chapitre 9
- La vie est difficile en?
Je me suis vivement retourné, c’étais Kate, la meilleure amie de Clément. Je l’ai scruté, regarder pendant qu’elle enlevait sa veste et s’assoyait.
- Que qu’il ne va pas? Raconte.
Elle parlait sur un ton reposé, comme si nous étions amies depuis plusieurs années, et non des connaissances qui avaient échangés une ou deux phrases.
- Pourquoi je t’expliquerais?
- Ce n’est pas grave, tu ne veux pas en parler parle pas.
Il y a eu ce silence, elle me regardait, comme si elle essayait de mémoriser mon visage. Pendant un long moment qui me paru une éternité, il y a eu un silence.
- Tu sais surement l’histoire.
Ai-je dit en repensant a ce que Clément m’avais dit, ils étaient très proche il devait déjà tout lui avoir dit.
- Non pas toute, Clément ne voulait pas rentré dans les détails, il voulait que j’aille te trouver et que j’aille voir si tu allais bien.
- Ok… un bref récit. Il y a 4 ans, ma grand-mère est morte, quelques semaines plus tard, mes parents nous ont dit que la magie était dangereuse, qu’il fallait tout arrêter ce qui avait en commun ou toute magie. Ce que j’ai fait, sans poser de question. Et je viens de découvrir que ma grand-mère à invoquer les esprits noirs pour mourir, et depuis mes parents me mente sur ma mort de ma grand-mère.
- Clément a nommé ta sœur tantôt…
- Maddie, ouais, elle est plus jeune que moi. Et savais tout. Depuis un très long bout, en fait tout le monde le savais, sauf moi, ce qui fait de moi la seule a qui personne n’avais rien dit.
- Ah… je comprends
- Ma cousine était ma meilleure amie, celle qui me comprenait, elle m’a mentis, j’avais presque toujours tout dit a la sœur, elle m’a mentit, mes parents aussi, mon cousine, mon oncle et ma tante…
- Sa fait un tat de gens… j’ai une question, si tu ne veux pas y répondre c’est correcte.
- Vas-y…
- En fait deux question, mais, Aurais-tu aimé ne rien savoir, ou le savoir est mieux.
- Difficile à dire… d’une manière, j’aime mieux savoir la vérité, mais je n’aime pas la division que sa crée entre moi et ma famille.
- Je comprends…
J’ai attendu la deuxième question, mais elle n’Est pas venue.
- Tu n’avais pas une deuxième question?
- Ah! Ouais… heum… Clément m’a demander de te demander discrètement pourquoi tu avais fuit…
Je l’ai regardé un moment, je ne m’attendais pas a cette question, même moi-même ne savais pas la raison. J’ai accoté ma tête sur mes bras. Et lentement j’ai relevé la tête, elle me regardait encore avec un regard incisant mais a la fois, doux, qui m’incitais un peut plus a parler.
- Je ne sais pas…
- Sure?
- Non, en fait je sais.
- Alors…?
J’ai pris une grande respiration.
- L’année passer, il y avait ce garçon, lentement il c’est mit à me parler, de plus en plus, je n’étais pas intéresser, je ne lui ai pas dit. Lentement nous sommes devenues plus proche. De plus en plus il me plaisait… mais il avait une blonde, je respectais cela. Il y a eu cette soirée, il a cassé avec sa blonde, nous avons passé la soirée coller, a se donner la main. C’étais un dimanche, le soir même, j’avais eu de la misère à dormir, je me trouvais chanceuse, il était beau, romantique… et il m’aimait, il me l’avait dit. Quand je suis arrivé à l’école, il était la à charmé une autre fille, je les ai regardé, pendant que les larmes coulais sur mes joue, quand la cloche à sonner, ils se sont embrasser, ensuite, ils se sont donné un câlin, il m’a vue, il m’a souris et est passé a coté de moi comme si de rien n’étais…
- Quel salaud… tu ne méritais pas ça.
- Je ne croix pas que personne ne le mérite.
- Tu as donc, eu peur…
J’ai hoché la tête, signe de oui, j’avais trop peur que ma voix montre mon signe de faiblesse, j’avais les larmes aux yeux à repenser a la douleur que j’avais ressenti. Depuis ce temps, je regarder les couple et me dit qu’un jour ils sont se défaire, que la fille vas souffrir, depuis ce jour je ne croix plus a l’amour.
- Je le connais depuis longtemps, croix moi ce n’est pas son genre, il n’a jamais eu de blonde, pour une bonne raison, il n’avait pas trouvé la bonne. Quand il m’a parlé de toi la première fois, c’étais comme si tu étais mystérieuse pour lui… il m’a souvent parlé de toi. Je croix vraiment qu’il t’aime. Pour de bonne raison, parce qu’il est amoureux, je la croix bien…
Il y a eu encore une fois eu un silence.
- Tu croix vraiment ce que tu as dit…
Ai-je dit tout bas presque inaudible, gêner à la fois. Elle m’a regardé avec son regard pressant sur moi, attendant surement que je répète puisqu’elle n’avait pas entendu. Quand elle a vue que je ne répèterais pas, elle c’est lever et a commencer à remettre sa verste. Au dernier moment elle m’a lancé un regard pesant.
- Si tu l’aime dit lui. Si tu ne l’aime pas comme il le voudrait, dit lui aussi.
Puis elle est partie. J’étais à ma table à fixer l’endroit ou elle était assise. J’y suis resté longtemps. Peut a peut j’ai remarqué que le monde sortait peut a peut, je me suis ramasser seule dans la boutique. Le propriétaire nettoyait les table, je me suis lever et que je suis partie. Je sentais le vent léger sur mes joues, légèrement froid mais aussi chaud d’un coté. J’ai marché jusqu'à chez nous et je suis rentré, comme si rien ne c’étais passer dans les 24 dernières heures. Je suis rentré dans la chambre et j’ai vue ma sœur qui était dans la salle de bain. Elle m’a regardé et est retournée dans sa chambre en fermant sa porte derrière elle. Je me suis coucher sous mes drap, et j’ai senti les douleurs que j’avais fui dans les dernières heures, le mal, des trahisons, du mensonge…
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