Chapitre 27 : Soirée imprévu
Hey ! Autant vous dire que j'aime beaucoup ce chapitre et que ça envoie du lourd ! Je suis déjà entrain d'écrire la suite tellement je suis inspiré ~
PS : Vous pouvez participer à l'écriture de cette fic en m'envoyant vos écris sur un acte quelconque qu'il y avait dans le contrat au début de la fic qui n'a pas été encore fait et je les réécrirais pour garder le même style d'écriture. Bien évidement, votre pseudo sera mis dans le chapitre - sauf si vous souhaitez être anonyme.
Vous n'avez qu'a me contacter en privé ;)
Sur ce, faites vous plaisir!
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Moi qui pensais que j'allais profiter de ma soirée tranquillement devant Netflix, autant dire que c'est loupé. Yoongi et moi avions fini notre journée de travail il y a plusieurs heures de cela, mais il a été appelé en urgence voilà maintenant une heure et c'est à son tour de m'avoir appelé afin de lui venir en aide alors que j'étais sur le point d'aller me coucher... Enfin, je ne devrais pas me plaindre, car ses inconvenants font partie de mon métier en tant que secrétaire et aide au grand avocat Min Yoongi – tout cela avec une pointe d'ironie, bien évidement.
Et bien sûr, comme la vie est bien faite, n'ayant pas encore le permis, je me retrouve à 23 h dehors dans la nuit noire à marché jusqu'à notre cabinet. De toute façon, nous n'avons pas non plus de deuxième voiture donc bon... Heureusement que notre appartement n'est qu'a une demi-heure de marche !
Pour être honnêtes, ça m'a pris moins de temps avec la marche soutenue que j'ai faite dût à l'atmosphère étrange de la nuit, sans oublié le fait d'être seul. D'ailleurs, je sursaute de frayeur en entendant une sonnerie venant de nul par dans ce silence. Je soupire en prenant mon portable. Allez Jungkook, ressaisis-toi, c'est juste un appel venant de Yoongi.
– Oui, Yoon ? Dis-je mal assurer, le cœur encore battant de frayeur.
– Tu es bientôt là ?
Cette voix ... je peux entendre un grognement profond à la suite de sa question, comme s'il s'impatientait.
– Oui, je suis devant la porte principale, j'entre. Et s'il te plaît vient me chercher la prochaine fois, je flippe à mort dehors à cet heure-ci ...
Le son de sa voix s'adoucit et je l'imagine sourire, amusée.
– Je le ferais la prochaine fois, promis. Allez, calme-toi, tu vas bientôt me retrouver chaton.
Des mots si simples, mais qui m'envoient une vague de chaleur au travers de tout mon corps. Je rougis en me rendant compte qu'il m'a appelé « chaton » alors qu'il est dans son bureau.
– Hé ! On n'avait dit qu'on ne s'appellerait pas ainsi au boulot ! Et si quelqu'un t'entendais ? Dis-je en montant les escaliers afin de me rendre à l'étage. Les fameux escaliers qui me rappellent à chaque passage, cette séance de bondage en plein travail ...
– Ne t'inquiète pas, on est seule ici. Bon, dépêche-toi, je t'attends.
A peine fini, qu'il raccroche. Me dirigeant dans les couloirs, je note que malgré le manque du personnel à cette heure, le gardien à laisser les lumières allumées. Sûrement Yoongi qui le lui à demander, car d'habitude elles restent éteintes lorsque nous quittons plus tard. Je souris bêtement en m'approchant de notre bureau, toquant avant d'entrer prudemment puisque que Yoongi ne m'a pas répondu.
Contre toute attente, la pièce se trouve dans le noir, comme si personne ne s'y était rendu, pas même Yoongi. Au même moment où je viens poser ma main sur l'interrupteur afin d'éclairer la pièce, toutes les lumières des couloirs – et semble-t-il, de tout le bâtiment – s'éteignent, me laissant dans le noir complet.
– Qu'est-ce que... ?
J'appuie sur l'interrupteur en vain, aucune lumière ne voulant s'allumer. Le gardien aurait coupé subitement le courant ? Et Yoongi, où est-il ? Légèrement stressé et seulement éclairé par les reflets de la lune au travers les vitres des baies vitrés, je sors mon portable et décide d'appeler Yoon. Par sécurité, je ferme la porte derrière moi me mettant ensuite assis sur le rebord de mon bureau.
Avant même que je ne pose ma question, il prend la parole aussitôt avoir décroché mon appel.
– Regarde sur mon bureau, tu comprendras. Annonce-t-il en me raccrochant au nez.
Je regarde mon portable durant plusieurs secondes, ne comprenant plus rien.
– Bon, allons voir sur son bureau, j'aurais certainement une réponse.
Me relevant, gardant mon portable en main afin de m'éclairer, je me dirige vers son bureau, le contournant avant de me stopper en voyant ce qui est déposé dessus. Je déglutis en prenant entre mes doigts mon collier, ainsi qu'une lettre se trouvant en dessous.
« Mon chaton,
Tu dois te douter en voyant le collier que tu n'es pas là pour travailler, ni moi d'ailleurs. J'avais envie de faire un jeu avec toi ce soir et quoi de mieux que de rajouter du piment en le faisant clandestinement sur notre lieu de travail ?
Que le jeu commence !
Met ton collier et rend toi à ton bureau, puis ouvre le premier tiroir.
Un conseil : Respecte bien les consignes, si tu ne veux pas le regretter et fait attention, le gardien nous pense partie. À toi d'être discret pendant sa ronde ~
Ton maître »
Le cœur battant, et finalement, commençant à comprendre la raison de ma venue, je mets délicieusement le collier en cuire autour de mon cou. Comme à sa demande, je me rends silencieusement à mon bureau et ouvre le premier tiroir y trouvant un lubrifiant, un harnais d'emprisonnement et une autre lettre. Tremblant d'excitation, je pose les objets sur mon bureau et lis la lettre.
« 1. Mets-toi entièrement nu,
2. Masturbe-toi et arrête-toi juste avant de jouir,
3. Attache-toi avec le harnais en étant sur le canapé,
4. Tu as dix minutes pour tout faire. Si, quand j'arrive, tu n'es pas attaché, tu subiras le supplice de la couche non pas trois jours, mais un mois. Attention, les dix minutes ont commencé dès lors où j'ai raccroché tout à l'heure. »
Je suis autant choqué que excité de ce que je viens de lire. Ça faisant longtemps que nous n'avions pas fait ce genre de « jeu » – comme il l'appelle – et j'en frissonne. J'ai donc ... Dix minutes, non, moins ! Du temps s'est déjà écoulé et bien que ce soit plaisant, sur le long terme la punition de la couche et vraiment horrible et dégradante ... et puis, c'est relativement difficile à cacher.
Mon cœur bat la chamade alors que je me dépêche de retirer mes vêtements, ôtant ma veste et mon haut rapidement. Mes mains tremblent alors que j'ouvre la fermeture éclair de mon pantalon, mes yeux scrutant de temps en temps la porte ayant peur de voir déjà surgir Yoongi ou pire, le gardien. Je me rends compte à quel point je suis déjà dure lorsque je libère mon membre de ses tissues, pointant fièrement vers le plafond. Une fois nu, je me mets déjà sur le canapé, cachant mes vêtements dans le tiroir de mon bureau en cas ou, et commence sans attendre à me masturber.
Il ne faut pas que j'oublie de m'arrêter juste avant de jouir ... J'aimerais me risquer à aller jusqu'au bout, mais connaissant Yoongi, il est capable d'avoir mis une caméra dans la pièce, de façon à pouvoir voir ce que je fais et si je respecte bien ses consignes. Me caressant de toute ma longueur, un bruit venant dans le couloir me fait rouvrir les yeux. L'insécurité et la peur d'être vu ainsi me frappe soudainement, et j'arrête tout mouvement, essayant de calmer ma respiration erratique. Ne pas faire de bruit ... Je ferme les yeux plus fort et reprend mes caresses, jusqu'à sentir une boule de chaleur se former dans mon bas ventre. Commençant à me contracter, j'use toute de toutes mes forces afin de m'arrêter et me laisse tomber sur le canapé juste à temps.
Avec un soupir tremblant et remplie de frustration, j'essaye de reprendre ma respiration. Je ne sais même pas combien de temps s'est écoulé exactement, il faut réellement que je me dépêche ! Me relevant, je prends entre mes mains le harnais et regarde comment il se met avant de m'apercevoir qu'il s'agit du nouveau harnais d'immobilisation que j'avais montré à Yoongi il y a un mois. J'avais vraiment envie de l'essayer et encore une fois, me voilà comblé. Rien que de le toucher entre mes doigts, je me sens excité. Jungkook, il n'est pas temps de rêvasser, tu ferais mieux de te dépêcher.
Déglutissant, j'enroule les deux premières extrémités du harnais autour de mes poignets, pas assez pour restreindre les mouvements – il faut bien que je mette le reste sur mon corps –, mais assez pour sentir les sangles serrées autour des poignets. Je viens ensuite entourer la sangle du milieu autour de ma taille juste au-dessus de mes hanches, puis les deux petites sangles juste en dessous au niveau des cuisses et des chevilles, me retrouvant en position accroupie, les genoux proches de mon torse et bloquant ainsi mes jambes replier. La texture douce et à la fois rugueuse me fait frissonner. Mordant ma lèvre inférieure, j'entoure ensuite mon sexe de la dernière sangle centrale, me caressant timidement dans des mouvements toujours plus serrés.
Il ne me reste probablement plus beaucoup de temps. Je déglutis difficilement sous le stress et la stimulation, avant de tourner le dos à la porte, me positionnant sur les genoux, contre le dossier du canapé. Bien, maintenant que je ne peux plus bouger mes jambes – ni les déplier, ni les retirer de mon torse, je peux seulement écarter les cuisses – il ne me reste plus qu'à passer la sangles reliant mon sexe à l'anneau de mon collier et à fixer mes mains dans le dos. Il me faut quelques manœuvres pour attacher mes poignets, ne voyant rien, jusqu'à y arriver et d'entendre plusieurs tintements venant de la porte. Mon cœur ratte un battement alors que j'entends la porte s'ouvrir avant de voir une lumière de lampe torche se braquer en ma direction. Ma respiration se bloque, tendis que le gardien semble faire plusieurs pas dans la pièce et que je me retrouve nu, attaché et sans défense cachée derrière le dossier du canapé ! Le harnais m'empêchant tout mouvement – on comprend mieux son nom « d'immobilisation » lorsqu'on le porte et que l'on se retrouve piégé – , je ne peux pas fuir ni même me recroqueviller plus à cause de la sangle dans mon dos tenant mes mains jusqu'à mon collier ! Si je le fais, je risque de m'étouffer.
Bon sang ! Il se rapproche du canapé, je le vois dans le reflet de la vitre ! C'est pas vrai, Yoongi, aide-moi !
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