chapitre 4
Refermant encore une fois la porte de mon casier, je sursaute encor une fois parce Clément se tien encore une fois. Il est partit a rire, un rire qui était contagieux.
- Ce n’est pas drôle!
- Mais si, je te l’assure!
Nous avons commencé à marcher, ma sœur marchait devant nous avec son amie.
- Alors toi tu passe par le parc et deux rues plus loin c’est ta rue?
- Ouais!
- Aa… alors toi tu habites dans une maison de…
- Riche, tu peux le dire!
- Riche.
Nous étions devant le parc, avec un rapide regard, j’ai vue une fille assise sur un banc, ma cousine.
- Hey, je vais marcher avec toi jusqu’au parc, ma cousine est la, je vais aller la voir.
- D’accord.
- Maddie! Je vais au parc, Alice est la!
- Ok.
Nous avons marché jusqu'au parc où Alice c’étais assise.
- Salut
Elle c’est retourner, elle avait encore le visage remplit des douleurs de sa rupture et de la perte de sa meilleure amie. Mais elle nous a souris et je me suis rappeler la présence de Clément qui scrutait ma cousine. Pendant un moment personne n’a parlé, et a ma grande surprise, Clément le brisât.
- Vous êtes vraiment de la même famille.
- Ouais
- Ce n’était pas une question. Je le sais
Je fus surprise, ma cousine ne me ressemble pas, pas du tout, avec ces cheveux châtains qui descendaient un peut en bas de ces épaules et ces yeux verts, elle ne me ressemble pas, j’ai les cheveux bruns et lices avec des yeux bleues. Nous ne nous ressemblons pas.
- Pourquoi tu dis sa?
- Votre pouvoir est fort, le tien, celui de ta cousine, celui de ta sœur.
- De quoi est ce que tu parle?!
- La magie.
C’est ce ces mots que je compris, que les liens se sont fait dans ma tête, ces frissons, c’étais lui, il essayait de toucher mon esprit avec ces sens. Il parlait du pouvoir de la Wicca. La Wicca était la religion, je dis bien ÉTAIT.
- Pourquoi est ce que vous vous cachez?
J’étais bouche bé, je ne pouvais parler, la magie, la Wicca, c’étais deux choses bien dans le passer, deux choses que je n’avais pas utilisé il y a long temps, 4 ans pour être exacte. Je le regardais droit dans les yeux, ces yeux bleus, qui étaient… magnifiquement beaux.
- C’est du passer
Ce n’étais pas moi qui avait parlé, c’étais ma cousine, elle avait un ton ferme même si elle semblait effrayer, même si il n’y avait as vraiment de choses qui pouvais lui faire peur, la Magie devais lui faire peur… mais moi…. au contraire. Ma cousine est partie ensuite sans dire un mot, elle est repartie sans rien dire. Je me suis retrouver devant Clément, bouche bé, sans rien dire l’air d’une idiote. Les mots tourbillonnais dans ma tête mais ne voulant pas sortir de ma bouche. Si il savait que j’étais une sorcière, c’étais parce que lui aussi en étais une… je ressentis les légers picotements comme les autres fois, j’ai rapidement reculé prenant précaution de mettre un pied après l’autre pour ne pas m’enfarger. Repensant a tout ce que mes parents et grand parents m’avais enseigné sur la protection mental, comment ériger un mur sur le quel les autres personne se cogne quand ils cessaient de fouiller dans esprit, ce que vous pensez, ce que vous vous souvenez…
- Hey! Je ne vais pas te faire de mal, je veux juste comprendre.
- C’est pas de tes affaires et arrête ce que tu fais!
J’ai aussitôt senti que les picotements et la pression qu’il exerçait s’arrêter. Puis je me suis retourné, et j’ai marché jusqu'à chez moi, j’ai entendu a deux reprises qu’il esaillait de me faire revenir, il s’excusait, mais je n’y fis pas attention.
Le lendemain, j’ai passé ma journée sans le regarder, sans lui donner de l’importance, pour qui il se prend pour interrompe ma vie et la gâcher?! Sérieusement, pour qui il se prend?! Quand la cloche qui annonce la fin de la journée sonne, je cours presque pour sortir de classe, j’étais assise a coté de lui, il avait essayé de me parler, mais le professeur parlais et a chaque fois le professeur l’avertissais. Donc, je marchais très rapidement vers mon casier. Mais quelqu’un m’a interpellé. Me retournant, une fille au cheveu brun et de grands yeux était derrière moi. Elle me tendait une enveloppe blanche.
- C’est toi Lili-Rose.
- Oui
- Ce n’était pas une question, je le sais, ou je le sens…
- Bon, Quesque tu veux?
- C’est tombé de ton sac.
Elle me tendit encore une fois la lettre, que cette fois-ci je pris, d’ès qu’elle m’avait rendu la lettre elle est repartit, presque en gambadant. Je me souviens d’elle, ou de ces yeux… je me suis rendu à mon casier, puis je suis allé voir ma sœur a son casier, elle n’y était pas, ni aucune de ces amie. Puis, je me suis rappelé qu’elle allait dormir chez son amie, elle me l’avait dit ce matin pendant la journée elle avait une sorte de douleur dans les yeux, même son sourire ne réussissais pas a me trompé. Nous sommes le… 28 septembre… la date de la mort de ma grand-mère… je regardais bêtement a lettre, au milieu de corridor, autour de moi, les autres élèves me bousculais pour sortir dehors, je me suis trainer péniblement jusqu'à mon casier, j’y ai pris mes livrai sans vraiment y prêter attention, comment j’ai pu oublier sa…? J’ai pris tout mon temps pour rentrer, sachant que personne n’allais y être avant 5 :30. J’ai pris tout mon temps pour marcher, ça fessais 4 ans aujourd’hui même que ma grand-mère a quitter ce monde, un peut avant, elle m’avait dit que le monde ici, que ce monde n’étais que construit de malheurs, c’est maintenant que l’ont s’en rend conte, quand les choix a faire ce sont plus entre les balançoires ou la glissade. A un certain moment, ont s rend conte que la vie est beaucoup plus compliquer, que finalement, nos parents, travail, et ne font pas vraiment un travail qu’ils aiment, et que un jour, nous feront peut être comme eux. J’étai perdu dans mes pensées, je n’aie presque pas remarqué quand je suis passé devant le parc, j’ai presque passé devant ma maison. Comme je le pesais, Papa était encore au travail, et maman aussi, ma sœur était chez une amie. J’étais donc, chez moi, n’aimant pas entendre ma maison aussi silencieuse, j’ai décidé de garder mes écouteurs avec ma musique. Je me suis prise une pomme et je suis monté dans ma chambre. J’ai commencé a faire mes devoirs de math, ensuite j’ai fait mes études, et quand j’ai sortie mon livre de français, une enveloppe en est sortie avec le livre. L’enveloppe que la fille m’avait donné, je l’a ouverte, il y avais une personne qui avais écrit en bleu, D’une main très agile, une belle écriture.
Il faut que tu sache la vérité sur tout, la raison du pourquoi…
C.
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