Chapitre 2 - Mon premier jour
Je me retrouvais donc seul dans cette grande villa où elle vivait en solitaire. Pourquoi dépenser autant d'argent dans une aussi grande structure en étant seul ? Je ne comprenais pas la raison. Il y avait une magnifique vue sur une forêt. On pouvait y voir une cascade s'y déverser. Je comprenais maintenant pourquoi elle avait acheté ici... Les baies vitrées étaient immenses, ce qui faisait facilement entrer la lumière du jour. Le temps était nuageux et brumeux et pourtant, les salles étaient super bien éclairées. Je me demandais bien ce que ça donnait en temps ensoleillé.
Après l'annonce qu'elle me fit, je restais bouche bée. Elle me confirmait qu'elle allait m'utiliser comme son jouet sexuel, afin de la combler de ses moindres désirs. Cette idée ne me plaisait guère...
- Tu m'écoutes ? Demanda-t-elle en me relevant le menton.
J'hochais simplement de la tête et elle me mit une gifle.
- On répond à sa maîtresse lorsqu'on est poli ! Et on dit "oui maîtresse."
Je me pris la gifle sans broncher.
- Oui maîtresse. Excusez-moi.
- Bien. Il va falloir que je fasse ton éducation à ce que je vois. Désormais, tu es ma propriété alors tu me dois respect. Pour cela, tu me vouvoies et tu placeras le mot "maîtresse" à chaque fin de phrase. Est-ce clair ?
- Oui Maîtresse.
Répondis-je la tête baissée en regardant ses pieds.
- Chaque matin, tu me rappeleras ce que tu es. J'espère que tu connais la réponse ?Demanda-t-elle en posant ses mains sur les hanches, me regardant de haut.
Je relevai la tête et la regardait.
- U-un humain comme tout le monde, non ?
Elle me gifla à nouveau.
- Non ! Tu es un chien ! Et à ce que je sache un chien n'est pas un humain mais un animal alors retiens bien ça dans ton petit crâne ! Répète après moi :
"Je suis ne suis qu'un sale chien et j'appartiens à maîtresse Léna !"
Je répétais donc ce qu'elle me dit :
- Je suis un chien et j'appartiens à maîtresse Léna.
Elle me frotta les cheveux comme on le ferait à un chien.
- Donc je disais, chaque matin tu me rappeleras ce que tu es et tu te rabaissera toi-même.
Je compris à l'instant le but de cet exercice répétitif, elle voulait que je me persuade de mon inutilité à la société, que j'étais une merde et que je lui appartenais...
- Je rajoute une chose : à chaque fois que tu voudras demander la parole, tu devras aboyer tel le chien que tu es. Je vais un peu bosser alors tu vas me servir de repose-pied. Suis-moi à quatre pattes.
Elle partit en direction de sa chambre. Je marchais tel un chien. Heureusement pour moi, il n'y avait pas d'étage mais la demeure était bien grande...
- Oh et demain on ira t'acheter du matériel pour chien !
Léna s'assit devant son bureau. Le décors de sa chambre était rempli de LED de toutes les couleurs, de tableaux de paysages de montagnes, de posters de chanteuses et d'actrices.
- Yug ! Lance moi une playlist chill ! Dit-elle en s'adressant à un petit robot noir et blanc qui ressemblait à une enceinte.
Ladite enceinte s'alluma d'une lumière jaune et lança plusieurs musiques qui défilèrent. Bien-sûr, les musiques ne présentaient que des artistes femmes.
- Viens là le chien ! Mets-toi en dessous de mon bureau.
Je m'allongeai en dessous et elle posa ses pieds sur mon ventre.
- Oh ! J'allais oublier quelque chose ! Un chien ne porte pas de vêtements. Alors mets-toi nu tout de suite !
Je me redressai en soupirant et elle me gifla de son pied.
- Ne conteste pas mes ordres. Est-ce bien clair ?
J'hochai de la tête alors qu'elle prit mon visage de ses longs doigts fins et vernis de rouge. Lorsqu'elle me le lâcha, je me déshabillai sans honte. J'avais eu l'habitude d'être nu alors ça ne me faisait rien de l'être devant cette femme. J'avais la chance d'avoir une belle carrure et un sexe dans la moyenne. Elle ne me prêta guère d'attention et me fit signe de retourner à ma place. Je m'allongeai de nouveau et elle déposa ses pieds froids sur mon torse. Mes poils se redressèrent au contact d'eux.
La jeune femme travaillait sur son ordi, alors je pouvais entendre le bruit des touches qu'elle frappait afin d'écrire. Elle retroussa ses orteils et enfonça ses ongles de pieds dans ma peau. Je me retins de gémir en me pinçant les lèvres mais c'était trop dur.
- hmm....
- Ta gueule le chien.
Elle appuya d'avantage et je serrai les dents en laissant échapper une larme de douleur. Je n'aurai jamais pu penser que de simples ongles pouvaient faire aussi mal. Elle m'avait l'air bien sadique... Et encore, ce n'était que le début de mon calvaire. Elle griffa toute la longueur de mon torse et s'amusa à me marquer un "L".
- Je te grave la première lettre de mon prénom alors contente toi d'être heureux. C'est pour te montrer à quel point tu m'appartiens désormais.
En effet, mon torse était tout rouge et tracé par cette lettre. Elle n'en avait pas fini et s'amusa à me triturer les tétons dans tous les sens.
- Aiiiie !!!!
- Putain mais tu ne comprends pas quoi dans "ta gueule" ?! Hurla-t-elle en appuyant son talon sur mon sexe déjà bien dur.
Mais c'est qu'il aime ça en plus ! Sale cochon ! Il fallait me le dire plus tôt !
Léna donna plusieurs coups dans mes testicules en me laissant gémir. À un moment, elle posa la plante de son pied le long de mon membre et planta ses ongles dans mon gland. J'hurlai de douleur mais elle s'en contre fichait. Elle fit pire encore : elle enfonça le petit ongle dans mon urêtre.
- Ça fait mal hein ? J'espère que tu souffres bien car j'ai besoin de me défouler, vois-tu ?
Heureusement, elle s'arrêta là.
- Bon aller, fini l'amusement, on va dormir.
"L'amusement ? Sérieusement... Elle se fout de moi là."
La blonde éteignit son enceinte et s'allongea dans son lit à deux places.
- Chaque matin, tu viendras me lécher l'entrejambe afin de me réveiller. Et tu dormiras à mes pieds, tel un chien à sa maîtresse. Aller, viens.
Je me levai et me dirigeai vers son lit. Je me faufilai sous la couette et partit me cacher au fond. Elle posa ses pieds sur mon visage.
- Chaque nuit je poserai mes pieds sur différentes parties de ton corps. Aujourd'hui on va commencer par ta gueule de clébard alors ouvre-là.
J'ouvris ma bouche et elle enfoui ses deux pieds à l'intérieur. C'était horrible car ma bouche n'était pas faite pour supporter deux pieds. Alors les muscles de ma mâchoire me faisaient atrocement mal à force de rester dans cette position. Et ma salive commençait à manquer du fait que je ne pouvais pas la fermer. De plus, j'avais de la bave qui coulait à chaque extrémité de mes lèvres. C'était une vraie torture. Elle était bel et bien sadique et avait des idées terribles.
- Hmm... C'est tout chaud là dedans, tu vas bien me les réchauffer comme ça ! Bonne nuit soumis.
Léna s'endormit profondément, tandis que moi je souffrai le martyre.
SUITE ?
désolé pour la longue absence ! En espérant que mes chapitres soient assez longs !
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