Chapitre 3 - Une douloureuse matinée

Le lendemain matin, je me fis réveiller par un coup de pied dans les bourses, ce qui me fit cambrer. Je n'avais même pas senti qu'elle avait enlevé ses pieds de ma bouche. D'ailleurs, mes muscles de ma cavité me faisaient mal à force de l'avoir eue ouverte toute la nuit.

- Aaah!!

- Ta gueule grosse pute !

Elle me mit un deuxième coup et appuya fermement dessus en retroussant ses orteils afin d'attraper mes bourses. Elle jouait avec en riant.

- Va me préparer à manger et sors toi un bol que tu poseras par terre. Ensuite, nous mangerons ensemble et je t'expliquerai le programme d'aujourd'hui.

Je sortis de sous la couette. J'avais si chaud là-dessous. Je m'apprêtais à me lever quand elle posait l'une de ses mains sur mes testicules déjà affaibli par ses coups.

- Combien de fois vais-je te le répéter, tu es un CHIEN, alors mets toi à quatre pattes tel le clébard que tu es puppy. Cependant, tu pourras te relever une fois dans la cuisine. Je t'y autorise.

Elle les serrait fortement en y plantant ses longs et jolis ongles vernis de bleu. Je me retenais de gémir car je savais qu'elle n'aimait pas ça. La pression qu'elle me faisait subir me fit me mettre immédiatement à quatre pattes, au sol. Elle lâchait mes bourses et je partais de la chambre, la queue entre les jambes. Une nouvelle fois, les escaliers furent compliqués à descendre. Je faillis tomber à plusieurs reprises. Une fois dans la cuisine, je me relève et commence à tout préparer. C'était plutôt simple puisque les robots faisaient tout à notre place. J'avais simplement à les programmer pour qu'ils fassent, par exemple, un smoothie. Un petit robot d'un gabarit d'une main s'occupait de prendre les fruits et les mixait à l'intérieur de lui. Puis il ouvrit la bouche, et un jus rouge se déversa dans un verre. Ayant passé du temps en camp de concentration, je n'avais plus l'habitude de toutes ces nouvelles technologies qui étaient arrivés. Il en fallait les moyens également.

Pendant ce temps, Léna enfila des sous-vêtements bleus, une robe de la même couleur avec des petits points blancs, un haut de la même couleur et elle restait en chaussettes. Ensuite, elle se dirigeait dans la salle de bain de sa chambre et se maquillait.

Je venais de poser un bol par terre et elle venait de faire son entrée. Elle était si belle... Si il n'y avait pas eu cette fichue loi, j'en aurai bien profité pour me mettre en couple avec.

- Mon toutou préféré, agite la queue pour moi, montre moi à quel point tu es heureux quand je te siffle et t'appelle à venir vers moi. Aller !

J'agite la queue à l'aide de ma main en la tournant dans tous les sens et j'accoure vers elle. Je lui baise les pieds pour lui montrer mon entière dévotion à son égard.

- Yug, allume la télé !

La télé s'alluma. C'était un reportage sur les nouvelles éditions de robots futuristes. Elle s'assit à sa place pendant que moi, je me remis à quatre pattes.

- Yug ! Commande moi ce vibromasseur !

Une pub passait pour un objet sexuel qui possédait également une voix afin d'exciter sa partenaire.

- Je ne te laisserai pas aller jusqu'à me faire jouir alors je commande ça pour te remplacer puisque les hommes en sont incapables. Quoique, parfois, tu auras le droit de toucher à mon entrée mais seulement si elle est sale ou si c'est pour m'amuser. Mais en aucun cas je ne t'autoriserai à essayer de me faire jouir car tu ne le mérite pas.

Elle vint abattre violemment son pied sur mes roubignoles. J'hurlais comme pas possible.

- Ta gueule sale clébard de mes deux !!

Elle enfonçait ses ongles de pieds dans mes bourses et s'amusait à les griffer jusqu'à ce qu'elles deviennent toutes rouges.

Mon souffle était court, je voyais trouble autour de moi car les larmes prenaient le dessus sur ma vision. Heureusement, elle lâcha prise. Bien sûr, elle ne voulait pas tuer son petit jouet fragile. Elle voulait juste s'amuser, elle. Je reprenais mon souffle tout en appuyant sur ma gorge en feu. Elle me brûlait oui, avec de légers picotements. Mes veines étaient carrément sortis. Elles étaient très visibles. Et mon cou, n'en parlons pas de sa rougeur. C'était la même couleur que mes bourses. Elle approcha le bol de ses pieds.

- Viens là chien. Allonge toi sous la chaise côté ventre et bouffe ta merde.

Elle déversa un paquet de pâtée pour chien et le mit sous la chaise. Je viens vers elle en me tenant l'entrejambe. Je m'allonge mais quand mes testicules touchèrent le sol, je sortis un gémissement. Elles étaient devenues hyper sensibles et c'était le but recherché.

- Ta gueule ! Sois heureux de la nourriture que je te donne ! D'ailleurs, tu devrais me remercier.

Elle me mit de nouveau un coup dans ce qui me servait à me reproduire. Je n'en pouvait plus. J'ai bien cru que mes yeux allaient sortir de leurs orbites. Je grimaçais comme pas possible et embrassa de nouveau ses pieds afin de la remercier. Deuxième épreuve, manger cette immonde nourriture pour chien.

Je me mis donc à la tâche et mangeais sans les mains et m'en mettant partout autour de ma bouche. Je ressemblais à un vrai cochon.

- Dis, fais le porc pour moi.

- Groin groin ! Fis-je, suite à sa demande.

Elle me claquait les fesses et entrait son gros orteil dans mon anus. Elle me griffait cette fois-ci l'entrée... Je sentais son orteil me pénétrer. C'était désagréable car elle le repliait en moi et ça faisait atrocement mal. Elle l'enfonçait très profondément. Je poussais de petits cris et elle fit des vas et viens jusqu'à l'enlever.

- viens lécher. Mon doigt de pied est dégueulasse.

Je me redresse mais elle appuie fortement ses deux pieds contre mon dos. Mes bourses touchent de nouveau le sol et j'hurlais comme pas possible. Elle était cruelle mais je devais m'y habituer. Je me redressai de nouveau et pris son orteil en bouche. Il avait un goût désagréable, du fait de l'endroit où elle l'avait enfoncé.

- Tu sens ce goût ? C'est ce que tu es. De la merde. Que dis-je, une sous-merde qui ne mérite que les divins pieds de sa maîtresse.

Elle bougeait son orteil dans ma bouche telle une tétine.On pouvait entendre des bruits de suçons.
Elle le retirait de ma bouche Mon trou de fesses me faisait atrocement mal suite à l'orteil qu'elle venait d'enfoncer. Elle soulève ses pieds.

- mets ta tête en dessous.

Je la place à l'endroit indiqué et elle vient abattre violemment ses deux pieds sur ma tête. Mon visage s'enfonça dans la nourriture et elle l'écrasait comme si j'étais un mégot de cigarette.

- Tu es un porc. Je te salis donc. Remercie-moi en faisant le porc.

- Groinn Groinn !! Fis-je la tête dans ma gamelle.

Elle enlevait ses pieds et je relevais ma tête. Elle se levait de sa chaise, enlevant sa culotte et s'agenouillant.

- Plaque ton menton au sol et regarde-moi faire.

Je plaque donc mon menton au sol et la regarda plonger son sexe dans la nourriture.

- Régale-toi.

Dit-elle en se relevant légèrement. Je vais donc pour la lécher mais elle me met une gifle.

- Les mains derrière le dos salope.

Je mis donc mes mains derrière et léchais son entrejambe chaud par la nourriture. Je m'en mettais partout autour de la bouche.

- Tu n'es pas assez sale.

Elle tirait violement mes cheveux et me plaquait contre son sexe.
Elle me serrait tellement fort contre son entrejambe que mon nez s'enfonça en elle. Elle s'amusait à se doigter avec mon nez et je gémis ultra fort pour qu'elle me laisse respirer. Le problème c'est que, me voir souffrir excitait ma maîtresse alors elle ne lâchait pas prise.

- Grosse pute !! Étouffe toi sous la divine chatte qui te touche le nez !!

Je n'en pouvais plus, mes mains pressaient ses fesses pour appeler à l'aide. Elle me les griffait et s'enlevait de moi. Juste avant que je n'ai le temps de reprendre de l'oxygène, elle plaquait son anus à mon nez et lâchait un gaz très odorant. Je failli vomir ce que je venais de manger et repris mes esprits. Elle me remit son nez en elle et continua jusqu'à me mouiller sur ma gueule de chien. Elle s'enleva de mon nez et lâcha son liquide sur les restes de nourriture. Puis elle cracha à plusieurs reprises dedans et commença à uriner dessus.

- Régale toi ma petite merde, la prochaine fois sera bien pire.

J'avais tellement honte de manger cela. C'était horrible. Comment un humain pouvait le faire ? Après tout, je n'en n'était pas un, j'étais un chien. Je mis en contact ma langue avec cette immonde nourriture qui ne ressemblait plus à rien. Je ne pus manger que quelques bouchées tellement c'était immonde.

- Ce n'est qu'un avant goût de ce qui va t'arriver avec moi. Je tiens à te détruire que ce soit physiquement ou mentalement. J'ai bien souffert par un homme autrefois, qui me violait sans cesse et me battait. Heureusement qu'il y a cette loi désormais. N'es-tu pas heureux d'être à mes pieds ? Je n'irai pas jusqu'à te battre ou te faire mal jusqu'à en saigner, mais t'humilier d'une certaine façon, oui.

Elle prit une pause avant de reprendre :

- D'ailleurs, aujourd'hui on va t'acheter du matériel de chien afin de bien te dresser.

SUITE ?

Pardonnez-moi pour cette longue absence ! J'ai fait un chapitre un peu plus hard et sale. J'essaye de convenir à tout le monde, que chacun y trouve ses fantasmes donc désolé si il y a certaines scènes qui semblent dégueulasses.
Je ferai des chapitres plus soft pour les amateurs de ça, je ferai également du yaoi (relation gay), j'essayerai aussi un chapitre sur le BDSM.
Et attendez-vous à des passages où il y aura moins de soumission mais de l'action car j'essaye un nouveau style ; futuriste avec pour thème la soumission et une intrigue en arrière plan car comme vous avez pu le remarquer, sur la préface, j'ai fait en sorte de mettre le lecteur en haleine car il s'est produit une scène que je n'écrirai pas encore.
Tout cela se dévoilera à la fin, j'essaye de faire un début rempli de soumission en essayant de faire une fin avec de l'intrigue et du suspense ! J'espère sincèrement que ce nouveau style vous plaira !

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