous êtes viré.

-Quoi?!

-Vous n'avez pas compris ? Vous êtes viré, jeté, licencié, en démission. Vous dé-ga-gez."

Au moins c'est claire:

"Ou alors...

-Ou alors quoi?

-Vous revenez à votre place derrière le bar et en dehors de vos heures de travail, vous serez ma streapteseuse personnelle, me dit-il avec son sourire pervers."

Mais c'est dégueulasse ! Il a 40 ans de plus que moi!:

"Si c'est cela les seules conditions pour garder mon minable travail alors je démissionne !

-Bien. Après tout, vous faîtes ce que vous voulez. C'est pas moi qui devra herer d'homme en homme comme une pute pour nourrir son gosse."

Nathaniel... Mais oui! Nathaniel ! Si Valente est ici, qui est allé le chercher ?! Oh non, et si... Ne n'ose même pas y pensais. Je me dépêche de sortir de ce bureau en claquant bien la porte et me dirige vers la sortie sans prendre la peine de récupérer ma veste et mes affaires dans le vestiaire. Mais à peine avais-je dépasser la porte qu'une voix m'interpella:

"Enfin tu sors."

Je me tourne vers Valente adossé au mur juste à côté de la porte:

"Je croyais que tu devais t'occuper de Nate'.

-Et moi je pensais que tu travailler, pas que tu t'envoyer en l'air avec d'autres mec.

-Qu'est-ce que ça peux te foutre que je couche avec des mecs, commençais-je à m'emporter.

-Ce que ça me fou, répète t-il en s'approchant lentement de moi, dans une démarche lente et sensuelle ? Ce que ça me fou, Allanay, c'est que tu m'appartiens et qu'aucun autre homme n'a le droit de te toucher à part moi!"

Je voyais très distinctement son loup revenir à la charge mais honnêtement je n'avais pas peur. Puis il se posta en face de moi, de façon à me dominer:

"Ce soir, je voulais t'annoncer la nouvelle en douceur mais puis ce que tu ne penser qu'à te chercher une bite pour la soirée, je pense pouvoir faire l'impasse avec la délicatesse

-Qu'est-ce que tu veux dire, au juste, lui demandais-je, me sentant légèrement déstabiliser.

-Tu es mon âme-soeur, Allanay. Tu es mienne, tu m'appartiens. Et qu'à partir d'aujourd'hui, je serais la seule personne ayant le droit de te baiser."

Puis, d'un mouvement brusque, il posa brusquement ses lèvres sur les miennes. Je pensais que le désir fou que j'avais tout à l'heure allait refaire surface mais rien ne se produisit. Je ne ressentais rien à part du dégoût. Et d'un mouvement parfaitement contrôler, je lui balança mon genoux dans les parties intimes, lui faisant redescendre son errection :

"Ça, c'est pour m'avoir embrassé."

Puis je lui balança mon poing dans la figure qui le fit tombé par terre:

"Et ça c'est pour m'avoir fait perdre mon travail, hurlais-je avant de tourner les talons et de partir loin d'ici."

Seulement, j'avais oublié mes clefs dans les vestiaires de la boîte et il était hors de question que j'y retourne. Alors je rentra chez moi à pied, habillé comme une pute avec les talons aiguilles de 10 centimètres. Mon dieu, j'espère que Nathaniel va bien.

Quand je suis rentré chez moi, j'ai découvert Nathaniel avec ma voisine du dessous dans mon salon. Elle m'avait expliqué qu'elle s'était faite jeté et en jetant l'homme dehors elle a découvert Nate' devant la porte. Heureusement qu'elle est là. Je ne sais pas ce que je ferais sans elle. J'ai ensuite était couché Nathaniel puis ai discuté avec

Estelia, ma voisine. Je lui ai expliqué ma démission et le fait que j'étais l'âme-soeur de mon meilleur ami, sans oublier que je l'ai encastré. Quel découverte! Je ne pensais jamais découvrir mon âme-soeur un jour, je pensais même ne pas en avoir du tout:

"J'ai entendu dire qu'un homme richissime cherchait une employée pour le bar de son hôtel luxueux. Tu pourrais peut-être te proposer. Sa à l'air super bien payé ! Et en plus, ce n'est pas loin.

-Je postulerai là bas demain matin après avoir déposé Nathaniel. En espérant que je me fasse prendre. Merci, Estelia. Vraiment, merci"

Je l'a pris dans mes bras puis on a continué à discuter sur son sort pendant une heure. Et est venue l'heure de se coucher. Elle est repartie chez elle tandis que j'allais m'allonger dans mon lit miteux et tout pourrit. Puis je m'endormis encore tout habillé avec mes affaires de pétasse.

Le lendemain, je me suis habillé élégamment avec une chemise de corail et une jupe plus longue que celle d'hier de couleur noir. J'ai déposé Nathaniel à l'école qui n'est pas partie avant de me faire comprendre une énième fois que j'étais très jolie aujourd'hui. Et pour la énième fois je l'ai remercié en lui faisant un "gros bisous baveux" sur la joue.

Estelia m'avait dit que l'hôtel ne serait pas très loin mais elle parlait du trajet en voiture. Hors, je n'ai plus mon véhicule. Je vais donc devoirs y aller à pied. Hier soir, j'ai envoyé mon CV très tard et à peine une demi-heure s'était écoulé que j'ai reçu une réponse. Et j'ai rendez-vous à 10h05. En espérant que je ne me perds pas.

Je suis arrivé en un seul morceau à l'hôtel luxueux que m'avait décrit Estelia. En effet, le bâtiment est très chic. Un hôtel que je ne pourrais jamais me payer, même avec un le double du salaire que j'avais dans la boîte. Je m'engouffra à l'intérieur et la chaleur réconfortante me fit frissonner. Il fait meilleure que chez moi. Et j'aimerais juste avoir ce travail pour y rester au chaud. Je demande à la dame d'accueil où est le bureau de Monsieur Afanasy. Bizarre, son nom me rappelle quelque chose. Après plusieurs renseignements, je pris l'ascenseur qui lui-même était à moitié vide. En faite, il n'y avait qu'un homme très séduisant habillé d'un costard noir et d'une chemise blanche - plus blanche que mes converses:

"Vous montez à quelle étage, me demanda l'inconnu tandis que les portes se refermèrent.

-47, dis-je simplement en remarquant que l'homme ne touchait pas au tableau numérique."

La touche 47 avait déjà été actionné. L'ascenseur continua de montée puis quand les portes s'ouvrirent, nous sortons tout les deux de cette cage métallique dont le parfum de cette homme avait prit tout la place. Mon dieu, il sentait divinement bon. Il devait faire fureur dans la gente féminine. Aussitôt, je me remis à penser à Valente, ce sale coureur de jupons prêt à tout pour séduire une femme. D'un coup je m'arrêtais me rappelant que je n'avais aucune idée d'où allait:

"Mademoiselle Geferson, mon bureau est ici, me dit l'homme qui était avec moi dans l'ascenseur."

C'est pas vrai, ne le dîtes pas que ce belle appolon diablement beau est le dirigeant de cet hôtel ? Cet entretien risque qu'être difficile. J'entre dans le bureau et Monsieur Afanasy referma la porte derrière nous avant de partir s'installer à sa place :

"J'ai parcouru entièrement votre CV, mademoiselle Geferson . Cependant, il reste trop court. Trop peu d'informations. Vous devriez comprendre que j'aimerais connaître la nature de mon employé avant de l'engager.

-Oui Monsieur, j'en suis consciente mais... Et si on pouvait fermer les yeux sur ma nature et que l'on continuer l'entretient autrement ?"

Est-ce que je lui demande ce qu'il est moi? Non, alors qu'il se la ferme !:

"Désolé mais sans cette information capitale, je ne peux vous engagé, au nom de la sécurité des clients, me dit-il en croisant les bras derrière sa tête.

-Je... Je suis une hybride mais je le contrôle parfaitement !

-Une hybride... Intéressant. Et quel genre d'hybride? "

Je déglutis bruyamment, ne voulant point répondre alors que tout à coup, son portable se mit à sonner. Il lu le message rapidement puis repose son regard sur moi, avec un sourire mesquin :

"Vous êtes engagé ! Vous commencerais la semaine prochaine. Mina vous montrera la disposition du bar ainsi que la réserve. À bientôt, Allanay."

Dis donc, ça a été rapide. Il n'insiste pas plus sur ma nature? Bizarre. Je me demande ce qu'il a reçu comme message. Bon, ce n'est pas le plus important. J'ai été embauché !

Yllana P.

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