chapitre 1

pour préciser, quand ce ne sont que des parentaise, ce ne sont que des informattions pour préciser ce que j'écris, ou des petite réflexion que le personnage a. Sinon, si c'est  comme ça: (* ...*) une parentaise avec un petit astérique, c'est des petite mots d'auteur que je mets parfois :) 

voila, c'est tout, bonne lecture!

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Première journée dans une nouvelle école, il ne faut pas confondre, je ne suis pas en premier secondaire, je suis en 2e, j’ai 13 ans et je vais avoir 14 ans le 21 décembre, quelques jours avant noël, ma petite sœur est née elle aussi le même jour, drôle de coïncidence. Enfin revenons à la nouvelle école,  vous vous dites, Une nouvelle école en 2e secondaire? Et puis, l’école est nouvelle, les tables, les  murs, tout, c’est une nouvelle école, une école, non pas vraiment privé, mais spécial, elle ne fait enter les élèves qu’après un examen (qui d’après moi, n’est pas si facile…)

-          Lili-Rose? Demanda le professeur

J’ai levé mes yeux bleu de mon cahier, mes cheveux brun et raide me chatouillais les bras, il était presque assez long pour toucher mes coudes. J’ai levé le bras pour montré que j’étais présente. Il y avait 2 filles dans ma classe que je connaissais, sinon, personne. Le professeur c’est remis  à nommé les noms des autres personnes dans ma classe, j’ai continuer a dessiner un point avec mon crayons à la mine, jusqu'à ce que je ressente un genre de picotement, c’étais bizarre, je me suis retourner, tout le monde avait le regard fixer en avant, et écoutais le professeur expliquer les règles, je me suis retourner vers mon agenda et j’a continuer a faire mon point.

-          Je suis rentré!

Ai-je crié pendant que ma sœur continuais à raconter que elle c’était fait des amies et qu’elles avaient beaucoup ri, tout le contraire de moi, j’avais passé la journée à longer de long en large les couloirs de l’école, je ne m’étais pas fait des amies. J’ai déposé mon sac  dans l’entré et je suis rentrée dans la cuisine, suivi de ma sœur, je me suis prise une pomme et je me suis assise au comptoir, ou ma mère préparais une lasagne. Elle l’a mise au four, puis nous a toute les deux regarder, pour ensuite nous sourire.

-          Et puis, cette première journée?

-          Bah, correcte...

-          Tu dis sa parce que tu n’a pas d’amis.

A rétorquée ma sœur, j’ai roulé les yeux et je suis sortie de la cuisine et j’ai pris mon sac et je suis monté au deuxième, dans ma chambre. Ma chambre est mon endroit ou je peux faire ce que je veux, ma chambre est un endroit ou je me sens bien, c’est mon refuge, la plus part de mon temps je le passe là. Bleu clair et mauve lila, au moment où je suis rentré dans ma chambre j’ai sentie toute la pression de la journée tomber, comme  si elle n’avait jamais existée. Je me suis laissée tomber sur mon lit double et  j’ai soupiré. Le bon coté de l’école c’étais que nous avions le choix d’être dans des clubs, faire partie du journal étudiant… et aucun uniforme n’étais requis, mais il fallait bien sur être habillé correctement, pas de décolté, ni je jupe et robe trop courte. Mais c’étais déjà mieux qu’à mon ancienne école. La seule chose qui n’a pas changer, ou presque, c’est que je ne connais presque personne. Au primaire j’étais seul, tout le monde disais que j’étais étrange…ce que j'étais et que je suis toujours et que j'assume parfaitement.

Je dois m’être endormie, parce que je suis réveillé par ma sœur qui cogne à ma porte pour m’indiquer que le soupée est prêt, je me suis lever et diriger en bas. Le diner c’est passé comme tout les autres, ma sœur qui n’arrête pas de parler, je fixais mon assiette, jouais avec ma nourriture, ne  mangeant presque pas. Depuis quelque temps je vois la vie en noir, la joie n’existe plus, je ne sais pas pourquoi, j’ai l’impression qu’il me manque quelque chose, je me cherche, je veux savoir qui je suis, je veux savoir ou son mes limite et pouvoir les dépasser, je veux me trouver…

-           Lili?

-          Heu, oui

J’ai levé vite la tête, pour regarder mon père dans les yeux, pour y voir l’inquiétude.

-          Est-ce que ça vas?

-          Oui, je suis juste un peut fatigué.

Lui  ai-je répondu, j’ai pris mon assiette et je l’ai mis sur le contoir, pour après me dépêcher a monté dans ma chambre, j’ai fermé lentement et doucement la porte, et je me suis effondré sur mon lit. Je ne me considère pas comme une adolescente normal, je ne contredis pas mes parents très souvent, je ne me sens pas normal. Un jour, j’en ai parlé avec mon père, il m’a dit : être comme tout le monde est ennuyant, mais être différent est Amusant. Depuis cette conversation, j’essais de me convaincre qu’il a raison, mais à quoi bon se mentir à sois même?

J’ai encore du m’endormir, parce que je me réveille en sursaut par le bruit strident de mon cadrent, que je talochais plusieurs fois pour fini par l’arrêter, j’ai entendu le brui du séchoir de ma sœur, la vieille machine à café a papa, et le bruit des assiettes que maman pose sur la table pour le déjeuner. Lentement et péniblement je me suis lever pour ensuite me diriger vers ma commode à linge, J’y ai sorti un chandail bleu marin et une paire de pantalon ¾  en jean que j’ai enfilé. J’ai cogné à la porte de la salle de bain qui communique entre ma chambre et celle de ma sœur, elle m’a ouvert, elle avait ces cheveux brun qui était un peut plus long que le niveau de ces épaules qui pendant de chaque coté de son visage, elle c’étais déjà coiffée et maquiller et elle portait une jupe blanche et un chandail bleu qui s’accordait avec ces yeux. Ma sœur était du genre à être coquette et est une personne que personne ne remarque pas. Elle c’était déjà fait un groupe d’amies la première journée d’école. J’étais disons le contraire de ma sœur, ma sœur étais celle qui voulais de l’attention, moi je ne voulais et je ne veux surtout pas attirer l’attention, sinon, je devrai parler, ce qui me rend nerveuse et mal à l’aise.

-          Les filles!! Venez déjeuner!! Cria ma mère qui était au bas des escaliers

Ma sœur est retournée dans sa chambre et a pris son sac à dos, puis elle est descendu. 20 minutes plus tard et un bol de céréales à moitié mangé, ma sœur et moi étions dehors sur le chemin de l’école, j’avais mes écouteur dans les oreilles, avec le son presque qu’aux maximum pour ne pas entendre les conversations de ma sœur et son amie. La journée est passé très lentement, comme le sable qui coule dans un sablier, rendue à la maison, maman n’était pas encore rentré, elle allait travaille plus tard aujourd’hui, elle n’allait pas rentrer pour le soupé. Elle travaillait dans une boutique d’aliment naturel et mon père étais Comptable, il rentrai vers les 5h, puis qu’il n’étais que 4 :30 alors il n'était pas encore là,   je n’avais pas beaucoup de devoirs, alors j’ai pris le loisir d’aller prendre une marche.Le soleil brillais dans le ciel, et le vent légé et doux soulever certaines des mèches de mes cheveux, les enfants du parc au bout de ma rue jouaient et riaient ensemble. J’avais déjà pensé au futur. Dans quoi je travaillerais, mais, je ne sais toujours pas dans quoi je veux me diriger. Le futur me fait peur, c’est la raison pour la quelle je vie au jour le jour, sinon, l’angoisse me prend… je me suis assise sur un banc. Réfléchissant à ma vie, à ce qui m’arrive, j’ai changé d’école, je n’a pas d’amis… j’étais tellement concentré que je n’ai pas entendue ma cousine arriver.

-          Salut!

M’a lancer ma cousine, j’ai relevé les yeux vers elle. Elle semblait aussi perdu que moi, elle avait le teint pâle, elle c’est assise à coté de moi, ma cousine avait le même âge que moi, elle avait un frère plus grand de 2 ans, David.

-          Salut Alice.

Nous n’avons pas plus parlé que cela, nous nous comprenions d’une Manière que je n’avais jamais eue avec quelqu’un d’autre, nous n’avions pas besoin de parler pour se comprendre. Elle sait pertinemment ce qui me préoccupe, comme je sais ce qui la préoccupe, Il n’y a pas longtemps, son chum avais casser avec elle, pour aller, avec son ancienne meilleure amie, ce qui lui avais tellement blesser, au début, elle ne parlais pas, ne fessait rien, puis a un autre moment, celui d’après, son visage étais briser par la douleur et ces yeux étaient rouge et gonflé de larmes.  J’ai eu moi-même mal de la voir dans cet état, elle paraissait mieux, elle sortait dehors et parlais plus. Alice a accoté sa tête sur mon épaule, nous sommes resté un bon bout de temps comme sa, a fixer bêtement les enfants qui jouais, en enviant toute leur insouciance. Ma cousine a fini par ce redresser, j’ai su qu’elle devait partir, quand je me suis tourné vers elle, j’ai vue une larme couler sur sa joue, avec le bout de mon doigt, je l’ai essuyé, avant de prendre ma cousine dans mes bras et de la sérer très fort, quand elle c’est enlever de notre étreintes elle m’a souri.

-          Prend soin de toi…

Lui ai-je  chuchoté, elle a hoché la tête puis m’a tourner le dos, nous sommes toute les deux chez nous, ma cousine et sa famille habite de l’autre coté du parc. J’ai marché lentement jusqu'à chez moi. Dans l’aller j’ai vue la voiture de mon père il était rentré.

-          -Salut!

-          A salut…

Il était a table avec son ordinateur et plusieurs pile de papier, il travaille encore… je suis monté directement dans ma chambre, et j’ai fermé la porte qui communiquais avec la salle de bain que je partage avec  ma sœur. Deuxième jour d’école, déjà un devoir en Math. Je me suis assise à ma table de travail, me mettant au travail. 20 minutes plus tard ma sœur est venue frapper a ma porte pour m’annoncé que le soupé étais prêts. J’ai passé le reste de ma soirée à trainer dans ma chambre, à lire et a esayer de trouver le sommeil.

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