Chapitre 65

Les yeux alourdit je cherchais à les ouvrir à n'importe quel prix en entendant un de mes enfants pleurer. Je force à bouger mes membres engourdit, mais aucune réponse de mes muscles. Je voulais sortir de ce monde plein de noirceur et éclairé ma vue avec le visage de mes petits anges qui m'attendent à bras ouverts. Alors que leur maman est paralysé sur un lit d'hôpital. Toutes mes tentatives pour ouvrir mes yeux sont voués à l'échec à chaque minute, mais dans un dernier effort mes paupières décident de coopérer. J'ouvre les yeux et les referme aussitôt ébloui par la lumière placardée au plafond.

Tournant la tête avec difficulté vers les bambins j'aperçois Emilie, Claus, Julia et Caled tenant chacun un de mes petits monstres. Quant à Gigi elle est assise sur un tapis de jeux à faire un puzzle. Cette image symbolique à mes yeux me fait sourire, mais il est vite remplacé par des toux secs.

Tous pose leurs regards sur moi en souriant à coeur joie. Gigi cours jusqu'à mon lit et me demande si je me sens bien, je lui dis oui de la tête en demandant un verre d'eau à Julia.

Il se lèvent tous et accourent à mon chevet en m'embrassant à tour de rôle le front. Je prends le verre d'eau que me tend ma Julia et le boit d'un coup sec en rejetant la tête en arrière pour déguster cette sensation de rafraîchissement et de bien être.

- Tu nous as manqué tu sais ? Gigi et ses frères n'arrivaient pas à dormir à la maison, mais une fois arrivé ici il avait le sommeil léger alors on a passés toutes nos nuits ici.

- Vraiment j'aurais aimé voir ses instants-là...

Claus s'assoit près de moi et dégage la mèche rebelle qui cache mon regard et la coince derrière mon oreille.

- Le plus important est que tu es de retour et en bonne santé. Des moments de joie et de partage tu pourras en avoir une fois que tu sors d'ici.

Je remercie Claus en lui serant la main. détournant mes yeux de son regard profond je les pose sur Emilie. Elle a un sparadrap sur le front et quelques petits bleus par si et par là sur la face. Sentant de la culpabilité monter en moi je laisse mes larmes couler sans jamais arracher mon attention sur ses blessures. Claus se lève et demande à Emilie de venir près de moi, car lui ne pouvais pas me calmer. C'est une pure vérité. La seule personne capable de m'ôter cette culpabilité était bien elle.

Ils reculent tous et retourne s'asseoir sur leurs chaises alors qu'Émilie prend place sur ma couette avec Blue dans les bras je reconnaîtrais ses yeux océanique entre mille. Le regardant gazouiller je continue de pleurer la tête baissée par peur de lire dans les yeux de mon ami du mépris.

-Alex, regarde moi je ne veux pas que tu restes la tête baissée tu dois toujours avoir la force de regarder de l'avant quel que soit le problème. Je sais que tout ce qui m'est arrivé n'est pas de ta faute, mais plutôt celle de ma curiosité et je ne regrette pas mon erreur, car elle a délivré ma meilleure amie des mains d'une mauvaise personne tout en faisant l'impossible pour me sauver. Tu n'es pas coupable des erreurs que les autres font. Comprends-le. Tu as accouru à mon sos sans prendre en compte les conséquences, tu m'as sauvé en perdant du temps afin que Claus et ces hommes nous trouvent et c'est la plus belle preuve d'amitié que j'ai pu voir dans ma vie alors arrête de te sentir mal.

La vue brouillé par mes émotions je capture ses yeux et lui fait une bise sur le front. Je ne pouvais pas la serrer dans mes bras de peur de faire mal à mon petit prince. En me rappelant du geste de cette fille et de son regard avant de se laisser tomber je prends ma tête entre mes mains et essaie du mieux que je peux, d'éliminer ses cogitations brumeuses qui affectent mon esprit.

- Mais elle est morte ! Me confiais-je en fermant les yeux. J'attire mes genoux à moi et essaie de rester calme en prenant sur moi-même.

-Ce n'est pas de ta faute si elle a choisi cette option pour fuir le monde judiciaire Alex. Chacun est maître de son destin et de ces choix. En choisissant de mourir, elle a décidé de fuir ces responsabilités et aussi d'aller loin de ceux qui l'on engagée alors ne te sens pas coupable mais fière, car je suis sûr que tu lui as pardonné pour l'enlèvement de ta fille en la libérant de ce poids.

- Tu es certaine qu'elle va bien de là où elle est ?

- Je ne sais pas Alex, mais je sais qu'elle est libre de reposer en paix parce que toi et Claus avez tourné la page de ce cours chapitre plein de mésaventures. Fait nous un beau sourire aller... Blue dit à ta mère de sourire elle est trop triste et  nous on n'aime pas cela.

Je pouffe de rire en voyant la mine renfrogner de mon bébé. Et à ce moment-là il ressemblait à Claus la première fois que je l'ai vu l'aire sérieux à se demander qu'est-ce que le monde lui veut.

-Normalement vous savez que vous devez prévenir un médecin de mon réveille ? dis-je pour détourner la conversation.

Je ne voulais plus penser à la mort de cette fille je ne tiens pas à accumuler les décès j'en ai déjà assez sur mes épaules et ce fardeau me pèse même si souvent j'y pense plus, dans un coin de mon coeur mes parents et Pruska avait logés là sans jamais déménager et cela me donne toujours le courage d'aller de l'avant.

- Laisse nous profiter un peu de toi avant qu'ils n'apparaissent et te donne des calmants. Réplique Emilie en se levant de mon lit. On va te laisser un moment avec ton homme je suis sûr que vous avez beaucoup de choses à vous dire.

Elle me fait un clin d'oeil en partant en direction des autres afin de leur demander de nous laisser seule.

Les jambes repliées contre ma poitrine telle une personne délaissée mon regard reste ancré dans celui de Claus qui me suppli de lire en lui. Notre fille en main il se dandinait pour ne pas qu'elle puisse se réveiller.

Il la pose dans un des berceaux qui se trouve près des chaises avant de rattacher son regard au mien. Je pouvais voir dans ses yeux la terre tremblée par une illustration de dialogue sans mots, il sait que pour moi une seule parole, un sourire gracieux, un seul regard suffit à me faire chavirer en laissant mes armes tomber sans jamais me défendre.

Il sait briser ma carapace par son silence et ses gestes pleins d'amour. D'un rictus il s'approche de moi en décoiffant ses cheveux. Je me mords la lèvre et porte le regard ailleurs afin de ne pas succomber à son charme ravageur, mais en sentant sa douce main se poser sur mon épaule un boum me pris le coeur. Je voulais résister de toutes les forces alors je ne prête pas attention à son geste.

Vu mon ignorance il retire ses doigts et Épingle avec aise un doux baisers dans le creux de mon cou me faisant basculer la tête en arrière. Un gémissement hasardeux outrepasse mes lèvres malgré mon mécontentement. Il continue avec son sillon de baisers alors que moi je cherche la force de le repousser pour le rendre dingue.

Posant mes mains contre son torse je perds toute crédibilité en sentant ces muscles sous mes fins doigts. Les battements de son coeur son régulier et son souffle chaud me caresse l'épiderme du cou.

- Alors, comme ça on n'essaie de résister au grand Claus non, non et non ma chérie tu dois savoir à quel point tes doux toucher mon manqué. Ton état ma déchu de tous mes droits, chaque soir j'espérais te voir sourire et te quémander un baisers pour me bercé la nuit, mais rien tu es resté silencieuse comme une tope.

Il courbe le doigt en le posant sur mon menton pour attirer mon regard à lui. Passant son pouce avec délicatesse sur mes lèvres.

- Et cette partie charnu m'a manqué... Il s'abandonne sur mes lèvres et nous partons dans un ballet dont seule deux amoureux comme nous connaissons la musique. Je cédais à cette masse d'amour qui m'étreint le coeur, car je ne pouvais pas combattre contre les désirs de mon coeur et sa douce bouche m'a aussi manquée.

Il est mon souffle et ma force en ces baisers et son sourire gracieux je tire mon courage. Malgré la migraine qui commençait à se développer dans mon cerveau je ne voulais pas le lâcher. Je veux l'embrasser jusqu'à en perdre mon haleine, jusqu'à fermer les yeux et me laisser porter dans le sommeil. Il agrippe mon bassin sous les draps et m'emprisonne dans ses bras. Mon épiderme s'imprégnait de sa chaleur corporelle sans grand effort et j'en voulais plus...comme toujours.

Claus peut déverser son sang dans le mien et je peux le faire aussi c'est le premier et j'espère le dernier homme de ma vie s'il me lâche je ne pourrais jamais lui pardonner et ça sera difficile pour moi de me relever et...

- Hum... Claus se décolle de moi en grognant il tourne son regard assassin vers le médecin qui se colle au mur cherchant à disparaître.

- Désolé Claus on n'a pas pu l'empêcher d'entrer, affirme Emilie en entrant suivie de Julia et Caled.

Je ne pouvais pas m'empêcher de rigoler en disant au docteur et à mes amis que cela n'est pas grave. Mais le docteur ne voulait rien entendre il était toujours coincé au mur. Je lui demande donc gentiment de ne pas prendre peur en souriant.

- Il a toujours été un peu froid avec les médecins. déclarais-je en prenant la main de mon homme.

Claus tire le drap qui c'est décalé de mon corps laissant la naissance de ma cuisse à la vue du médecin.

- Oops couinais-je en le voyant me sourire en coin.

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J'espère vraiment que ce chapitre Vous plaira 😘😍merciii à vous de me suivre 😍😍

Désolé pour les fautes j'ai relu le texte tellement de fois que je le connais par coeur 😂😂

Dite moi ce que vous pensez réellement de ce chapitres ? 😘😘😘😘

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