chapitre 15
Rentrer dans la maison, j’avais encore le sourire béant sur le visage, il ne c’étais pas arrêter dans le chemin du retour vers chez moi, même si Clément n’avais pas pu aller me reconduire, il devait garder Brooke et ces parents avaient souligné le fait qu’il ne pouvait pas seulement lui jeter un sort pour approfondir le sommeille de Brooke pour sortir et le fait que mes parents ne voudraient surement pas que je dorme chez un garçon quand il n’y a pas d’adulte à la maison. (Et même là, je croix que le fait que j’ai un petit ami les dérange, alors, j n’imagine même pas dormir chez lui… ils seraient fou de sage et j’avoue que l’idée me fait peur…) mes parents et ma sœur étaient assis autour de la table, de sa voix autoritaire papa a dit pas trop fort mais pas trop faiblement :
- Vien discuté.
- Ok…
Je me suis assise devant eux... la sœur était entre eux et ne me regardait pas contrairement a mes parents.
- Nous avons plusieurs questions à te poser.
- Sa aurais bien tombé quelque jours plus tôt de mon bar, mais je sais tout maintenant, même plus.
- Plus? Quesque ça veux dire?!
- Ont a tous nos secrèt.
- Jeune fille, tu ne nous parleras pas sur ce ton, tu es arrogante!
- Je suis désolé…
Après un bref moment de réflexion ce fut ma mère qui prit la parole. D’une voix plus calme.
- Nous aussi… nous sommes désolés. Ont n’aurais jamais due te le cacher.
- Pourquoi...
Ma voix n’étais plus qu’un petit chuchotis bas, et secouer de trémolo.
- Tu étais si fragile, si facilement boulversable…
- Tout le monde le savait. Tous. Et personne ne m’a jamais rien dit. Même ma propre sœur.
Je vue ma sœur bouger un peut. Mais elle ne releva pas la tête, je la voyais trembler. Et puis, comme toujours, le téléphone de papa a sonné et il a décroché et c’est lever et est parti de la pièce. Maddie à lever la tête, ces yeux bouffit et le visage rouge et remplis de larmes, elle essayait de respirer, mais avais de la misère.
- J...je...j... dé…o…d...
Je savais ce qu’elle essayait de me dire. Je la connaissais, j’ai vécu avec elle pendant 12 ans. Je la connais, elle a des regrets pour tout. Elle ne m’a pas menti parce que ça lui chantais, elle essayait de me protéger comme tout le monde. Pourtant je ne croix pas qu’ils m’ont évité le mal. Je me suis lever et j’ai poussé la chaise de mon père et me suis agenouer devant ma sœur et a pris ses mains sans mes mienne. Ses épaules se soulevaient par petit coup sous l’effet des larmes. Nous avons entendu mon père jurer et il est parti par la porte d’en avant, et nous avons vue sa voiture passer dans la fenêtre. Je me suis retourné vers ma sœur qui continuait à sangloter.
- Je sais que ce n’est pas ta faut… mais, met toi à ma place, tu serais fâcher toi aussi, mais je ne le suis plus. Je ne suis plus fâcher contre toi.
Elle a relevé la tête pour me fixer.
- C’est vrai
Sa voix étais briser par les sanglots et elle chuchotait. J’ai hoché la tête et elle c’est lancer a mon coup et m’a serer très fort, j’ai vue ma mère me sourire derrière ma sœur. Je ne savais pas si je leur pardonnais, parce que c’étais eux qui avait interdit a tout le monde de me dire quoi que ce sois a propos de tout cela… je ne pouvais pas lui en vouloir, ma sœur n’avais qu’écouter aux ordres de mes parents. Et mes parents voulaient me protéger. Mais je leur en voulais encore d’avoir essayer de me tenir de coté dans l’insouciance. Je ne sais pas ce que je vais faire. Ma sœur c’est relever de notre gros câlin. Et elle a regardé ma mère qui a ensuite dit :
- Bon, je croix que nous avons fini.
Je me suis lever et je suis monté en haut suivi de ma sœur. Et nous sommes rentrés dans notre chambre. Je me suis mise en pyjamas et je me suis rendu dans la salle de bain ou ma sœur se démaquillais, j’y ai pris la brosse a cheveux et j’ai défait les nœuds que Clément y avait fait a mettant ses doigts dedans, mais a ce souvenir je me suis mise à sourire, et ensuite rire. Ma sœur m’a regardé dans mon reflet du miroir, elle ne devait pas a avoir à enlever beaucoup de maquiage parce qu’il avait tout coulé sur ces joues quand elle avait pleuré.
- Quoi? Quesqu’il y a ?
Je me suis lentement arrêter de rire pour finir que par sourire. Ma sœur c’est brosser les dents pendant que j’attendais qu’elle finisse avec le lavabo. Quand elle a eu fini, elle m’a laissé la place mais n’est pas partie de la pièce. Elle me regardait, mais avec ce regard en coin, ce qui signifiait qu’elle avait me poser un questionnaire complet…
- Clément? C’est ça
Sa question me pris par surprise.
- Qui ça? La personne avec qui j’ai fait le travail. Ouais.
- Non. Tu sais ce que je veux dire.
Elle prit deux de ces doigts et les colla ensemble pour faire comme si deux personnes s’embrassaient. Est-ce que je devais lui dire? Elle irait durement aller tout dire à papa et maman qui me sermonneraient et en plus, c’est une sorcière.
- Peut être que oui…mais peut être que non.
- Pour qu’elle option serais-tu le plus pour.
- Ah!
Je n’ai pas répondu a sa question et j’ai fini ce que j’avais à faire dans la salle de bain et je suis retourné dans ma chambre, j’ai fermé les rideaux de ma fenêtre. Elle est restée dans le cadre de la porte à me regarder, les yeux plisser, comme si avec son regard seul elle pouvait me percer et voir ce que je savais et ce que je pensais.
- Il embrasse bien.
Je n’ai pas répondu. Et j’ai continué à me préparer a elle dormir. J’ai enlevé mon collier, préparer mon lit. Ma sœur à lâcher un soupire.
- Bon je vois que tu ne me répondras pas. Alors, bonne nuit.
- Bonne nuit a toi aussi.
Elle s’en allait, mais je l’ai interpellé.
- Oui, très bien a part de ça!
- Je le savais! Hahahahahaha...
Elle est ensuite partie et je suis allé me coucher. Coucher dans mon lit, j’étais soulager que les choses avec ma sœur ai été arrangé, et que les choses avec mes parents le soit à moitié. J’ai envoyé un message de sorcière à Clément. «Bonne nuit» et ce ne fut pas long avant que je reçoive la réponse. « Bonne nuit à toi aussi, je t’aime» pour être égale, je lui ai répondu : «moi aussi je t’aime» puis, j’ai sombré dans un profond sommeille avec le sourire.... :)
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