chapitre 10

Le ciel étais orange, les oiseaux, volais dans le ciel, tout était calme. Je me suis lever, et je me suis rendu jusqu’en bas, j’y ai pris un petit déjeuner, puis je suis remonté dans la chambre. Les rayons du soleil jouaient à faire des dessins au sol et aux murs de ma chambre. Je me suis installer a ma table et j’y ai commencé mes devoirs, math ; des équations mathématique Algébrique… je me suis maudis moi-même mentalement pour ne pas avoir pausé plus de questions en classe.

L’heur d’après, j’étais en train de m’habiller. J’hésitais entre un chandail ou un pull, chandail. Après avoir brossé mes cheveux. Je suis descendu en bas, mon père y étais et buvais un café et ne parut même pas remarquer que j’avais ouvert la télévision. J’ai regardé les postes mais aucun ne m’intéressais. J’ai regardé la télévision sans vraiment y prêter attention. J’ai pensé, penser… une heure plus tard, je savais ce que j’allais faire. Quand ma sœur est arrivée en bas, je suis monté en haut, j’ai mis des chaussures et je suis partie. Pour la 10 millièmes fois, j’ai traversé le parc, l’angoisse de ce que l’action que j’allais faire, elle montait en moi, jamais je n’avais fais ça, mais comme ont dit : il y a toujours une première fois a tout… mais aussi une fin… Je me suis arrêté devant la grande maison. Elle était si jolie, les plate bande étais pleines de fleur qui avec le temps qu’il fessait dehors, mourraient de peut a peut. La pelouse étais encore verte, même pas jaunis par endroit. Par la fenêtre j’ai vue le visage de Brooke, elle m’a souris avant de partir. Quand j’ai commencé a remonté l’allé qui menait a la porte d’entré la porte c’est ouverte, Clément se tenait dans l’entré, Brooke était juste derrière lui, elle m’adressa un sourire timide. Clément la pris dans les bras et lui chuchota quelque chose a l’oreille et la remis par terre et elle est repartie, je me suis approcher de lui. Sans dire un mot il m’a fait entré, j’ai vue Brooke assise a la table a manger devant un livre, elle semblait captivé, peut être que sa servira pour qu’elle n’entende pas ce que nous allons dire… j’étais assise fasse a Clément. Il me regardait, comme s’il attendait que je parle. J’ai pris la parole.

-          Hier, après que je sois partie… j’ai parlé avec ta cousine.

-          Pourquoi es-tu partie? Je pensais que…

-          J’ai une raison, laisse-moi parler. Il y a deux ans, un garçon m’a, Dison, charmé, je suis tombée amoureuse, je l’aimais, mais, lui… il m’a joué dans le dos, si tu savais a quel point j’ai eu mal…

-          Tu sais que je ne te ferais jamais…

-          Non je ne le savais pas. Hier ta cousine m’a dit de te le dire si je t’aimais, et si je ne t’aimais pas comme tu le voudrais aussi. Je suis ici pour te le dire.

-          Et…?

-          Je suis vraiment désolé… je ne t’aime pas comme tu le voudrais…

J’ai vue son visage se remplir de douleur, les traits de son visage se sont rabaissés, il a baissé la tête pour se la prendre la tête entre ces main.

-          Je ne t’aime pas comme tu le voudrais… je ne peux pas…

-          C’est correcte, je ne te force pas non plus… tu as le droit de faire tes choix.

-          Je t’aime plus, plus que tu le ne voudrais.

J’ai sentis les trémolos dans ma voix. Il a lentement levé la tête, et m’a regarder comme si j’étais la première chose qu’il avait vue depuis un bon bout… lentement, comme pour ne pas forcer les chose, il c’est rapprocher, quand il étais rendu a près de deux centimètre de mon visage, il c’est arrêter, comme si il attendais une autorisation. Je me suis avancé. Ces lèvre étaient douces et chaude contre les mienne, pendant quelques secondes nous nous sommes embrasser. A un moment nous nous sommes détacher, nous étions chacun essoufflé. Il a pausé son front sur le miens.

-          Je n’aurais jamais du partir hier…

-          Um… tu sais, tantôt tu as dit que tu m’aimais plus que je ne le voulais, est-ce que tu croix vraiment que c’est toujours vrai?

Je me suis mise à rire et ces rires ont rejoints les miens. Pendant un long moment nous nous sommes fixés.

-          Clééément?!

-          Oui Brooke?

-          Tu peut venir?

-          Oui, j’arrive!

Il c’est lever et m’a donner sa main et je l’ai suivit. La petite était toujours assise a table, un grand livre épais était ouvert sur la table.

-          Ont peut faire ça?

De sa petite main, elle pointât la page ou le livre étais ouvert, il était écrit : présage avec les 4 éléments.

-          Je ne sais pas…

-          Mais sur le présent, z’est plus fassile!

-          Je ne croix pas, je croix que c’est la même chose.

-          Ont peut le faire?

La petite le regardais avec ces petits yeux, elle étais tellement mignonne.

-          D’accord, Lili?

-          Oui

-          Tu veux le faire avec elle?

-          Eumm…

J’ai lancer un regard a la petite qui maintenant ne suppliait plus son frère mais c’étais bien moi qu’elle regardait avec ces petits yeux.  

-          D’accord! Ou le fait t’on?

La petite descendu de la chaise et me pris mon autre main qui n’étais pas dans celle de Clément, elle m’entraina et ouvrit une porte qui menais sur un étage de plus en bas. Un sous-sol, il faisait noir, très noir, quand ont est arrivé ne bas, Clément à lâcher ma main et est partit dans une partie de la pièce.

-          Tien

Me dit Brooke en me tendant une petite boite, c’étais des allumettes. Après quelques minutes la salle étais baigner dans une clair lumière de chandelle, quelque minutes plus tard, Clément étais arrivé avec 3 bols, et une chandelle blanche.

-          Avec quoi le fait du? L’eau?

Il m’avait demandé la question comme si la réponse était évidente. Après un moment de réflexion je lui ai répondu :

-          Le feu…

Il a eu l’air surpris, mais près un regard, il m’a regardé avec un moment et je pouvais lire la surprise dans ces yeux.

Je me suis assise et j’ai pointé la place devant moi pour indiquer à Brooke qu’elle devait s’y assoir. Elle c’est assise et je lui ai expliqué en gros ce que nous allions faire.

-          Tu vas faire le vide en toi, pousser les mauvaises énergies et tes problème, quand tu l’auras faite, tu me donneras ta main, et tu projetteras ton pouvoir vers le feu, et tu diras tout simplement, « montre moi mon présent »

La petite à hocher la tête elle fermé ces yeux pour faire le vide, ce que j’y fais a mon tour, tout se passais comme je l’avais dit. Quand Brooke a chuchoté les paroles que je lui avais dit quelques minutes plus tôt, la flamme de la chandelle blanche parue s’éteindre. Mais elle revint plus forte qu’elle ne l’était avant. Des images floues mais, des images défaillaient, Brooke, Clément, la mère de Clément… ma sœur, mes parents… ma grand-mère. J’ai lâché les mains de Brooke et la flamme c’est éteinte. J’ai levé la tête, Clément était a l’autre bout de la pièce, et je croix qu’il a vue l’expression dans mon visage puisqu’il a envoyé Brooke aller s’habiller pour aller dehors.

-          Quesque t’a vue?

-          Ma Grand-mère…

-          Quoi?

-          Ma grand-mère. Je l’ai vue. Dans le présent. Elle est là.

Il hochât la tête, et m’entraina sur la porte d’entré où nous attendais déjà Brooke. Nous étions au parc, sans parler à regarder Brooke jouer dans les modules. Sans parler.

-          Où habitait ta grand-mère?

-          Quoi?

-          Où habitait ta grand-mère?

-          Humm… dans une maison.

-          Et où exactement?

-          Dans le cartier accoter.

-          Ok, ont y vas.

-          Quoi?

-          Ont y vas, tu a bien vue ta grand-mère? Alors, ont vas chez elle.

-          C’est ridicule! Comme si ma grand-mère allait y être!

-          Ont ne sais jamais.

Il me gratifia la fin de sa phrase, un grand sourire. Impossible de lui résister. 

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