Chap #81
OMG cette semaine de fou, je suis au bout de ma vie, mais comme je vous aime tant j'ai quand même réussi à finir un chapitre pour vous (et puis un peu pour moi aussi, j'avoue que j'adore publier :D)
Je vous souhaites une bonne lecture ;)
***
- C'est lequel celui-là déjà ?
- Celui qui est pas loin du métro, répondis-je à Shoto.
Nous faisions route vers le 3ème appartement que nous visitions ensemble.
- Deku a déjà trouvé ? me demande Shoto.
- Aucune idée, tu seras sûrement au courant avant moi, maugréais-je.
Depuis le début des vacances, ils étaient tous deux passés à temps plein à la pizzeria. Du coup je me retrouvais seul la journée à l'appartement, heureusement mon contrat d'alternance débutait dans quelques jours. J'avais négocié pour commencer début juillet.
- T'es quand même pas jaloux ? me demande-t-il
- De quoi ?
- Non, rien en fait...
- J'tiens pas en place, tu me connais, je déteste les vacances, répondis-je avec humeur.
- Tu devrais essayer de te reposer, de profiter, ce sont tes dernières vacances avant un moment.
- Ouais mais là, je suis le seul à rien foutre, j'aime pas ça.
- Ca te réussit pas en tout cas de ne rien faire, tu es d'une humeur exécrable, déclara-t-il d'un ton neutre.
On arrive à l'adresse prévue et un bonhomme maussade nous attend en bas. Il nous fait monter, ouvre l'appartement et nous laisse regarder. Oui, regarder, je vais pas dire visiter, déjà parce que c'est pas grand et ni Shoto ni moi n'avons envie de faire un pas plus loin dans cet appart'. On sait déjà que c'est non. Les murs sont jaunasse, il fait sombre, la pièce est petite et mal agencée et la cuisine ne ressemble à rien.
- On va pas perdre plus de temps, hein, dis-je à l'attention de l'agent immobilier.
Il ne semble pas plus surpris que ça, moi j'ai envie de lui enfoncer mon poing dans la gueule, les photos qu'on a vu de cet appart ne reflète pas du tout son niveau de décrépitude. En même temps, c'est difficile de louer un appart avec une annonce du type : logement insalubre, petit, moche et sombre. Je descends les escaliers d'un pas lourd, me barre sans dire au revoir à l'autre baltringue et accompagne Shoto à la pizzeria.
J'entre saluer Mina qui est au comptoir, je dépose un rapide baiser sur les lèvres de Shoto avant qu'il parte se changer.
- C'est si adorable ! se permet-elle de commenter.
- Je t'ai rien demandé.
- Ok, ok, j'ai rien dit, abandonne-t-elle en levant les yeux au ciel.
- Mina, voici ta caisse pour la soirée, je t'ai refait de la monnaie.. oh Kacchan tu es là !
- Salut monsieur le manager, dis-je à Deku qui venait d'apparaître avec son nouvel uniforme.
Il rougit, je sais qu'il est mal à l'aise d'avoir accepté cette promotion car il cherche un travail dans son domaine et pas à la pizzeria. Même si je lui ai dit d'accepter pour le moment, ça ne peut pas faire de mal pour lui d'avoir ce job en attendant et au moins il ne récurrera plus des toilettes ou des trucs comme ça.
- Alors cette visite d'appart ?
- D'la merde, on va surement prendre le premier, franchement c'est de loin le mieux qu'on a vu, je vais voir si il est toujours dispo.
- Nous on a déposé un dossier aujourd'hui ! m'annonce-t-il en croisant les doigts.
Le téléphone sonne et Mina répond.
- Cool, bon je vais te laisser bosser peut-être. A plus ! dis-je en levant la main.
- A plus !
Je me sens bizarre, peut-être que Deku va avoir son appart et dans un mois je ne le verrai plus rentrer de la pizzeria avec Shoto.
Je prends la direction de chez moi et m'arrête en me rendant compte qu'on va être en tête à tête avec la naine. On va tous les deux attendre que nos mecs rentrent de leur taff. Manger ensemble et regarder la TV en regardant l'heure ? Trop chelou...
En fait non, c'est hors de question. Mina était à la pizzeria, donc Eijiro est seul chez lui, j'emprunte le chemin qui mène à son appart et je me rends compte que ca faisait un bail que j'avais pas fait ça. Le trajet est court depuis la pizzeria et je suis déjà chez lui.
- Katsubrooooooo ! m'accueille la voix tonitruante de mon ami. Ça fait si longtemps que tu t'es pas pointé chez moi comme ça ! s'écria-t-il avant de me tendre son poing dans lequel je tape avant d'entrer.
Nan mais sérieux, on croirait qu'il va pleurer de joie, on s'est pourtant vu y a genre moins d'une semaine.
- Chiale pas tête d'orties. T'as des bières et de quoi grailler ? J'ai la dalle.
J'entre comme si c'était chez moi, ce qui n'est pas loin d'être le cas car c'est ici que je m'échappais, avant, quand il y avait la naine et pas encore Shoto.
Denki est assis sur le canap' déglingué et je m'enfonce à côté de lui.
- Yo Kat', ça fait plaisir !
- Ouais, dis-je en frappant dans le poing tendu du blond.
- Quoi de neuf ? demande-t-il.
- Je commence mon alternance mardi
- Yeahhhh, moi j'ai prévu de rien foutre des vacances tu vois ! Je m'offre une dernière fois 2 mois d'été peinard avant de chercher un boulot et d'entrer dans la vie d'adulte.
Kiri revient dans le salon et dépose une bière sur la table devant moi.
-Toi ? Un adulte ? dit-il en se marrant.
-Je t'avouerais que j'ai pas envie et j'me sens pas prêt. Sinon je fais comme Kat' et je reprends des études ? se demanda-t-il
- Ouais sauf que moi je suis déjà un adulte, enfin bien plus que vous deux réunis en tout cas !
- Hé ! j'ai un appart et une relation sérieuse moi aussi j'te rappelle, s'exclama Kirishima, légèrement piqué par ma remarque.
- J'emménage avec ma relation serieuse moi, argumentais-je
- je viens de finir mes études...
- Je viens de finir exactement les mêmes études, tête d'orties !
- Attends ! j'ai pas finis, et j'ai signé un CDI avec la boîte dans laquelle j'ai fais mon stage.
- C'est fini de vous chamailler pour savoir qui a la vie la plus barbante, rala denki, on peut revenir sur un sujet plus important, du genre, on se fait un petit fifa comme dans le bon vieux temps ou vous préférez un autre jeu ?
- Le bon vieux temps ? Tu as quoi ? 1000 ans ? se moqua Kirishima.
Denki ronchonna, lança fif et kiri distribua des manettes.
L'ambiance était légère tandis-ce qu'on se chamaillait pour avoir le ballon, qu'on se moquait quand l'un de nous ratait une action et qu'on écrasait les équipes une à une en mangeant des chips. Mais quand l'heure sur la box afficha 22h45 je mis un stop à notre petite soirée improvisée, Shoto sortait bientôt du boulot et j'avais envie de le voir, de lui montrer que j'étais pas de si mauvaise humeur et que je savais gérer les vacances comme un pro.
- Bon les gars, je vais aller chercher Shoto et on va rentrer.
- Bien papy ! se moqua Denki en me tirant la langue.
- Je t'accompagne, ça fera plaisir à Mina que je vienne aussi.
- Bon ben je vais aller faire une visite surprise à Shin je crois, dit le blond avec un sourire.
Denki nous quitte tout de suite, prenant la direction de l'appartement de Shin et avec Kiri on allait vers la pizzeria. Kiri se racle la gorge et me jette des regards.
- Quoi ? lui aboyais-je dessus
- Rien ! Ça m'a fait plaisir de te voir ce soir. Tu as l'air en forme.
- Ouais, bien sûr que je suis en forme, je fais que glander depuis la fin des cours.
- Ça fait quelques jours mec.
- Je suis trop impatient de commencer mon apprentissage, je tiens pas en place. Je suis comme un lion en cage. J'ai besoin d'aller de l'avant et de faire des choses.
- Je suis content pour toi, dit-il avec un grand sourire.
- Et toi, t'es content de la vie ? demandais-je pour être sympa.
- Ouais ! J'ai adoré mon stage, les gens sont sympas, le cadre est top, le boulot est cool même si un peu speed. Je suis refais qu'ils m'aient pris, je vais me défoncer pour bien bosser, tu vas voir !
- Sûr.
Il me parle de son boulot tout le reste du trajet. Heureusement on arrive rapidement à la petite devanture minable et couverte de stickers de la pizzeria. Shoto est déjà devant, changé, dans un beau t-shirt sombre avec un col en V. J'adore quand il porte ce genre de t-shirt, ça lui va si bien. Mes yeux suivent la forme de son col et détaillent le reste de sa tenue. Il sourit quand il me voit et je me mord l'intérieur de la bouche pour ne pas sourire bêtement comme un con bienheureux.
- On rentre chez toi ? je propose. J'ai envie qu'il n'y ait que nous deux ce soir.
Il hausse les épaules en signe d'indifférence et je dis au revoir à Eijiro avant de prendre le chemin du petit studio d'un pas rapide.
- Pourquoi tu cours comme ça ? me demanda Shoto.
- C'est toi qui traine ! me plaignais-je
- Non, pas du tout, tu es trop en forme pour un soir.
- Et tu as encore rien vu....
Il jette un petit coup d'œil vers moi comme pour chercher à confirmer une intuition.
- Allez, insistais-je.
Il soupire mais adopte une allure un peu plus rapide. L'air chaud de la journée commence à peine à descendre à une température agréable, le soleil s'est couché il y a peu de temps et le ciel a cette couleur entre le noir et le bleu.
Son appartement me semble trop loin, je brûle de sentir sa peau contre la mienne et il sent mon impatience.
- Tu sais que je dois encore me laver en rentrant, me prévient-il.
Je le savais bien, moi aussi j'avais fait les livraisons en plein été, avec le jean, le blouson de protection, le casque et même s'il avait revêtu une tenue propre, je voyais ses cheveux collés à son front et sur sa nuque.
- Tu as faim aussi ? demandais-je pour me préparer à devoir attendre la fin du repas aussi.
- Non, un client n'est jamais venu chercher sa pizza, au bout d'une heure, on l'a mangé. La soirée était calme. C'est désert l'été ici...
- Qui voudrait rester ici pour ses vacances ? demandais-je.
- Toi, répondit-il.
- Non, moi je reste là parce que t'es coincé au travail, sinon je t'aurais emmené de force dans la maison de famille au bord de la mer et je t'interdirais de porter un t-shirt.
Il me sourit et moi je l'imagine en maillot de bain à la plage et dans le lit de ma chambre dans la maison au bord de l'eau. Je me mords la lèvre, patience.
On arrive enfin devant le petit immeuble qui abrite son studio. Je l'attends en haut des escaliers et il ouvre la porte. Je me force à le laisser tranquille pour aller prendre sa douche salvatrice de fin de boulot et je me mets à l'aise. En boxer sur son lit, je déroule le fil d'actu débile des réseaux sociaux pour m'occuper les mains. Je glisse vers le bas sans vraiment m'intéresser aux informations qui défilent devant mes yeux.
L'eau cesse de couler et alors là, je ne vois même plus les images qui passent à l'écran, mon esprit est déjà perdu dans l'avenir proche. Je m'imagine déjà poser mes mains sur le torse encore humide de Shoto et le souvenir de l'odeur de sa peau envahit ma tête.
Bordel.
Je jette mon téléphone à l'autre bout du lit. Il en met du temps à sortir de là.
La porte s'ouvre enfin et Shoto, une serviette autour de la taille, émerge de la salle de bain.
- Viens-là, ordonnais-je.
- Tu exiges beaucoup de choses ce soir, dit Shoto tout en s'approchant quand même.
Je me relève sur mes genoux, tout au bord du lit et Shoto me rejoint. Je me stabilise en m'appuyant sur ses épaules et l'embrasse. Ses mains se posent sur mes hanches et j'entends le bruit discret de la serviette qui tombe au sol.
- Je te veux encore plus que ça, je te veux en moi. Prends moi, demandais-je.
- Ce soir ?
- A moins que tu n'en aies pas envie ? Mais je t'avais promis ça la dernière fois...
Je le vis déglutir et sa main glisse sur ma joue, sa bouche se pose délicatement à plusieurs reprises sur mes lèvres, hésitant, avant de plonger sa langue dans un geste un peu brusque qui m'allume vivement.
Je pris ça pour un oui.
Ses mains parcourent mon corps et il retire mon boxer pour nous mettre à égalité. Alors qu'il le glisse le long de mes jambes, il dépose quelques baisers sur mon ventre.
Il plonge à nouveau sa langue dans ma bouche et parcourt mon torse de ses mains, de bas en haut, s'arrêtant sur les pecs, pour prendre le temps de caresser mes tétons avec ses pouces. Je pose mes mains sur ses fesses et serre pour lui montrer comme il me fait du bien. Il attrape mes mains et me fais basculer sur le dos, me bloquant les mains au-dessus de la tête dans une seule des siennes. Sa bouche quitte la mienne et il vient titiller un de mes tétons du bout de sa langue, son autre main se promenant sur mon corps. Il me mordille et je me tortille de plaisir sous lui.
Il me relâche et pose ses doigts sur mes joues, m'embrassant de nouveau tendrement.
- J'ai terriblement envie de toi... mets-toi à quatre pattes, dit-il d'une voix douce mais ferme.
Il se relève et me laisse un peu de place. Je me mets sur les genoux et je sens ses deux grandes mains chaudes s'emparer de mes fesses. Mon sexe frémit. Il les caresse avec douceur, puis le toucher mouillé d'une langue vient glisser contre mon trou. Je le sens s'humidifier alors que Shoto dépose sa salive tout en faisant des petits cercles pour me détendre. La sensation me donne des frissons et mon bas ventre se contracte un peu plus. Il insiste, variant la pression et ses mains fermes malaxent mes fesses, glissant parfois entre mes cuisses, caressant et pressant mes bourses. J'en veux plus mais je me mords la joue. Je ne veux rien dire.
Sa langue s'éloigne avec lui et je ne bouge pas. Finalement, je sens un doigt couvert de lubrifiant me masser. Il rentre en moi avec douceur, fait des allers et retours, s'enfonçant un tout petit peu plus en moi à chaque mouvement. Le contact de son doigt contre mon anus, s'enfonçant, se retirant, avec une lenteur tortueuse commence à me chauffer de façon indécente. Je retiens mes gémissements de plaisir jusqu'à ce qu'il atteigne ma prostate et stoppe ses va et vient pour caresser en petits cercles ce point si sensible.
Un gémissement incontrôlable finit par sortir de ma gorge et je le sens lentement retirer son premier doigt. J'ai envie de dire non, d'attrapper sa main et de l'enfoncer de nouveau en moi, mais je sens un deuxième doigt glisser au-dessus du premier. Ca tire un peu sur mon anus mais tout se suite après, le plaisir, encore plus intense, est de retour. Il s'attarde sur ces caresses et je me retiens tant que je peux mais je commence à haleter et les gémissements s'échappent d'entre mes lèvres, sans que je ne puisse les retenir, de plus en plus fréquemment. Avant même qu'il n'ai pu s'introduire en moi, la chaleur de l'orgasme se répand dans mon mon corps, me faisant me contracter et je mords avec force le coussin innocent qui se trouvait sous mon visage, étouffant un ultime cri de plaisir.
Mes jambes tremblent un peu mais je me concentre pour ne pas bouger. Shoto retire ses doigts comme il les a entrés, millimètres par millimètre et je pousse un soupir de frustration quand je suis de nouveau libre, vide. Il finit de se déshabiller et je reste dans ma position, attendant la suite, car je ne veux pas que ce soit fini. J'en veux plus. Je veux le sentir venir en moi. Je sens son sexe humide rouler entre mes fesses alors qu'il se penche doucement sur moi, jusqu'à s'approcher de mon oreille.
- Je peux te fesser ? chuchote-t-il.
- Tu fais ce que tu veux de moi ce soir, lui assurais-je.
Il se redresse, le frottement de sa bite entre mes fesses me tira un petit gémissement d'envie et alors que tout avait été lent et doux jusqu'à présent, un claquement sonore retentit tandis ce que la brûlure cuisante de la fessée s'épanouissait sur ma fesse. Un petit grognement de surprise mêlé à l'excitation sortit d'entre mes lèvres ce qui sembla plaire à Shoto puisqu'il recommença.
Une fois.
Deux fois.
Trois fois.
Et plus encore
Chaque fessée faisant légèrement bouger sa queue toujours lovée entre mes fesses, provoquant une combinaison parfaite de douleur et de frustration qui me faisait sombrer dans un état d'excitation proche de la folie. Et alors que j'allais abandonner mon voeux de silence je senti l'extrémité de son sexe appuyer contre mon anus.
- Tu es si bon Katsuki, susurra Shoto tout en me fessant une dernière fois alors qu'il s'introduisait en moi.
Ses deux mains agrippent solidement mes hanches et il entre sans résistance. Les bruits de plaisirs qui s'échappent de lui sont parfaitement obscènes et me font bander durement à eux seuls. Je le sentais rapidement perdre le contrôle alors qu'il allait et venait plus vite en moi. Je ne bougeais pas et le laissait imposer son rythme me délectant de son plaisir brutal et du feu qui émanait encore d'une de mes fesses. Il accélère encore et éjacule en moi, me laissant encore désireux de sentir sa queue me ravager.
- Ne ... bouge pas, articula-t-il difficilement, essoufflé.
Il se retire doucement dans un petit grognement et sa queue est vite remplacée par trois doigts. Je pousse à mon tour un petit grognement quand sa deuxième main vient enserrer mon sexe et me masturbe.
Même quand je décide de m'offrir à lui, pour son plaisir, j'ai l'impression que ce qui le satisfait le plus est de me faire jouir et je prends avec délice, toute la jouissance qu'il peut me donner, lui offrant un abandon dont je n'ai jamais fait preuve avec personne d'autre.
Les doigts et son poing se meuvent dans un même rythme lent, annonçant une nouvelle et délicieuse torture. Mon sexe se tend et se durcit un peu plus à chaque mouvement. Je laisse sortir mes gémissements sans plus les retenir et lâche même quelques "putain, plus vite Shoto". Le pouce de sa main qui me branle caresse parfois l'extrémité de mon sexe, déclenchant des spasmes le long de ma bite. Je mords de nouveau le coussin sous ma tête. Et, alors que je sens que la délivrance approche, il semble décider par caprice de planter ses dents dans ma fesse intacte. Je ressens une forte succion entre ses lèvres et ses gestes s'accélèrent alors que je sens le sang affluer sur le suçon qu'il est en train de faire éclore. Je lâche le coussin pour pouvoir crier de tout mon saoul alors que je me déverse sur les draps dans une libération attendue avec désespoir.
Il relâche la prise de ses dents, de sa main, de ses doigts et je me laisse tomber sur le ventre avant de me retourner sur le dos. Je prend son avant bras dans ma main et l'attire à moi. J'ai besoin de sentir son corps chaud et humide contre le mien, son cœur cogner contre ma peau et son souffle, encore un peu saccadé, s'échouer contre ma joue. Il se laisse tirer contre moi et ses pupilles sont un peu grandes dans ses yeux vairons. Je ferme les miens pour profiter de ce moment de sérénité et de bien être.
Il s'endort contre moi en quelques minutes, pour une fois j'ai l'impression d'être celui qui prend soin, qui veille sur l'autre et ça me fait du bien. Comme retrouver une petite part de moi que j'arrivais pas à faire vivre sans Deku. Et pourtant elle est là.
**
Et voilà pour les lemon, j'espère que vous êtes satisfaits ! Comme ca va etre les vacances, vous aurez un petit bonus la semaine prochaine ;)
Bonne semaine !
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