chapitre 12

Quand je suis rentré chez moi, ma sœur écoutait la télé, ma mère ne devais pas être là, je n’avais pas vue sa voiture dans l’entré et comme d’habitude, mon père travaillais sur la table de la cuisine qui étais quasiment inondé de papier, et comme cela devais arriver, une pille de papier est tombé par terre, et comme je l’avais prédis, il lâchât des jurons. Quand il c’est relever, il l’a vue, pendant un moment il m’a regardé dans les yeux, et puis près, il c’est relever et a continuer son travail. Je suis allé m’assoir sur le divan avec ma sœur, elle regardait une émission de dance, du genre «danse ou crève»… une autre émission typique de ma sœur, plate et ennuyante. Elle m’a regardé, quasiment comme si j’étais un étranger.

-          C’est ton petit ami?

-          Pas de tes affaires.

-          Aller dit moi le!!

-          Non, pourquoi je te dirais des choses quand toi-même tu ne le fait pas.

Elle a baissé les yeux sur ses mains, et a marmonner quelques mots, et tout ce que j’ai compris étais :

-          Je…pouvais….pas…

Furieuse qu’elle me réponde encore la même chose, parce que je savais qu’il y avait une autre raison, je suis partie dans ma chambre, en prenant sur mon passage mon petit colis emballé dans du papier journal. Je l’ai déposé devant moi, sur mon lit, je l’ai regardé, et je me souvenais encore de la petite énigme, les paroles se répétais dans ma tête, en boucle… «Dans une cabane, Il y a une Vanne, Tu trouveras dedans, Un diamant, Il y a un lac, Une flasque, Et une plaque, En toi tu trouveras, La force et le foie.» sérieusement, quand ont dit : du chinois, c’est ce que c’est!  Quelle cabane? Quelle vanne?... mais de quoi diable est-ce que ça parle! J’étais frustré! J’avais une baguette, qui  manquait quelque chose, une énigme qui n’a aucun ne sens et aucune idée comment la rendre lucide.

Toc, toc, toc… quelqu’un a frappé  a ma porte. Chez nous la règle était d’attendre la permission de la personne pour ouvrir la porte. En ce moment, je n’avais pas même le gout d’exister, je savais très bien qui se tenais derrière la porte, j’avais projeté mes sens pour sentir l’énergie bouillante de ma sœur. Même avec le fait que ma famille et moi, en fait que ma famille avais créé un faussé entre elle et moi, ma sœur gardais toujours cette petite énergie bouillante et joyeuse dans n’importe quel situation. Il était presque l’heur du soupé, j’avais entendu ma mère rentré et demander a mon père si j’étais rentré puisque j’étais déjà parti quand elle c’étais lever.

-          Lili, je sais que tu ne veux pas me parler, mais moi si.

-          Humm… entre.

Elle est entré, elle était aussi soigner que d’habitude, ces cheveux attacher en une tresse, ces jean foncé et un chandail de couleur pêche. Elle était toujours aussi belle, j’avais un jour essayé de copier ma sœur, dans sa manière, son style. Mais sans succès, j’avais tout de suite enlevé le maquiage autour de mes yeux, sois me maquiage ne me vas pas du tout, sois c’étais moi qui l’avais mal appliqué.  J’étais coucher sur le ventre sur mon lit, et j’i rouler doucement pour avoir une vue sur mon plafond.

-          J’avais fait le serment. Je ne pouvais rien te dire.

-          Je sais. J’avais compris.

-          Mais alors, pourquoi ne comprend-tu pas?

-          Je comprends, sauf que, tu m’as menti pendant 4 ans, maman et papa aussi, Alice… tout le monde le savais, sauf moi! Vous m’avez tenu à l’équarre. Personne ne m’a jamais rien dit.

-          Parce que nous savions que tu allais recommencer. Nous voulions te protéger.

-          Recommencer quoi?! Et, je ne croix pas que mentir pour protéger quelqu’un est la bonne chose.

-          La magie, la wicca.

-          Et bien…

J’ai réfléchi, est-ce que je lui disais ou non? En fait si je voulais vraiment lui faire un coup bas, je lui dirais sinon je ne le ferais pas… mais je ne sens méchante…

-          Vous aviez raison, si je l’avais sue, j’aurais recommencé. Et je l’ai sue, j’ai recommencé.

Ce n’est qu’à ce moment là que je me suis retourné pour voir dans son visage la peine et la peur. Mais elle ne devrait pas, je connais les règle de la Wicca. Je sais es sortilège que je ne peux pratiquer et ceux que je peux.  Je me suis lever et je suis passé près d’elle. (Encore une fois je me suis rendu conte que j’étais quand même petite, ma petite sœur  était plus aussi grande que moi)

-          Ferme la porte de ma chambre quand tu sortiras, moi je vais trouver mes instruments.

-          Toi, tu joue de la musique!?

-          Non, en fait, je joue avec la Wicca, tu connais?

Je suis partie d’un petit rire sec… elle m’a regardé un moment, quelque seconde, juste avant de me tourner le dos et de partir. J’ai pris une chaise qui est dans le couloir, une vieille chaise que mon père allait bientôt jeter, je me suis dit que même si elle était veille, elle avait l’air de pouvoir supporter mon poids. Je l’ai placé sous la trappe qui était au plafond. Et je me suis lever sur la chaise, j’ai enlevé le loquet, et j’ai tiré sur la poigner. Elle était bloquée de l’intérieur. J’ai laissé mes bras retomber le long de mon corps en laissant échapper de ma bouche un soupir.

-          Tu vas peut-être, être obligé de jouer d’un instrument, vue que tu n’a pas accès de tes instruments de magie…

Elle avait les bras croisé sur sa poitrine et me regardait avec ce petit sourire en coin.

-          Dit moi, Maddie, comment-est-ce que la trappe peut t’elle être fermer de l’extérieur?

-          Par ma…

Elle ne fini pas sa phrase.

-          Et puis, quesque ça change de quel manière elle a été barré?!

-          Et bien… si elle a été barrée d’une manière, elle peut surement s’ouvrir de la même manière…

-          Tu ne vas pas…

-          Oh que si!

Elle me regarda avec des gros yeux.

-          Tu ne connais même pas le sortilège!

-          Ce que tu peux être naïve! Pas besoin!

L’interrogation se lisait dans ces yeux, je savais qu’une partie de sa conscience lui dit de partir, mais de l’autre, elle est curieuse.  Je la connais. J’ai fermé les yeux et fait le vide autour de moi, les émotions, les ondes, tout, je me suis concentré, de la méditation comme ont peut dire, et comme je n’en avais pas fait depuis longtemps, faire le dire autour de moi qui normalement prend une minute ou même deux, en a pris 3 ou 4. Quand j’ai senti mon pouvoir en moi, quand j’étais calme, j’ai concentré mon esprits sur le cadenas, je l’ai imaginé, et j’ai projeté mes sens pour voir si il était ensorceler. Non il ne l’était pas. Donc, je n’ai eu qu’a projeter ma magie et imaginer le cadenas s’ouvrir, lentement, pendant un moment rien ne se passais, quelque seconde plus tard, j’entendis le déclic. Le cadenas était ouvert. Sourire radiant, j’ai rouvert les yeux, pour les fixer dans ceux de ma jeune sœur qui me regardais comme si je venais de faire quelque chose d’odieux. Pourtant, je ne venais que d’utilisé mon pouvoir, la magie simple, celle que nous pouvons pratiquer, ce n’est pas comme si j’avais fait pratique de la magie noir. Elle m’a tourné le dos et a marcher pour aller dans sa chambre, fessant exprès de faire le plus de bruit. J’avais toujours mon sourire radieux aux lèvres. J’ai tiré sur la poigner et je l’ai tiré sur le bas, lentement l’escalier s’ouvrait, j’ai tassé la chaise et je l’ai replacé à sa place. Je suis allé chercher une lampe de poche qui étais dans la garde-robe à coté, et je suis monté ne haut. Je savais que mes parents avaient rangé les objets de magie là. Je les avais vue les mettre et de plus, j’avais mis des charmes dessus les miens, et la magie, la puissance emmenais d’eu, elle me menait vers eux. A l’aide du faisceau lumineux de la lampe torche, je me suis rendu à l’ endroit extrême de la pièce, il y avait 3 boite, aucune n’étais marquer par de mots, mais une seul m’attirais vers elle, celle sur le dessus. Mes parents avais gardé les objets de magie puisqu’ils étai de telles souvenirs. 

20 minutes plus tard, j’étais dans ma chambre avec mes outils, ma robe de cérémonie, mon atamé, et quelques livres don, mon livre d’ombres. En fait, le nom de ce livre a l’air sombre, mais ce n’est qu’un journal, chacune des sorcières a son propre livre des ombres, c’est l’endroit  ou le ou la sorcière écrit ces angoisse et ces peine, souvent, le message termine par : merci déesse de nous aider, ou déesse aide moi, j’ai besoin d’être guider. C’est comme un journal intime, sauf que l’ont écrit comme si l’on parlait a la déesse, moi j’avais souvent écrit : je suis désolé déesse, je n’aurai pas due. J’avais souvent expérimenté des sorts…noirs. Je n’avais pas aucune idée de ce que je fessais réellement jusqu'à ce que mes parents prennent mon livre de ombre et ne lise des bout par moment, et bien sure, j’écrivais que je fessais certains sort qui était noir, mais je n’avais aucune idée de ce que je fessais, je ne fessais cela sans avoir vraiment conscience de ce que je fessais.

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