Chapitre 67
Après quelques kilomètres de conduite nous voilà enfin arrivés au building. Claus se gare devant les grandes portes vitrée et vient me tenir la portière tel un gentlemen.
Alors que nous nous dirigeons main dans la main vers l'entreprise, Lewis qui nous aperçoit de loin accours-à-nous avec un large sourire rayonnant.
- Désolé si je n'ai pas pu venir te voir à l'hôpital, mais je suis heureux de vous revoir dans votre demeure.
- Ça me fait plaisir de te revoir Lewis et cela dans de meilleures conditions.
- Je vais mettre la voiture dans le parking dit-il en faisant une accolade à Claus qui lui tapote le dos.
Une fois leurs échanges terminée Claus entrelace nos doigts et me traine jusqu'au battante vitré. Dans un soupire commun nous entrons dans les locaux.
Enfin je pouvais sentir la joie dans l'air frais de l'immeuble.
Il me tire jusqu'à l'ascenseur en me prévenant que le personnel nous attendent en salle de réunion.
- Ils seront contents de te revoir ma lady.
- Je l'espère bien black man.
Nous nous tordons de rire face à notre conversation simple et insignifiante.
- J'aimerais te dire quelque chose Alex.
J'arrête de rigoler en lui lançant un regard inquiet. Ses prunelles pénétrantes lui donne un air sérieux qui fait chaviré mon coeur. La bouche formée en o Claus coupe mon hélant en me demandant le silence. Oh le bâtard me suis-je dit à moi-même avant qu'il ne se décide de piper mots, mais il est trop tard car les battantes de l'ascenseur s'ouvre.
Il m'embrasse et reporte la conversation à plus tard attisant ainsi le feu de la curiosité qui brûle en moi. Beaucoup diront tu n'as donc rien appris de ce qui est arrivé à Emilie ? Bien sûr que oui je n'ai tiré aucune leçon positive de cette situation. Je me rappelle que de la négativité qui a fait disparaître les étoiles qui dansaient autour de la lune.
Claus m'a expliqué tout ce qu'il a pu faire durant ces derniers temps. Il était divisé entre témoignages à la police et la paperasse de la presse. Comment ne pas avoir tout ça sur le dos lorsqu'une jeune filles saute de ton immeuble.
- Alex... ? M'interpelle-t-il en me caressant la joue avec délicatesse. À quoi penses-tu ?
- À rien d'important Claus on doit entrer. Je pose ma main sur la sienne et laisse ma tête se reposée dans le creux de sa paume où je dépose quelque baiser. Il souffle et se retourne pour pénétrer la salle de réunion où on avait abandonné les reines en les offrant à une personne sans morale.
Chaque occupants de la salle se met à applaudir de joie me faisant rire et pleurer de gaieté. Quant à Claus il part vers son fauteuil la tête haute, tel un félin il darde un regard de sérénité sur l'assemblée en leurs demandant de se calmer.
Je pars le rejoindre en observant le personnel de manière reconnaissante, car malgré les coups dures ils n'ont pas abandonné l'entreprise qui leur a offert une chance meilleure dans leurs vies. Arrivé à la hauteur de Claus j'enroule mon bras autour du sien, j'appuie ma tête sur son épaule pour me réconforter et aussi lui donner mon soutien.
Il plante un bisous sur mon front bien avant de se tourner vers ces employés avec un sourire en coin.
- Bien le bonjour à tous... Je ne le démontre peut-être pas, mais je suis heureux de me compter aujourd'hui parmi vous. C'est un réel plaisir pour moi de constater que vous avez tenu bon jusqu'à maintenant. Je me rappelle que la dernière fois je vous ai demandé de ne pas abandonner même si mon retour vous semble long je reviendrai, car cette entreprise m'appartient. J'ai eu à faire plusieurs vas et vient entre office de police, ici et l'hôpital pour rendre visite à ma femme. Les comptes ne sont pas en très bon état ce petit lapse de temps loin de mon boulot nous a fait perdre beaucoup, mais vu que vous êtes là je me réjouis, car c'est main dans la main qu'on va se reconstruire une image pure. Merci à vous pour votre dévouement cela me va droit au coeur. Avez-vous quelque chose à ajouter avant que je ne vous congedies à vos postes.
Dans un rire d'assemblé je pouvais voir quelque fille essuyer le coin de leurs yeux ému par le petit discours de Claus qui pour moi est un exemple d'intégrité et de loyauté. Une voix cachée derrière la masse de personnes réclame le silence dans la salle et les autres obéissent en s'écartant pour qu'on puisse le voir. C'était Ethan Smith le jeune protégé inconnu de mon homme.
- Au nom de mes collègues j'aimerais vous dire merci. Merci d'avoir tenu votre promesse et d'être revenu plus fort que jamais avec votre charmante femme. C'est un honneur pour nous de rétablir l'image de la Wilson entreprise à vos côtés. Bienvenue chez vous monsieur.
Claus voulait parler, mais je le devance en tirant sur son bras.
- Mon homme tel que je le connais ne vous montrera jamais les émotions qui bouillonnent en lui. Vu que je suis là plus émotive et pleurnicharde c'est le visage larmoyant que je vous remercies d'être rester vous-même. Ne changer pour rien au monde, car ici nous avons une relation plus que patron employés. Nous sommes une famille, nous travaillons main dans la main nous nous soutenons mutuellement et c'est ça qui fait la grandeur du nom Wilson. J'espère que cela continuera toujours.
Des sifflements suivie d'un tonnerre d'applaudissements gronde dans la salle alors que Claus m'attire à lui pour que je puisse pleurer de joie sur costume.
-Vous pouvez disposer maintenant !
La tête enfouie dans son costume j'entendais des murmures et des rires joyeux s'éloigner de nous. Claus me porte en mode princesse dans un silence brisé par mes reniflements jusqu'à son bureau. Il appuie sur la télécommande et ferme toutes les fenêtres en laissant la lumière tamisée.
Une fois fait il prend place sur le divan avec moi dans ses bras tout en me caressant la chevelure pour me calmer et ça marche à la perfection. Il me met à califourchon, encadre mon visage et essuie toutes les larmes que j'avais accumulées en moi durant ces moments difficiles.
Voulant plus qu'une petite caresse je me jette sur ses lèvres en lui arrachant un grognement bestial. La tête penchée sur le côté je le dévore telle une affamée. Il reprend très vite le contrôle et me bécote avec une voracité remplit de sens à mes yeux. Je lui prends un poignet de cheveux lorsqu'il délaisse ma bouche pour déposer une traînée de baiser le long de mes épaules.
Tirant sur les bretelles de ma robe il libère une fois de plus mes seins et laisse un feulement lui échapper. Il se précipite de prendre un mamelon en bouche et le lèche pour me faire perdre toute forme de raison. Pelotant mon second seins je n'arrivais plus à réfléchir correctement.
Je ne suis qu'un feu qu'il ravive à chaque attouchement. Seule nos soupirs faisaient écho dans la salle. La peur d'être vue c'est échappée, car j'ai les yeux que pour mon homme en cet instant.
- Laisse toi allé ma lady les murs sont insonorisés et personne ne peut t'entendre de la baie vitrée on est aux derniers étages... Je veux que tu me prennes comme bon te semble Alex c'est une manière pour moi de te remercier de ton soutien malgré tout ce qu'on a vécu...
Aucun mouvement alors que je suis brûlante. Je préfère le voir prendre les reines et je lui fais passer le message en titillant mes seins. Claus se redresse, m'attire à lui, emprisonne mes lèvres tout en tirant sur la ficelle de mon sous-vêtements.
J'appuie sa tête contre mes seins en faisant des vas et vient sur son pantalon où je pouvais sentir son désir pour moi. Il enroule mon bassin et stop mes mouvements la bouche toujours plaquée à ma poitrine. Il pénètre mon antre d'un doigt ce qui me pousse à rejeter la tête en arrière ensuite un deuxième et un troisième.
Un va et vient modéré me torturait. Je voulais le sentir encore plus alors je me mets à déhancher sur sa main. Il se détache de mon corps et observe les traits de mon visage déformé par le désir.
- Vas-y bébé fait toi plaisir déclare-t-il en enfonçant plus ses doigts.
Les yeux fermés je me laissais aller à cette vague de bien être qui courait à moi. La respiration saccadé, j'ai perdu la tête sous les attouchements bien positionnés de mon homme.
D'un coup il retire ses doigts, à l'aide de son bras enroulé à ma hanche, il me soulève un tout petit peu pour libérer l'objet de mes désirs.
Dans un silence, il pointe son phallus vers l'entrée de ma parenthèse d'amour en taquinant ma vulve. Il savait que je n'en pouvais plus et que je le voulais plus que tout à cet instant. Dans un grognement rauque Claus glisse en moi jusqu'à la garde. Une petite douleur me frappe, mais elle est bien vite remplacée par le plaisir que me procure les coups de rein de mon homme.
Il attire mon visage à lui et étouffer mes gémissements par un baiser. Appuyez à ses épaules je le laisse faire de moi ce qu'il veux, car j'aime le voir prendre les reines surtout au lit.
- On...a complètement raté notre programme...murmure-t-il en frôlant mes lèvres des siennes.
- Je...ne...comprends...
- Hummm normalement on devait le faire à la maison, mais en te voyant sur mes genoux en pleurs je me suis dit pourquoi ne pas lui donner un remontant..
-Du moment que ton remontant est exquis je l'accepte volontiers.
Il évite de répliquer et se met à me labouré d'une manière féroce. Son regard ancré sur le mien me donnait l'image d'un félin prêt de sa proie. Je tire sur ses cheveux lorsque je sens la libération frapper à ma porte.
Porter sur un nuage je laisse mon corps se libéré de plaisir pendant que lui donne quelques coups avant de me rejoindre sur mon nuage.
Nous restons lover l'un à l'autre en déchirant l'atmosphère silencieuse de notre souffle erratique qu'on essaye de reprendre.
Dans ses bras je pouvais trouver mon paradis terrestres. Je ne le remercierais jamais assez d'avoir fait de moi une femme complète.
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J'espère vraiment que ce chapitre Vous plaira 😘😍merciii à vous de me suivre 😍😍
Désolé pour les fautes j'ai relu le texte tellement de fois que je le connais par coeur 😂😂
Dite moi ce que vous pensez réellement de ce chapitres ? 😘😘😘😘
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