Deux jours c'était écoulé depuis l'enlèvement de Gigi. Elle c'était envolée sans laisser de trace.

Selon Arthur ce n'était pas un travail d'amateurs puisqu'il n'arrive pas à trouver un seule indice nous portant à notre fille.

Depuis deux jours notre maison c'est transformé en champs de bataille. Personnes n'osent rire. Seule les gazouilles des quadruplé déchirent les grognements et lamentations des policiers ainsi que ceux de Claus.

Ils avaient remués ciel et terre pour la retrouver, mais toujours rien aucun indice n'as pu nous expliquer comment tout c'est déroulé. Ma petite chérie était encore loin de son nid et personne ne réussit à voir sa cachette.

Assise à même le sol mon regard divaguait entre mes quadruplé fourré dans leurs transats et Claus assit avec les policiers la tête entre les mains. La joie qu'on doit sentir après le combat abattu par nos quadruplé ne se fait pas sentir en notre être, car nous n'étions pas au complet. La maison était vide sans le rire de Gigi...

J'aurais aimé qu'elle soit près de moi à jouer avec les bébés. J'aurais aimé voir ma famille au complet et non divisé.

Voir mes quadruplé jouer sans nous me picote, j'aurais aimé profiter de toute ma famille dans le bonheur pour une fois. 

Durant c'est deux jours mon être c'est divisé en mille morceaux m'empêchant de faire beaucoup de choses. Comme par exemple prendre mes quadruplé dans mes bras...

J'ai peur à tout moment qu'une nouvelle m'arrive et que sans faire exprès un de mes bébés ce fassent mal par ma faute. Ils sont trop petits pour être trimballer dans les bras toutes les dix minutes.

Depuis deux jours je laisse mes larmes imploré le ciel afin que ma fille nous revienne intacte. C'est mon veux le plus chère. Gigi n'est peut-être pas ma fille biologique et un jour elle le saura, mais je l'aime comme ces frères et soeur pour moi il n'y a aucune différence...

Hypnotisé par mes pensées vagabondes je n'avais pas vu Julia poser sa tête sur mes cuisses et là je laisse mes yeux la chérire comme ils le pouvaient.

Après la disparition de Gigi elle refuse de s'alimenter en s'accusant d'être la cause de tout ce qui est en train de se passer. Moi je ne la blâme pas, car nous souffrons tous. Elle ne devrait pas se rendre malade à cause de son erreur je sais que Gigi réapparaîtra.

Sur mes cuisses dénudé je pouvais sentir la fraîcheur de ces larmes et cela m'arrache à moi aussi une larme. Je lui caresse la tête tout en rivant mon regard à un point imaginaire. Cette femme peut rider est en ce moment dans un état second et cela me fait très mal.

D'un coup le clique des armes à feu se font entendre. Je détourne mon regard et fixe le jeune brun qui venait d'entrer. Les mains en l'air tremblant telle une feuille au vent, il cherchait en lui une force afin de parler. Il ouvrit la bouche plus d'une fois mais aucune parole ne traversait ses lèvres. J'essuie la larme qui perlait sur mon visage en continuant ma contemplation.

- Qui est tu ?!

La voix rauque et enrouer de Claus claque dans le salon, faisant sursauter notre invité imprévu.

- Je suis... Je suis...

- Qui es-tu putain ?!

- Je suis le facteur la police m'a laissé entrer après ma fouille corporelle, déclare le jeune homme en s'abaissant sous le regard de tous afin de prendre l'enveloppe qui se trouvait à ces pieds. Il avait raison car son uniforme de livreur ne pouvait pas contredire sa déclaration.

- J'ai une lettre pour monsieur Claus Wilson... Regarder là voilà. Il approche avec hésitations vers Arthur, afin de lui remettre l'enveloppe. D'un geste autoritaire de la part de celui-ci les autres agents baisse leurs armes en les rangeant dans leurs étuis.

- Qui t'a donné cette lettre ?!... Je ne vais pas me répéter alors qui...

- Un petit garçon il m'a dit qu'une dame le lui avait remis afin qu'il me l'apporte je vous jure sur ma mère que je ne sais pas qui est cette dame....

Claus se rapproche du jeune homme telle un lion vers sa proie. Il le prend  par les cols sous les protestations de Arthur et Caled. Il pénétrait le facteur de son regard assassin afin de lire en lui et déceler dans ses yeux apeurer le moindre signe de mensonge.

En ce moment Claus n'était plus lui-même son côté obscur prenait de plus en plus contrôle de son être.

- Tu as une sacré chance, car tu dis la vérité ! Maintenant sort d'ici !

Le poing de Claus se rallie au mur faisant sursauter le livreur. Il ne demande pas son reste et cours pour échapper à ce lieu plein de colère.

Claus reste contre le mur quelques minutes avant de s'approcher de moi. Le regard vide, les cernes flagrante qui obscurcit son regard lui donnait un air d'insomniaque.

Julia lève sa tête et cache son visage pour fuir Claus. Il ne prête pas attention à son geste et me prend la main. Je me lève en dandinant un moment sans comprendre ce qu'il veut de moi.

- Tu es là plus calme parmi nous en ce moment, j'aimerais que tu lies cette lettre s'il te plaît.

Mon regard divague entre Claus et l'enveloppe qu'Arthur tenait. Je le lui prends après une grande inspiration. Je m'assois à notre table à manger en regardant le document avec dégoût. Je ne voulais absolument pas savoir ce qu'elle contient mais d'un côté ma curiosité veut être satisfaite et de l'autre mon coeur à peur de prendre un coup dont il ne pourrait peut-être pas s'en remettre.

Il essuie de son pouce la larme qui perlait sur mon visage tout en m'encourageant à l'ouvrir. Je respire un grand coup en fermant les yeux avant de les ouvrir avec détermination.

Je déchire la tête de l'enveloppe d'un coup et fais sortir la lettre qui glissait hors de l'enveloppe sans grand effort de ma part. Je serre la main de Claus en la prenant pour la lire sous le regard attentif de tous.

À mon très cher Claus Wilson

Tu as été un merveilleux père et surtout un bon compagnon pour ta très chère Alex. Le problème c'est que la vie est faite d'obstacles et nous aimons te voir monter de grade en grade. Je sais qu'on a quelques choses qui t'appartient une chose à laquelle tu tiens beaucoup.

Ta petite fille chérie est avec nous je compte bien te la rendre, j'aime pas trop les gamins ils sont d'un ennuie mais pour revoir la tienne tu devras nous donner quelque chose en échange.

Une chose pour laquelle tu ne dormais quasiment pas, cette chose qui te rendait insociable tu l'auras deviné je parle de ton entreprise...

Tu devras la céder à une personne que j'ai choisie par pur hasard juste pour rendre le jeu intéressent. Ton entreprise est ce qui te rend grand Claus sans les locaux de Wilson construction tu n'es absolument rien.

Alors, la personne à qui tu dois faire don de ton travail est complètement innocente et ne sais même pas qui nous sommes. Je sais que tu nous recherches en ce moment tu dois savoir une chose nous sommes les ombres du passé...

Tu as déjà entendu cette phrase je le sait...

Trêve de bavardage, tu devras céder les rênes de l'entreprise à Lena Tunner... Eh oui celle-là même qui est la cause de la naissance prématuré de tes enfants.

Elle viendra te rendre visite dans tes locaux  sous recommandation d'une lettre qu'on lui a envoyée. Tu ne devras rien lui reprocher, car au moins écarte de ta part ta petite Gigi en payera les conséquences même si je dois avouer qu'elle est réellement magnifique.

Nous ne te donnons aucun règlement tu as seulement des consignes à suivre. Signe les documents qui te seront apportées par Lena ensuite annonce à ton entreprise le changement. Une fois tout en ordre tu trouveras ta petite fille, je ne te donnerais aucun lieu de rencontre, car on te la rendra sur parole. Gigi viendra à toi sans que tu ne t'en rend compte.

PS : n'essaye pas de nous rechercher tu risques de perdre ton temps. En ce qui te concerne vu notre gentillesse nous t'avons trouvé un boulot de serveurs dans un restaurant. Tous tes comptes sont congelés depuis l'ouverture de l'enveloppe!
Ton nouveau lieu de travail est très charmant et bien pour une personne comme toi. Tu devras aller signer ton contrat après la transaction de tes locaux c'est un ordre.À tantôt mon très cher Claus...Suis les consignes...

Le visage larmoyant, j'avais une envie de déchirer la lettre, mais je ne pouvais pas le faire. Énervé par ma lecture Claus  se lève en laissant sa chaise rencontré le sol. Il part vers notre chambre sans jamais jeter un regard en notre direction.

Je ne savais pas trop quoi faire alors je pose ma tête contre la table laissant mes larmes nettoyer encore une fois la surface. Arthur vient prendre la lettre sans me déranger et je l'en remercie.

Pourquoi une telle punition doit-elle lui être accordée ? Claus n'a jamais fait quelque chose de déplacer pour mériter un traitement pareil !

Pourquoi doit-il abandonner les journées de dur labeur de son père ainsi que des siennes ? En plus à cette catin de Lena il ne manquait plus qu'elle pour couronner le tout.

J'essuie du revers de la main mes larmes lorsque blue se met à pleurer réclamant son biberon. Je pouvais voir en travers de mes larmes Julia qui essaye de le calmer. Je jette un coup d'oeil à l'horloge avant d'aller dans la cuisine à une grande vitesse dont je ne me croyais pas capable vue les circonstances. Je devais préparer le biberon des quadruplé au plus vite.

Je me stop dans mes mouvements en me rappelant avoir déjà fait leurs biberons. J'ouvre le frigo qui les contient et en sort quatre minis biberon de cinquante ml. J'allume les quatre chauffe biberon et attend que tous soit prêt...

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PUBLICATION PRÉVU CHAQUE SAMEDI

J'espère vraiment que ce chapitre Vous plaira 😘😍merciii à vous de me suivre 😍😍

Désolé pour les fautes j'ai relu le texte tellement de fois que je le connais par coeur 😂😂

Dite moi ce que vous pensez réellement de ce chapitres ? 😘😘😘😘

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