chapitre 35

Je lui tends le cadre en cœur et l'aide à l'ouvrir, il le retourne. On pouvait voir sur la gauche du cadre son tatouage qui est une colombe avec des cœurs sortant de la bouche posée sur le signe infini et à la droite un poème...

 Tu es ma légère brise d'air. 

Ta présence répand le bonheur.

 Ton doux sourit déborde de joie.

 Peu importe l'avenir,

 je viens dans ton doux sourit.

 Je suis triste si tu l'es

 Que rien ne nous sépare. 

On a tant de choses à se dire. 

Mais on préfère rester silencieux. 

Et croire en notre amour. 

Sois un phénix et revis de tes cendres.

~I LOVE YOU DESPITE THE DISTANCE ~

Je sens Claus parcourir mon corps de baisers et là je tends mon bras et mets en marchent le cadre électronique. Nous regardons ensemble les photos défiler comme si le monde qui nous entourais était figé sur nous.

—Je te déteste surtout quand tu essayes de me faire couler des larmes.

— Moi, je t'aime bien mon pleurnichât préféré.

— Je suis un homme et les hommes ça ne pleures pas quels que soient les coups.

— Tu en es sur et certaine ?

— Euh...oui murmure-t-il en se grattant la nuque ce qui me fait rigoler.

— Toi, tu as envie de quintuplé ces ça ?

— Euh...

—Je sais au prochain round, on double d'efforts et on mult...

—Ça ne va pas non ! Criais-je en lui donnant une tape.

On se met à rigoler sans se soucier de tout ce qui s'est passé premièrement.

— Je suis désolé pour cette fille. Comme tu avais confiance en Emilie, je l'ai prise comme secrétaire et elle ma proposé son ami pour la remplacer...Ça va faire un an que tu as disparu des radars de la société...mais aujourd'hui tout le monde sait pour toi , moi et même pour Gigi...

— Tu es fâché, demandais-je de peur qu'il me dise oui.

—  Non ! pas du tout maman ! ce surnom me fait rigoler sans savoir pourquoi.

Après un an de relation, je crois que ça nous  fera du bien de ne plus ce caché. Et je vais finalement retrouver ma secrétaire, mais avec un gros ventre. 

Son rire raisonne dans mes oreilles comme une symphonie orchestrée. J'aime être dans ses bras, j'aime le doux parfum qui ce délecte sur moi. Claus et Gigi sont devenues pour moi des brises d'air qui m'aide à survivre.

— Bon, tu vas descendre avant moi, on ne sait jamais qui peut avoir prévenu les médias. Depuis qu'on m'a tiré dessus, je faisais profil bas. Mais maintenant je m'en fiche qu'ils savent pour toi la mère de mes enfants.

—  Arrête ! Je vais rougir !

—  Tu es déjà toute rouge aller vas y bébé et on se voit dans quelques minutes.

—  Avant que je prenne la route, je tiens à ce que tu saches une chose. Le monsieur qui a fait tout cela avait cinq jeunes enfants et...

—  Ne me dis pas que tu les as adoptées ?!

—  Mais non-idiot ! Dis-je en rigolant. Leur local n'a pas eu beaucoup de clients et leur mère est à l'hôpital alors jai fait...

—  Laisse-moi deviné, ton instinct de mère t'a poussé à les aider avec un don de...

— 100.000 $

—  Bon c'est une grosse somme, mais tu l'as utilisé pour une bonne cause donc je ne vois pas le problème. 

Je l'embrasse une dernière fois et récupère mon sac à main. Je me prépare à sortir du bureau, mais Claus pose une main sur mon poignet. Je virevolte en lui caressant le visage avec ma chevelure et lui fait face. Il pose ses lèvres sur mon front et cela réchauffe mon cœur. 

—  On peut se promettre le pire , tu le sais alors oublie les princes charmants, car je n'en suis pas un. Et tu l'as toujours su. Mais je sais que notre amour est un empire que je construis avec délicatesse pour ne pas te perdre ; les gens disent souvent 《 derrière le meilleur se cache souvent le pire 》 et moi je dois dire que le pire pour moi, c'est de ne plus t'avoir comme compagne, je te déteste ! Car tu me fais vivre l'impossible. 

Il essuie la larme qui perlait sur mes jous et m'embrasse avec délicatesse.

—  Même si le pire arrive à grande vitesse, on peut toujours esquiver son arrivée en restant soudé et je t'informe que les princes charment existe, il se trouve dans le rayon biscuit.

 Il se met à rire alors j'en profite et dépose un délicat baiser sur son front et m'avance vers l'ascenseur. Je l'entends siffler en matant mes fesses. Mais quel pervers cet homme, il ne se cache même pas pour me mater.

Une fois l'ascenseur en bas , Julia, caled et Emilie courent dans ma direction. Leurs visages avait des expressions différentes on avait un au visage neutre et deux autres aux visages inquiets qui ne savaient pas ou se mettre. 

—  On doit partir les vautours sont au courant dramatise Julia en ce rongeant les ongles. 

—  Sérieux des vautours aller, on verra s'ils sont réellement des vautours. Me rassurais-je en sachant de quoi elle parlait.

Je tourne en direction de Gigi qui porte une casquette et la prend dans mes bras en cachant son visage.

— Toi Emilie, je veux te voir chez moi demain, tu ne peux pas m'abandonner à un ennuie mortels vu mon état.

—  Sans problème, je viendrai te voir demain. Tiens porte ça même si je sais que tu t'en fiches de l'histoire médiatique qui va débuter sur toi. 

Je lui prends la casquette et la remercie en lui faisant un bisou. Julia était déjà partie accompagnée de Lewis, c'est à mon tour.

Caled me prend la main et nous marchons rapidement une fois devant l'entrée, il me regarde et je lui hoche la tête pour lui dire que je suis prête. Une fois qu'un des hommes ouvre la porte, je m'apprête à sortir lorsque je sens caled retirer sa main prise de panique, je me préparais à fuis avant de voir Claus la tête haute me tenir le bras. Nous entrelaçons nos doigts et Claus prend Gigi pour la cacher sous son manteau. Je lève la tête et nous commençons à marcher dans la foule. Les flashes et les questions fusent de partout.

" Monsieur Wilson qui est cette femme et ce bébé ? "

"Les connaissez-vous ? "

" Après le procès de votre tante et de votre ex compagne, on ne vous voyait plus est-ce vrai ce que Sylvie disait à propos de votre nouvelle compagne ?"

"Quelles sont les nouvelles après vous êtes fait tirer dessus ?"

" Vous avez été loin des radars des médias on voudrait savoir pourquoi ? "

" Mademoiselle etes-vous avec lui pour son agent et ces biens ? "

" Êtes-vous une de ces putains ?! " cris une voix. 

Claus ce stop dans sa cours et cherche du regard qui a osé dire ça. Il commence à aller dans sa direction, mais je lui tire la manche de son manteau. Je ne comprends pas trop ce qu'il fait avec ce mentaux ici dans ce mois d'octobre.

Mais quand Il pose son regard sur moi et sur le corps de sa fille mes questions s'évapore.  Après un moment, il nous fait monter dans la voiture et fait de même en mettant Gigi dans son siège.

—  Caled trouve moi cet homme et fait en sorte qu'il soit viré personne n'insulte les personnes que j'aime.

—  Bien, je le ferai. Gigi se met à applaudir son père comme si elle avait compris un seul mot des paroles de son geniteur.

—  Maman papash fort ! Crit-elle en me regardant, je pouffe de rire tout comme Julia.

— Vous deux dit-il en nous pointant du doigt, je vous aurais ! Toi ce n'est pas difficile dit-il à Julia et toi, on verra...

Gigi rigoles en nous regardant. Son père lui donne sa tétine et son joué afin de la calmer. Elle se met a tiré sur sa tétine tout en peignant les cheveux de sa petite poupée barbi et de sa peluche violet. elle est tellement mignonne ainsi.

— J'ai trouvé une agence immobilière qui devrait nous présenter un catalogue de penthouse, j'espère que l'une d'entre elle sera à vos goûts. déclare Claus en épiant nos réactions.

—  Hum... ? réfléchissais-je en le regardant.

— On pourra tous vivre ensemble comme à  la villa actuelle chacun aura ces appartements. Je ne peux vous mettre loin, je ne le supporterais pas dit-il en regardant en direction de Julia et Caled.

— Moi ça me va du moment que je ne perds pas mon travail affirme Julia avec un grand sourire.

— Moi non plus du moment que je suis près de vous pour tirer vos oreilles et vous gronder, je suis ravie.

— Nous gronder, c'est impossible, non mais je suis l'homme le plus mature de cette planète.

—  Tu n'as pas effectué de bonne recherche réplique Caled. Ce qui nous fait pouffer de rire tous ensemble.

J'aime bien la famille que je me suis créée. J'espère que de la haut mes parents sont fiers de moi malgré la promesse que je n'ai pas pu tenir.

Il me manque, mais je ne peux m'apitoyer sur mon sors, car je suis mère. J'aurais aimé que mes parents voiles ce que j'ai pu construire malgré mes défauts. Je suis imparfait, mais j'habite le corps dune fille parfaite.

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J'espère vraiment que ce chapitre Vous plaira 😘😍merciii à vous de me suivre 😘

Dite moi ce que vous pensez réellement de ce chapitres ? 😘😘😘😘

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