2. Divin

-  《Allô 

-    Le colis a été bien livré à l'appartement vingt neuf comme demandé monsieur. 

-     Bien》

Je raccroche et enfonce ma main dans mon pantalon avant de me diriger vers l'immense baie vitrée qui me fait face.

-  Monsieur Aragon, voici le dossier que vous avez demandé. Me dis ma secrétaire en entrant dans mon bureau 

-  Déposez le sur la table. Vous pouvez rentrer chez vous Cécile 

-  Merci monsieur 

Elle s'exécute rapidement et disparaît derrière la porte.

Il est déjà vingt heures et à cause de moi j'ai des employés qui font des heures supplémentaires comme si tout le monde était dans ma situation. 

Éternel célibataire 

Au moins cette année je vais me taper une belle femme.

Anastasia 

Je l'ai rencontrée il y a peu et je dois reconnaître que les nuits que je passe avec elle sont plutôt torrides, pas extra mais disons qu'elle s'est s'y faire.

J'ai prévu de passer ma nuit avec elle, pas de restaurant, pas de déclaration juste une bonne nuit de sexe. 

Pourquoi s'encombrer quand je repars bientôt?

Je reprends place sur mon fauteuil et recommence à travailler. Il est vingt et une heure quand je décide de fermer ma machine et de rentrer chez moi.

Je dois être le dernier à cette heure.

J'attrape ma veste et ferme mon bureau, je dois prendre une bonne douche avant de me rendre à mon rendez-vous. 

Tout est déjà prêt et n'attend qu'elle.

****

Je traverse le hall d'entrée de l'hôtel le Prestige quand la réceptionniste me sourit poliment. 

-  Monsieur Aragon, votre invité est déjà là 

-  Merci Elisa. 

Un lent sourire se dessine sur mes lèvres quand je prends l'ascenseur. 

J'attends les vibrations de mon téléphone dans ma poche et je le porte à mon oreille sans prendre la peine de savoir qui sait.

-  Allô.  Dis je déjà saoulé 

-  Allô Harris, je pensais que nous devions passer la soirée ensemble. 

-  C'est exact où est le problème ? Je demande confus 

-   Je n'ai toujours pas reçu ton invitation et il est déjà vingt-deux heures, aurais-tu changé d'avis ?

Je ne comprends pas,  qu'est ce qu'elle me raconte, si ce n'est pas elle qui m'attend dans la chambre alors c'est qui?

-  Je te rappelle.

Je mets fin à cet appel quand l'ascenseur ouvre ses portes, je sors le pas décidé à renvoyer cette inconnue d'où elle vient. 

Comment cela a pu se produire 

Deux hypothèses s'offrent à moi a cet instant soit elle s'est faite passer pour celle qu'elle n'est pas, soit le fainéant  de Christian s'est bourré d'adresse, bizarrement je me penche beaucoup plus sur cette deuxième option connaissant mon jeune cousin.

De toute les façons, cette jeune femme va devoir déguerpir, j'ai une nuit à rattraper. 

J'ouvre la porte et ce que je vois me cloue. 

En genoux sur le lit, les deux mains derrière son dos, elle ne porte que ce string en dentelle rouge et son porte jarret que j'ai pris plaisir à choisir.

Les seins nu et bien rebondi, je ne peux qu'avaler ma salive devant cette vue paradisiaque qui me fait face.

Un spectacle à vous couper le souffle 

Si je m'attendais à ça. 

-   Austin ? Appelle t'elle sûrement après avoir attendu la porte se refermer. Elle a les yeux bandés comme demandé. En fait, elle a effectué à la lettre les recommandations que j'ai laissées sur ce petit carton posé sur le lit accompagné d'une rose rouge.

Je hausse un sourcil à l'attente de ce prénom, Austin, décidément mon cher cousin à encore frapper fort.

Qu'est ce que je fais? Je n'avais pas prévu qu'elle soit si bonne, si bandante. Et puis zut je n'ai jamais dit que j'étais un enfant de cœur, au pire des cas on dira qu'on s'est trompé tout les deux.

Un sourire démoniaque prend naissance sur mes lèvres quand je tamise la lumière et m'avance vers elle.

-   Austin c'est toi?

J'ouvre un tiroir, sort un petit fouet et m'avance vers elle.

Je lui caresse ses bouts de seins qui deviennent rapidement durs et un soupir de bien être l'envahit.

-   Je… commence t'elle.

-   Chut… Lui dis je en donnant un petit coup sur ses seins 

Elle gémit ce qui me fait sourire. 

De mon fouet, je caresse son corps en entier et entre la petite tige entre ses cuisses ce qui l'oblige à les écartés,

bien

Mon fouet se glisse sur sa petite culotte et la chatouille de toute sa longueur, elle se tortille légèrement en gémissement. 

Elle est tellement sensuelle dans ses gestes et sa bouche pulpeuse ne me donne qu'une seule envie, l'embrasser. 

Je la pousse légèrement à l'aide de mon fouet et elle tombe sur le lit.

Elle s'est parfaitement ce que j'attends d'elle,  elle semble lire dans mes pensées. 

J'adore. 

Je n'ai pas besoin de parler pour lui comprendre ce que j'attends d'elle. 

J'enlève ma veste et me rapproche de la tête du lit, à l'aide des menottes posées sur la commode, j'attache chacune de ses mains et elle se laisse faire.

Bien.

Une gentille fille. Elle est toute à moi maintenant. 

Je me déplace le pas lent en retirant mes manchettes de chaque côté que je pose sur la commode et retrousse les manches de ma chemise blanche 

Que le jeu commence. 

Je fais glisser avec une lenteur délibérée son petit string et le jette à travers la pièce, puis empoigne ses deux cuisses fermement avant de m'en fouir en elle.

Un premier coup de langue, elle frémir et je souris.

Elle ne devait pas s'attendre à ça. 

Je prends mon temps pour la goûter, ma langue caresse ses deux lèvres avant de s'enfoncer entre sa fête légèrement ouverte puis vient s'enrouler sur son clitoris que taquine sans m'en départir de ses gémissements. 

C'est bien ma belle, crie, crie pour moi.

J'accélère le rythme et lappe de plus en plus vite cette zone si érogène et enfonce mon doigt dans ce trou qui me semble bien humide pour un début de soirée. 

Un doigt, puis deux.

Je la martèle encore et encore jusqu'à ce qu'elle n'en peut plus en se libérant dans une jouissance phénoménale que je m'empresse de goûter. 

Divin

-    Tu… Commence t'elle à bout souffle

-    Chut. 

L'aurait-elle comprise? Que je ne suis pas l'amant qu'elle devait attendre ce soir?

Peu importe, je compte bien prendre mon pieds tant qu'elle ne me dit pas stop.

Je me déshabille et enfile un préservatif sur mon sexe douloureux et gorgé de sang.

Je ne peux pas me retenir, plus longtemps. 

Je me positionne au-dessus d'elle et s'insère profondément, elle lâche un long gémissement. 

C'est ça ma belle, crie encore plus fort.

Ma bouche se pose sur son cou et lui dépose des petits baisers.

Elle est tellement bonne, si étroite. 

J'en veux encore. 

Je m'enfonce encore plus, je la veux en entier. Ma bouche trouve sans mal la rondeur de ses seins et je ne peux m'empêcher de la titiller de mes dents avant de la caresser du bout de ma langue pendant que ma main s'amuse à jouer avec sa paire jumelle. 

Cette femme est un vrai délice. 

Le dos cambré, elle me reçoit encore et encore et mes râles de plaisir ne sont pas en reste.

Après plusieurs acharnement de va et vient profond à la recherche du plaisir ultime, je me libère violemment suivie par son cris de jouissances. 

Elle est fatiguée, épuisée, elle respire fortement. 

Je reprends mon souffle puis enlève ses menottes. 

À ma grande surprise elle ne retire pas le bandeau qui cache ses yeux et se tourne sur le côté. 

Après avoir enlevé le préservatif, je me rhabille malgré mon corps en sueur et m'approche d'elle. 

J'aurais tellement voulu voir les yeux de celle qui m'a rendu fou en une soirée. 

Mais je comprends que c'est son choix, elle s'est rendue compte que je n'étais pas la personne désirée. Je suppose que c'est le seul moyen qu'elle a trouvé pour se protéger. 

Je couvre son petit corps et je me baisse pour mieux le regarder. Elle ne dit rien, ne fait rien.

Je soulève son menton et dépose un chaste baiser sur ses lèvres pleines et  douces avant de me relever.

Je mets dix mille dollars sur la commode et m'en vais.

Au moins je me serais fait pardonner.

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