chapitre 58
J'étais près de la bibliothèque de Claus a rangé ces dernières affaires, lorsque je virevolte sur moi mon regard remplie de tristesse chérissais Claus qui caressait la photo de sa fille. Posant mon carton je m'approche de lui et m'assied à califourchon sur lui en nichent mon nez dans son cou. Quelques larme fraîche s'écroule sur mon épaule, je me mets à pleurnicher en reniflant. Ce n'est pas juste ! Pourquoi doit on avoir se genre de problème à résoudre ? Ne sommes-nous pas destiné à avoir du bonheur ?
Mon homme viens de tout perdre, mais c'est pour une bonne cause. Je ne suis pas d'accord avec le choix de Claus mais je me devais de le soutenir dans le meilleur comme dans le pire s'il s'effondre je devrais essayer du mieux que je peux, de lui faire retrouver toute sa hauteur...
- On a tout perdu, j'ai tout perdu Alex ! Je suis le désespoir de ma famille ! Je ne réussis jamais rien et...
- Arrête Claus on va s'en sortir je ne sais pas comment on le fera mais on y arrivera ! On se battra pour les enfants pour nos amis et pour tes employés un jour tout retournera à la...
- Arrête Alex, nos comptes en banque son gelé. On se retrouve avec seulement 50.000 dollars en espèces ça ne suffira pas à payer les factures, les employés de la maison et géré des quadruplé avec le reste tu crois que c'est possible ?!
Je retire ma tête de son cou et prend son visage en couple. Nos regards accroché l'un à l'autre me faisait perdre les moyens. Reniflant comme une bête je cherche une force intérieur pour lui remonter le moral avec le peu de paroles qui me venait à l'esprit.
- On va y arriver Claus même si pour ça je devrais travailler, je le ferai ! Nos enfants ne manqueront jamais de rien car on donnera le meilleur de nous pourqu'il n'est nul besoin de quémander un jour ! Il y a des familles plus démunies qui n'ont pas 50.000 dollars mais il s'accroche à la vie pour donner un meilleur avenir à leur progéniture, tu sais de quoi je parle vu que tu es donneur de don ! Arrête de t'appitoyer sur ton sort tu iras dans ce restaurant pour tes enfants pour moi et pour l'espoir qu'on nourrira de notre courage. On a peut être perdu la bataille en déposant les armes mais on a pas encore perdu la guerre !
- Alex, je...
- Non je veux voir CLAUS WILSON ! Je veux que tu te foutes des médias ! Ils j'accasseront sur cette histoire mais qu'est-ce qu'on a foutre de leurs avis ? Je veux revoir cet homme qui c'est battu pour me sortir des griffes de Sylvie. C'est cet homme déterminer que je veux voir.
Prise de chaire de poule je me jette sur ses lèvres, cherchant un minimum d'espoir dans son souffle éradique. Nos lèvres se cherche dans les moindres recoins. Je voulais qu'il tire en moi la force d'on il avait besoin. Je voulais retrouver mon Claus l'homme insensible qui laissait son côté sombre lui donner la force de se jeter dans l'inconnu...
Nous nous séparons à contrecoeur en laissant nos fronts collé. Nos souffle cours se mélangeait en réchauffant le visage de chaqu'un.
- Je t'aime Claus n'en doute jamais !
- Je n'ai pas le courage ni la force de ne pas croire en toi tu es mon ange de lumière lorsque tout devient obscure.
- Vu que je suis ton ange tu devrais accepter le boulot du contrat ça nous fera une entrée d'argent.
- Je sais Alex, j'ai bien réfléchi et je vais accepter le boulot de toute les façons je suis pris au piège pour une bonne cause notre fille.
En entendant notre fille j'ai un pincement au coeur. Je me lève de Claus et part vers la bibliothèque terminer le rangement que je faisais auparavent. Je ne veux pas penser à Gigi qui en ce moment se trouve dans les bras des malfaiteurs. Je n'ose même pas imaginer ce qu'elle vie.
Les larmes qui me picotent les yeux déboulent le long de mon visage, reniflant j'essaie du mieux que je pouvais de prendre sur moi. Le courage dont je faisais allusion il y a de cela quelques minutes m'a fuient en repensant à ma Gigi.
J'entends un froissement, ensuite des pas se rapprocher avec une exquise lenteure. Le cliquetis de la porte raison dans l'antre de Claus. D'une main entreprenante il commence à me masser les épaules, me poussant à relâcher la pression qui me pétrie le coeur. Il dégageait le peu de cheveux logé dans mon cou afin d'y poser ses chaudes lèvres.
- Je veux que tu te relaxes, je resens chacune des ondes négatives qui t'attirent mais tu sais que je ne laisserai personne touchée à notre fille. J'ai mis la police en alerte rouge ils savent qu'ils n'ont pas droit à l'erreur. De mon côté je dois seulement abandonner pour la revoir et je le ferais c'est une promesse que je te fais et je la tiendrais.
Dans un toussotement je me retourne et pose ma tête sur son torse laissant son rythme cardiaque me rassurer par ses battements. Il pose deux doigts sous mon menton, me forçant à le regarder. Il laisse son pouce glissé lentement sur la ligne de ma mâchoire. Cette caresse délicate me brûle la peau avec exquise j'étais haletante et éperdue dans son regard bleu.
Il pose sa main libre dans mon dos et m'attire à lui en me plaquant contre son torse. M'étirant sur la pointe des pieds je plonge mes doigts dans sa chevelure.
Je frôlais ses lèvres cherchant à lui faire perdre tous ces moyens mais Claus étant un homme impatient pose ses lèvres sur les miennes avec une opacité mal contenu.
Je laisse sortir un hoquet de surprise lorsque sa chaude langue plongea dans ma bouche. Cette façon qu'il avait de s'émouvoir avec ses lèvres m'affolait à chaque fois. Son baisers était lent et plein de brusque ferveur. Nos souffles chaud se mélangeaient, mes yeux larmoyant baignait le visage de Claus. Je refusais d'ouvrir les yeux afin de voir la réalité.
Il tourne sa tête pour aspirer une goulée d'air mettant ainsi fin à notre moment d'intimité. Je me desserre de notre étreinte en lui baisant la joue.
- Et si on sortait d'ici ? Je crois que je vais boucler mon bureau et donner le tient à Lena. Je lui lègue mon entreprise c'est déjà suffisant, selon moi tu ne crois pas ?
- Humm après mûre réflexion c'est une très bonne idée déclarais-je en prenant la main qu'il me tendait. La vibration du téléphone de Claus nous bloque dans notre conversation.
Il récupère son téléphone qui affichait le message d'un numéro inconnu. Il l'ouvre sans faire attention. Un message qui nous refroidi s'y affiche.
Signe le contrat au restaurant et ta fille viendra à toi...
Il se passe une main furieuse dans sa chevelure avant de me prendre le bras afin qu'on sorte du bureau au plus vite. Il boucle la porte et retire la clef, il profite pour emporter la clef de mon bureau aussi.
Lorsque nous déboulons dans le couloir les employés qui y étaient se lèvent avec respect pour nous saluées. Lena arrêter droite comme un i avait un grand sourire sur le visage qui s'efface lorsque Claus jette à ces pieds la clef de mon ancien bureau.
- Tu prendras le bureau d'Alex, personne ne touche à mon antre ! N'essaye même pas de t'y introduire, suis-je clair ?!
Les dents serrées au maximum elle acquiesce avant de se décalé et nous laisser passer.
Une fois dans l'ascenseur tous les deux je prends sur moi et m'approche de lui en posant ma tête sur son torse, j'écoute les battements rythmé de son coeur encore une fois afin d'oublier la douleur que cause l'absence de Gigi.
- Essaye de te calmer Claus, ce message ne doit pas te rendre de mauvaise humeur. Je t'ai déjà dit une fois qu'à chaque fois que tu fronces ton front tu prends une ride ?
- Tu ne me l'as jamais dit celle-là. Merci beaucoup ton visage m'aide à me canaliser.
Il me vole un bisous à la va vite avant que les portes métalliques s'ouvre sur le hall.
- Alex, vous devez passer par le sous-sol il y a les médias devant, je crois que quelqu'un a informé la presse de ce qui est en train de vous arrivez.
- Fait chier !
Claus remercie Emilie et me soulève en mode patates sous le regard amuser des employés. J'ai des soubresauts à chaque marche des escaliers et malgré les petits poings que je lui donne, monsieur refuse de me laisser marcher. Après quelques minutes de lamentations il me pose dans la voiture avant de faire de même. Dans un crissement strident la 4*4 s'engage sur le bitume.
Lorsque nous nous trouvons sur la route principale un nombre incalculable de journalistes se jette sur notre voiture en criant différente question qui bourdonnait en moi.
Claus me prend la tête et la cache en me baisant le sommet du crâne. Malgré le blindage j'avais peur. Peur que les personnes qui se jette sur les portières ou encore sur le capot se fassent mal nous créant ainsi un problème de plus qui nous mènerait réellement à la ruine. À cette penser je laissais alors mes larmes mouillées le costume de mon homme. J'étais épuisé, depuis deux jours je m'étais retenue de tout seulement pour réconforter mes amis. Mais là je n'en pouvais plus je devais lâcher prise et c'est ce que j'essaie de faire.
J'avais envie de crier contre ce monde qui nous envahit en nous plongeant dans la douleur...
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PUBLICATION PRÉVU CHAQUE SAMEDI
J'espère vraiment que ce chapitre Vous plaira 😘😍merciii à vous de me suivre 😍😍
Désolé pour les fautes j'ai relu le texte tellement de fois que je le connais par coeur 😂😂
Dite moi ce que vous pensez réellement de ce chapitres ? 😘😘😘😘
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