chapitre 11
Quelques histoires de Brooke plus tard, nous étions devant la maison de ma grand-mère. Maison inabrités depuis 4 ans. Les fleurs des plates bandes étaient mortes. La pelouse jaune…
- Quesque ont fait ici?
Brooke parlais depuis que nous étions parties du parc, sans répits.
- Ont vient chercher quelque chose.
Je n’avais pas eu à répondre, Clément l’avait fait. Une chance, parce que comment est-ce que j’aurais pu, lui dire? Ont vient voir une dame qui est morte! Non pas du tout… la maison n’était lus la même, les choses qui appartenant a ma grand-mère étaient dans des boites, elles étaient empilées les unes sur les autres sur un mur. Il devait y en avoir au moins 30. La petite Brooke est partie à courir dan la maison, et moi et Clément regardions autour de nous, comme si c’étais la première fois que nous voyions ce qui nous entour(en fait c’étais le cas pour nous deux, je n’étais pas revenue ici depuis presque 4 ans) e pouvais sentir la magie partout, elle émettait des murs, du plafond, de partout. Je m’étais toujours dit que revenir ici me ferais plus de mal que d’autre chose, mais j’avais tord, revenir ici, m’aider à me sentir mieux, ça fessais longtemps que je pouvais dire que j’avas trouver un chez nous, une place ou je me sentais réellement bien. Je me suis promené dans la maison, regardant les murs vide, me rappelant les portraits de famille qui autrefois y était croché. Mais dans la chambre de ma grand-mère, régnait encore son grand lit aux milieux, et à coté sa petite table de chevet ou il y avait toujours eu une photo d’elle et mon grand-père. Elle y était encore. Je me suis approcher et je l’ai tenue dans mes mains. Come pleins d’autre fois, les larmes coulaient lentement sur mes joues. Et je me sais pas ce qui c’est passer, mais le cadre m’a glisser des mains et est tombé par terre. Dans un bruit sourd, il a percuté le sol, et la vitre du cadre cassa. Je l’ai regardé, bêtement sans bouger. J’ai entendu des pas derrière moi, ensuite j’ai vue Clément à coté de moi qui ramassais le cadre, il rammassais les morceaux de vitre et, c’est relever et m’a tendu quelque chose, un bout de papier. Je l’ai pris.
« Dans une cabane,
Il y a une Vanne,
Tu trouveras dedans,
Un diamant,
Il y a un lac,
Une flasque,
Et une plaque
En toi tu trouveras,
La force et le foie. »
C’était l’écriture de ma grand-mère, soigné, belle. Au verseau du papier une série de chiffre suivit d’une lettre étais écrit. Mais c’étais étrange, les chiffres étais décaler et n’étais pas en ligne droite.
« 3 2d 2g
3b 4h »
Je ne comprenais pas, ni le petit texte ni la série ne me rappelais quelque chose, rien. Je me suis mise a faire les cent pas dans toute la maison, Clément me suivant, sans toute fois dire quelque chose. Je suis arrivé dans la pièce ou les boites étais empiler. Brooke étais debout devant les boite, et une a une les pointait et les contaient.
- Un…deux…trois…
Je me suis approcher, et je me suis retourné vers Clément.
- Si les nombre étaient des boites.
- Ça n’expliquerait pas les lettres.
Je savais que la déception pouvais se lire dans mes yeux, Clément c’est approcher et a poser son bras sur ma taille et l’a séré contre lui.
- Je peux voir?
Je tendis le bout de papier a la petite, elle le regarda et se retournant vers les boite, elle pointa sa main sur la 3e boites de la première colonne, puis lentement elle avança sa main vers deus boite a la droite, puis 3 vers le bas, 2 a la gauche, et 4 en haut. C’étais ça, les chiffre des boites, les lettre, des directions, et je ne l’avais pas vue! Je me suis enlever le l’étreinte de Clément, la boite que Brooke pointais étais écrite : objet M. Mais quesque ça pourrais être? Nous avons dégagé la boite pour pouvoir la prendre sans faire tomber les autres en même temps. Nous étions touts les trois autour de la boite, assit par terre, sur le plancher froid.
- Je peux l’ouvrir?
C’étais Brooke, qui semblais plus exciter que moi a l’idée d’ouvrir la boite, ne fait j’en avais peur, je ne savais pas ce qui pouvais y avoir, des vêtements? Non, pas avec le nom de la boite.
- Oui.
La petite l’a ouvert, au début, sur le dessue, ça ressemblai a des vêtements, comme je l’avais dit, et je senti l’odeur, c’étais l’odeur de la cape de magie de ma grand-mère, je l’ai pris il y avait encore la magie ne elles, ont dirais qu’elle c’était imprégner de son pouvoir. Quand j’ai voulu la déplier, un paquet est tombé par terre, c’étais quelque chose de long, mais je ne savais pas quoi, parce qu’il était envelopper dans du papier journal. Quand je l’ai ramassé, je sentais quelque chose, une attraction si ont veux dire, quelqu’un avait lancé un sort d’appartenance a l’objet. Un Sort d’appartenance ne fonctionne qu’avec les sorcières de sang pure, c’est un sort très compliqué, qui a plusieurs étapes dépendant du niveau de protection. Si un objet qui porte de sort est trouver par une sorcière n’est pas dédier à cette personne, la sorcière ne sentira rien, ce sera comme si l’objet étais normal, et normalement, la personne n’y porterais aucune attention. Mais cette fois-ci, ce n’est pas le cas, pas pour moi. Cet objet est spécial, je dois savoir ce que c’est. Mais je dois savoir si je suis vraiment destiner pour cet objet, ou si ce n’est que moi qui est malade et qui imagine des choses.
- Clément, si tu projette tes sens que ressent tu?
Pendant un moment il ne paru pas comprend, et me regardais normalement.
- Une personne magique, mais aucun objet, rien.
- Comment a tu fait?
- J’ai eu de l’entrainement, quesque tu croix? Que je me concentre en plaine classe sans rien cacher? Non, je serais trop repérable.
- Aa… d’accord.
- Mais comment ce fait t’il? Je ne voix aucun objet, je ne te voix que toi.
Je ne savais pas si je devais le dire, c’étais des sort que je n’aurais jamais du avoir connaissance, surtout a l’âge que je l’ai appris.
- C’est facile, c’est un sort d’appartenance!
Nous deux nous sommes retourné ver la petite qui regardais les autres choses dans la boite, des bagues, des colliers, des étamés… les yeux rond nous avons fixé la petite, qui a un moment a du sentir que nous la regardions, elle c’est lever et a placer ces mains sur sa taille, comme si elle était en train de «dealer» quelque chose.
- Dans le livre.
- Quoi dans le livre
- Ben là! Ya des pages qui en parle!
- Maman ne t’avait pas dit de ne pas regarder cette section là
Elle ne répondit pas, elle bougeait nerveusement et fixais ces pieds, pendant un petite moment, Clément la regardait comme si il attendais une réponse, mais la petite ne répondis pas, et bien, pas une réponse a sa question.
- Tu sais, maman serais a pas contente que tu sois allé dans une maison qui pas a nous. Tu sais, maman serais fâcher que tu as débarré la maison sans la permission de la personne.
- Ont fait un compromis, je ne dit pas a maman que tu as regardé la section interdite du livre, et tu ne dit rien de tout cela a maman, d’accord?
- Ok.
Maintenant que tout étais arranger, que le compromis étais fait, deux regard me fixais.
- Quoi?
- Tu vas l’ouvrir?
Ah! C’est vrai, j’avais ce colis dans mes mains. Je l’ai regardé, et puis lentement j’i enlever le papier journal. Plus j’enlevais d’épaisseur de papier journal, plus l’traction mystérieuse était forte, et a un moment donner, il n’y avait plus de papier, et je tenais dans mes main, une baguette. Elle était légère comme une plume, quand même longue, le manche était froid et avais l’ai ‘être en marbre, même si elle était légère, le manche et du bout de la baguette se trouver 5 incisions. Mais pourquoi? La baguette en tant que tel, avais l’ai inoffensive, mais le sort qui était jeter dessus la rendais attirante pour moi en tout cas, c’est comme si il manquait quelque chose a cette baguette. Comme si Clément pouvait lire en moi, il a tendu la main vers la baguette et je lui ai donné. Et l’a regardé un instant, sans enlever son regard, il m’a parlé, sans me regarder, je savais bien qu’il se posait les mêmes questions.
- Il manque quelque chose à cette baguette…
- C’est ce que je me disais.
J’ai regardé une vieille horloge qui était dans la pièce. Hé merde… 1h et demi déjà!
- Il faut vraiment que j’y aille!
- Ont te reconduit, ont vas passer devant chez vous.
Nous sommes partis, mes deux main étais prise, quand Brooke avait vue que je tenais la main de Clément elle avait attrapé ma mienne. La sienne était si petite, dans la mienne elle devait paraitre si petite, et encore, ont m’avais déjà dit que j’avais de petite main. Quand j’ai tourné la tête, je me suis rendu conte que Clément m’observait, je lui ai souris, mais au fond, d’un coté je l’étais, il était de mon coté, il était là, mais, de l’autre, je pense au fausser que ma famille à créer entre elle et moi, j’étais la seule a ne rien savoir, je savais qu’a un moment ou a un autre j’allais devoir leur parler, et ce moment sera peut être dans a peine quelques minutes. Les trois marchions aligner sur le trottoir.
- Je suis fatigué… j’ai bobo aux jambes…
Après plusieurs commentaire de Brooke, nous nous sommes arrêter sur un banc, j’avais oublié que le présage puise dans le pouvoir de la sorcière qui le fait, de plus, Brooke est jeune, elle se fatigue plus rapidement que nous. Après un bref moment de repos, nous devions repartir, je devais rentrer chez moi et Clément et sa sœur aussi.
- Tu veux aller sur mon dos?
- OUI!!
Brooke était sur le dos de Clément et ne se plaignait plus, mais ne racontait pas d’histoire non-plus comme a l’allé. C’étais silence, le soleil était bien lever, la chaleur c’étais lever, même si c’étais le début du mois d’octobre, mais je pouvais voir la différence de température, il doit faire 20°, mais pas plus. Rendu au coin de ma rue, Clément c’est arrêter et a déposer tranquillement Brooke par terre et lui a dit d’aller jouer dans le parc, qu’il arriverait bientôt. La petite est partie en gambadant, sans rien dire, écoutant ce que son frère lui avait dit, personnellement, je trouvais ça remarquable, ma sœur n’avais presque jamais écouté ce que je lui disais... bon, je sais, peut être que faire de ma sœur mon excaves comme j’en aurais voulus n’aurais pas été une bonne chose, mais reste que quand je demandais a ma sœur d’aller voir ailleurs si j’y étais, elle n’y allais pas, bon encore une fois, ce n’est pas la manière la plus polie de lui dire…
- Ont continue à marcher?
- Mais ta sœur…?
- Elle est correcte.
- D’accord…
- Tu vas parler à ta famille?
- Je ne sais pas, c’est tout mêler dans ma tête, je suis vraiment fâché contre eux, mais d’un autre coté, ça reste ma famille.
Il me retient par ma main, et me tire vers lui, mettant ces deux mains sur mes hanches, il colle son front sur le tien et je place mes main dans son coup. Puis il m’embrassa, lever comme un papillon, ces lèvre étaient chaude et douce comme la première fois qu’il m’avait embrassé. Il c’est éloigner sans me lâcher, comme si il voulait mieux me voir, puis il a remis son front cotre le mien. Puis il a chuchoté tout bas :
- Les sorcières savent faire leurs choix.
- Ummm…Ummm….
J’ai placé les bras autour de sa taille et j’ai accoté la tête du son torse, et il à placer sa joue contre le haut de ma tête. Pendant un moment nous sommes restés comme ça. J’étais bien, au chaud, contre la personne que j’aimais, j’avais l’impression que plus rien d’autre autour n’existait. Puis la réalité me remonta à la tête… Réalité… un mot qui me rappelle quelque chose, un poème que j’avais écrit un jour ou je «feelais» triste…
J’ai du me séparé, mais j’ai pris sa man dans la mienne.
- Tu marche avec toi jusqu’a chez moi?
- Eum… ont est devant chez toi.
O mon dieu… ça voulais dire que ma famille m’avais peut être vue… j’allais moi aussi devoir m’expliquer… je devais faire une des ces tête, parce que même si il a essayé de le cacher, j’ai vue qu’il retenait un rire, mais c’est vrai, je dois faire une tête bizarre…
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