chapitre 13
Après le soupé qui fut super agréable (non tout le contraire) je me suis rendu dans ma chambre et je me suis assise en tailleur au bas de mon lit. Regardant la photo que le cadre qui était tombé contenant le message coder. Mon grand-père et ma grand-mère, souriant, heureux… en vie. Les larmes ont coulés du coin de mes yeux pour tomber sur photo, ma vision étais trouble, ma vision était tout le temps trouble. Je n’arrivais jamais vraiment réellement a me concentré sur quelque chose complètement. Pourquoi est-ce que je ne veux pas avoir une vie normale? Pourquoi est-ce que je ne pouvais pas être née dans une famille sans religion, sans tous les problèmes que j’ai en ce moment? Pourquoi? Je veux ma grand-mère, je veux mon grand-père, je veux qu’ils reviennent, je voudrais tellement passer une minutes même quelques seconde avec eux, juste le temps de leur dire Au revoir une dernière fois, les prendrais dans mes bras une dernière fois… mais je ne peux pas, même avec sa magie la plus sombre la Wicca ne peut pas. Ils sont partie comme ils le devaient je crois. Je dois m’y faire à l’idée, ils ne reviendront pas, jamais.
Toc, toc, toc…
- Ouais…
Du revers de la main j’ai essuyé mes joues et mes yeux, ma mère ouvra la porte, et je veux la détresse dans ces yeux mouillés.
- Il y a quelqu’un pour toi ne bas, un jeune homme…
Je bondis sur mes pieds, j’avais tellement été absorbé par mes penser que je n’ai pas senti l’approche de Clément, mais a ce moment là, je senti cette chaleur qui remontais ma colonne vertébrale, je suis passé a coté de ma mère en la bousculant presque, je suis presque descendu l’escalier en courant et failli tomber, ce qui fit rire Clément qui avais suivit ma descente. Je me suis arrêter devant lui, lui souriant, je croix que j’étais rouge et que mes yeux étaient briants. Vous savez c’est comme cela que les auteurs dans les livres explique les effets physiques que la personne que ont aime nous produit. Et la personne que j’aimais était Clément. Oui, je l’aimais, du coin de l’œil, je vue ma sœur qui nous observait, j’ai mis mes souliers, et une veste.
- Bye.
Et nous sommes sortis, quand noud sommes sortie du champ de vision de mes parent et ma sœur, je pris la main de Clément, nous n’avions pas échangé aucune paroles. Nous n’avions pas besoin.
- Ou ont vas?
- Chez toi.
- D’Accord, mais toute ma famille y est, mon père, ma mère et Brooke.
- Ça me vas, ta famille est bien plus facile a supporter que ma mienne, surtout en ce moment.
- Ouais…c’est vrai que ce n’est pas la joie chez toi en ce moment.
- J’ai une question.
- N’importe quoi, vas-y.
- La première fois qu’ont c’est parler, tu m’as dit que ton père et ta mère n’étais pas vraiment…
- Présent?
- Ouais, mais pourtant… ça n’a pas l’air d’être le cas.
- Ouais, je sais, toute famille a ces problème et le fait de dire que mes parents son riche et qu’ils ne sont pas beaucoup présent semble plus normal. Tu vois?
- Pour ne pas trop attirer l’attention, pour passer comme tout le monde, ouais, je comprends.
Nous étions arrivé chez lui, il m’a ouvert la porte et m’a fait entrée, la grande maison étais enluminer, silencieuse, mais familière même si j’y étais venue que quelques fois. Dans la cuisine, je perçu le rire de Brooke et ensuite celui des parents de Clément. Clément me tira vers la cuisine ou le reste de la famille fessait un gâteau.
- Lili!
La petite se jeta a mes jambe et je l’a pris dans mes bras, elle avais du mélange brun sur le nez que j’enleva avec mon doigt et que je gouta.
- Ton nez goute bon tu sais!
La petite parti d’un rire qui je croix étais contagieux parce que tout le monde fini par rire, quand je leva la tête, je vis le regard de la mère de Clément braquer sur moi, radieux.
- Ravis de enfin de rencontré, Clément a souvent parler de toi, tu sais?
Le père de Clément s’esclaffa et me tendis sa main, quand j’eu déposé la petite, je lui serai la sienne, en lança un regard a Clément, qui semblais tout à coup très gêner.
- Ont vas aller dans ma chambre.
- D’accord, bonne soirée
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