chapitre 63
Claus moi et Arthur marchons vers le building sans avoir établie de plan. Je me demandais dans quel état se trouvait Emilie. On n'aurait peut-être jamais dû céder au menace. Les regrets ne nous apporterons rien je le sais, mais je ne peux m'empêcher d'y penser.
Une fois près de l'entrer Claus se pousse vers la caméra de surveillance pour capturer l'attention du personnel de nuit.
Lewis qui se trouve être de service ce soir sort du building tout essoufflé. Choqué de nous voir ici à cette heure, il se met à observer chacun de nous en cherchant à comprendre ce qui se passait.
- Claus... mais qu'est-ce que vous faites ici à cette heure ?
Je voulais répondre à sa question mais je suis devancé par Arthur qui l'attire d'un coup contre le mur afin de se cacher. Il lui pose la main sur la bouche pour s'assurer qu'il ne fasse pas de bruit qui pourrait interpeller Lena. Son geste amical me fige totalement pendant un instant.
- Est-ce que tu as vu Emilie et Lena sortient du bâtiment ? Demandais-je à voix basse en l'implorant de mon regard.
- Elle est montée voir la patronne mais Emilie n'est jamais descendue et Lena aussi. Mais qu'est-ce qui se passe ?
- Elle a decouvert des preuves qui lient Lena à l'enlèvement de Gigi et nous croyons qu'elle est en danger.
-Merde ! Je viens avec vous dans se cas là. Laissez-moi récupérer mon arme dans les locaux de la sécurité.
Pendant que lui se dirige vers son antre, nous entrons dans le building à pas de loup. Le hall est seulement éclairé par le reflet de la lune.
Je suis Claus jusqu'à l'ascenseur et attend l'ordre d'Arthur avant d'y entrer. Lewis glisse dans la boîte métallique à son tour et c'est à ce moment que les portes se ferment en nous portant à l'étage de Claus.
Les garçons arme leurs pistolets me faisant sursauter. Une fois que l'ascenseur s'ouvre pour nous laisser sortir, Arthur passe devant nous en pointant son calibre dans tous les sens à la recherche de présence humaine. Aucun bruit ne se faisait entendre. Claus me conduit vers le bureau d'une des secrétaires et me pousse à me cacher sous la table, mais je refusais en m'accrochant à son bras.
- Alex je ne peux pas t'envoyer avec nous tu risques de te faire mal s'il te plaît laisse nous allez sauver Emilie.
Je le regards un instant en cherchant à le déstabiliser, mais il détourne le regard pour ne pas flancher devant moi. Je lui caresse l'avant bras avant de le relâcher peu à peu.
- Fait attention à-toi, évite de t'attirer des ennuis.
Il s'approche délicatement de moi et pose ses douces lèvres sur les miennes et nous voilà plonger dans un ballet féérique dont nous seule avons le secret. Je cherchais à l'encourager à ma manière et lui faire comprendre que ce baisers ne doit jamais être le dernier, car j'ai besoin de lui à chaque moment dans ma vie.
Il se décolle de moi et se lève dans un souffle de désespoir. Joignant les mains devant moi je me mets à prier pour que tout se passe bien je ne veux pas qu'ils arrivent quelque chose à ce groupe que j'aime. Ils sont toujours là quoiqu'il arrive pour nous soutenir et je ne les remercierais jamais assez. Je continus à imploré le ciel de les aider, mais une voix et quelques murmures étouffer se font entendre dans les escaliers de secours.
Je combattais avec moi-même pour ne pas sortir de ma cachette et laisser ma curiositée me conduire à des problèmes. Mais mon corps et mon coeur se lève dans un esprit d'inquiétude. Je me mets à marcher en direction des escaliers en cherchant du regard un des hommes avec qui je suis venue, mais aucun n'était visible.
La peur au ventre j'ouvrais la porte des escaliers et pu voir des ombres se précipiter vers le toit de l'immeuble. Je cherchais alors une idée pour les suivre sans me faire remarquer chose qui était impossible car les escaliers sont en un rond si jamais quelqu'un tourne la tête il peut me voir.
Je décide alors de les laisser avancer et prendre de l'avance sur moi avant de me lancer à leur poursuite. Collé contre le mur le coeur battant la chamade la respiration saccadé j'attendais que les pas finissent.
-Un...deux...trois...
Je comptais afin de faire passer ma peur et contrôler l'anxiété qui commence à monter en moi. Lorsque j'entends la porte du haut claqué je sursaute et me met à courir derrière eux.
Je me dépêche de les rejoindre avant que quelque chose de grave n'arrive. Je n'avais peut-être pas d'armes mais j'espérais faire changer d'avis à Lena en lui faisant entendre raison. Je ne veux pas qu'elle meurt car je ne suis personne pour décider de son jour, je veux juste qu'elle relâche mon ami et s'en prend à moi car cette histoire concerne ma famille et non mes amis ils n'ont rien avoir dans cette histoire.
Toute essouffler je laisse mon dos se collé à la porte qui me séparait de Lena. J'expire et inspire, jusqu'à ce que ma respiration reprenne une course normal. Quand je me sens fin prête j'ouvre la porte avec délicatesse et regarde les alentours et sors.
Je me cache derrière un des systèmes de ventilations reliés par des tuyaux et essayait du mieux que je pouvais de suivre la voix de Lena. Lorsque j'arrive finalement à savoir où elles sont je m'approche et me cale derrière un autre système en écoutant les paroles de notre chère Lena.
- Tu sais Emilie tu n'auras jamais dû voir les documents que j'avais soigneusements préparer avec mes ami. Il été posé délicatement sur ma table, mais tu as fait ta curieuse en fouinant dans mes affaires et cela n'est pas bien tu es une grande fille Emi tu devrais savoir qu'il n'est pas bon de laisser sa curiosité prendre le dessus sur nos...
Un silence se fit entendre laissant sa phrase en suspend. Je décide alors d'étirer mon cou et vérifier ce qui était en train de se passé. En regardant vers le coin plat du toit je pouvais voir Émilie agenouiller, les mains liées dans le dos sans une ombre de Lena. Croyant qu'elle c'était finalement éloigné de nous, je sors de ma cachette et me trouve nez à nez avec un révolver dont l'on a armé dans un clic.
Les yeux fermés, les mains et les pieds tremblants, je priais que Claus puisse nous trouver au plus vite.
-Alex ma très chère amie comme on se retrouve. Tu ne croyais tout de même pas que j'étais assez bête pour laisser Émilie seule alors qu'elle en sait un peut trop ? Mais pas grave c'est un plaisir de te compter parmi nous, aller avance !
Prise de peur je ne cherchais pas à lui désobéir. Je me mît aussitôt à marcher en direction d'Émi. En sentant le poids de son pistolet pesé contre ma nuque, je ne pouvais pas arrêter de pleurer et l'état d'Émilie n'arrangeais pas la situation.
Eclairé par le croissant de la lune, je levais les yeux vers le ciel étoilé en appelant Dieu ou mon père au secours. J'espérais qu'ils m'entendent tous les deux et qu'ils réagissent à mes larmes de supplication.
-À genou maintenant !
J'exécute son ordre en me mettant très proche de mon ami. Elle avait un œil au beurre, une blessure sur le front et les lèvres fissurées, je m'excusais auprès d'elle a l'aide mon regard larmoyant, car je ne voulais pas que tout ce si arrive. Elle ne mérite pas ce genre de traitement pour une erreur comme la curiosité. Nous deux pleurons les yeux ancrés l'un dans l'autre. J'avais peur que quelque chose lui arrive et que Claus n'intervient pas à temps pendant que Lena elle nous observe en jubilant.
-Comme c'est beau de vous voir ainsi ! Je ne devrais pas perdre mon temps avec les formalités les filles. Si toi madame Wilson tu te trouves ici cela voudrait dire que ton homme est dans les parages et je n'aimerais pas rater mon avion pour vos visages insignifiant.
L'écoutant d'une oreille, je cherchais à faire du bruit avec les petites pierres sur lesquelles nous sommes agenouiller en m'écorchant la peau au passage. La douleur se fait sentir à chaque fois que je me dandinais et cela devenait de plus en plus atroce pour ma chaire.
-Oui Alex je suis celle qui a enlevé Gigi, ça ne devrait pas te surprendre... Normalement cela ne faisait pas partie de mon contrat. J'ai été embauché pour séduire Claus et vous séparer, mais aucun de mes plans n'a fonctionné. Je ne suis même pas la vrai Lena Tunner, j'ai eu à passer sur les tables de plusieurs chirurgiens pour ressembler à ma sœur avec perfection. J'ai subi toute cette souffrance afin de pourvoir me venger de la mort de cette dernière. Tu veux savoir qui en est le responsable ?
Je lui dis non de la tête en la suppliant, ne voulant en aucun cas me sentir responsable aussi de la mort d'une autre personne.
-Tu vas quand même le savoir. C'est ton homme, Claus wilson ! Cette pourriture et ces alcolites Julia et Caled ont reussi à convaincre mes parents de l'enfermer dans un centre de personne atteint mentalement. Ma sœur était Depressif et non folle putain ! Elle avait reussi à oublier cet homme jusqu'à ce qu'elle tombe sur un magazine qui vous montrait main dans la main en couverure. Cette idiote nous a ecrit une lettre à la romeo et Juliette avant de se taillader les veine ! Je l'ai retrouvé dans la beignoir de sa chambre d'hopital vider de son sang ! Elle était tout pour moi, je me battais ongle et bec depuis des années pour la faire sortir de ce lieu infâme et elle préfère mourir par amour pour quelqu'un qui ne la considérait même pas ! Tu ne comprendras jamais...
-Je te comprend dis-je en la voyant agitée le pistolet devant nous.
Elle est en train de perdre le contrôle et cela pourrait s'aggraver si je ne fait rien. Combattant contre mes toussotemant, je cherchais à la calmer du mieux que je pouvais en lui donnant raison de ses actes.
-Lorsqu'elles sont venue me recruter pour me venger de lui avec une maudite somme d'argent à l'appuis, j'ai sauté sur l'occasion, mais cet homme est éperdument amoureux de toi ce qui gâchait tous mes plans. J'ai dû improviser avec l'enlèvement de votre fille pour frapper là ou ça faisait mal et j'avais réussi. Tout allais sur des roulettes jusqu'à ce que cette idiote ne vienne tous gâcher en t'appelant !
-Lena calme toi s'il te plait pose ton arme sur moi, car je le savais. J'ai passé toute la journée à me poser des questions en voyant ta photo dans le nounours de Gigi alors...
Elle tourne dans ma direction et pose son arme sur ma tempe me coupant toute envie de parler. Je fermais les yeux en me laissant aller à mon sors. Si aujourd'hui est mon jour pour rejoindre mes parents, je ne suis pas prête, mais je me laisse quand même aller.
-Sa suffit Lena !
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J'espère vraiment que ce chapitre Vous plaira 😘😍merciii à vous de me suivre 😍😍
Désolé pour les fautes j'ai relu le texte tellement de fois que je le connais par coeur 😂😂
Dite moi ce que vous pensez réellement de ce chapitres ? 😘😘😘😘
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