chapitre 14

<<Une seule chose est bien à nous dans ce monde, c'est notre passé.  »

Victor Cherbuliez

<< — Tout a commencé quand j'ai eu mes neuf ans, en ce lieu repose toute ma famille. Là, dis-je en pointant la première tombe, c'est ma mère Carina Wilson, je saute celle du milieu et indique la dernière, là, c'est mon père Taylor Wilson cet homme que tu accusais d'être l'assassin de tes parents est sous terre.

Le jour où j'ai su la vérité sur ton arrivée dans l'entreprise j'ai été choqué et blessé qu'une personne puisse accuser mon géniteur de meurtre. Mon être blessé avait pour devoir de rétablir la vérité sur cette histoire. Chose faite, car j'ai prouvé l'innocence de mon père.

Je reporte mon attention aux tombes qui se trouve devant moi et je pointe celle du milieu, dans tout mes cauchemars, tu entends très souvent le nom de Sara, je sais que tu t'es fait beaucoup d'idée sur sa personne, mais aucune de tes idées n'est véridique. Sara est ma petite sœur. >>

— Tu as dit quoi ? renchérir Alex dans un murmure qui sonnait plus comme un sanglot. J'évite de tourner mon regard vers elle de peur de perdre mes moyens. Je ne peux pas perdre mes moyens, ce n'est pas le moment.

<< — Sara est ma petite sœur la fille qui me redonnait le sourire, celle qui me soutenait malgré son jeune âge. C'est elle Sara Wilson ma moitié, tu l'aurais adoré. Elle était tellement belle que je l'appelais ma muse. Je ferme les yeux un instant afin de reprendre mon souffle.

—  Je crois que tu sais tout sur la mort de ma mère, je l'ai trouvé allongé dans la chambre rose bonbon de ma petite sœur avec une rose noire dans les mains, on pouvait entrevoir une petite flaque de sang près d'elle. Si j'étais le seul à l'avoir vu cela serait mieux, mais ma coccinelle, ma sœur était là juste derrière à observer la scène. Son regard, est celui qui m'a le plus marqué, il était vide de sens, c'était comme si ces prunelles étaient en pleine explosion. Je l'ai pris de force et l'est envoyé dans la chambre conjugale de mes parents et je l'ai enfermé là. C'est cris me détruisait, mais je devais le faire pour son bien. Je suis retourné dans la chambre de ma sœur et je me suis approché de ma mère.

Ma plus grande erreur a été de toucher et déplacer des choses sur la scène de crime. Mais je ne voulais pas que les gens la voient ainsi, j'ai donc couvert son corps. Et je me suis couché près d'elle pour lui faire mes adieux. L'enquête a été compromise par ma faute beaucoup on pensé que c'était moi l'assassin.

Le crime parfait avait eu lieu chez moi, car on n'arrivait pas à trouver le vrai coupable. Après la mort de ma mère, qui a été, un choque pour nous tous. Mon père a décidé qu'on devait déménager et aller loin de tout ce qui nous rappelle maman. Ma sœur était devenue l'ombre d'elle-même, je faisais tout pour lui donner le sourire et lui faire oublier cette dernière image de notre mère. Une année s'était écoulée, on arrivait finalement à remonter la pente et aller de l'avant. Mon père se plongeait dans le travail pour oublier la mort de notre mère, il n'avait plus le temps pour nous,  c'est ainsi qu'ils nous a envoyé Julia.

Il disait que Julia n'était pas suffisante, j'ai jamais compris comment une personne qui ne passait jamais son temps à la maison peut dire que Julia n'était pas suffisante pour moi elle était plus que suffisante. Mon père s'est alors remarié à sa secrétaire une belle jeune femme, on sentait qu'elle avait eu recours à la chirurgie pour changer quelque point de son visage. Elle ne plaisait pas, ce n'est pas une histoire de belle-mère et ces préjugés, c'est juste que je ne lui faisais pas confiance. 

 J'ai commis l'irréparable en cherchant à savoir qui elle était. La mort de mon père et ma sœur, c'est un peu ma faute. Mon existence a ruiné ma propre famille. Cette jeune femme qui portait la couronne de belle-mère était juste une voleuse et tueuse qui avait été interné. J'aurai jamais dû fouiller dans son porte-document.

C'était bien tranquille caché dans sa valise, mais ma curiosité a pris le dessus. Ces documents mon fait découvrir qui elle était auparavant, j'ai découvert tellement de choses que je n'en croyais pas un mots. De mon jeune âge, j'avais vu toutes les méchancetés de ce monde. J'ai essayé d'avertir mon père de ce que j'ai vu ce qui m'a valu le titre d'enfant perturbé. J'ai été obligé à avoir des psychiatres pour me suivre, c'est même psychiatre ne me croyais pas vue mon titre d'enfant perturbé j'ai même envoyé mon père ouvrir son porte-document, mais il n'y avait plus rien aucune preuve de ce que je disais. Les seules personnes qui me croyaient étaient Julia caled et ma sœur.

C'est après cet incident qu'elle avait changé de comportement avec nous, en l'absence de mon père, on avait des règles stupides à suivre dans notre maison. Ma sœur a même fugué un jour, je savais où elle était alors j'y suis allé et je l'ailai supplié de rentrer supplier de rentrer avec moi, choses qu'elle avait accepté.

Ce jour-là, la femme de mon père avait donné deux jours de repos à tout le personnel pourquoi je ne sais pas trop, mais j'avais un pressentiment qui n'annonce rien de bon. Quand nous sommes rentrés mon père nous a un peu grondé, normalement les enfants se mettent à pleurer quand on les gronde mais moi j'étais content car c'était l'épreuve qu'ils ne nous a pas oublié et qu'ils nous aiment encore. Ce soir-là, tout a basculé, c'était la fin, de mon monde et de mon espoir en l'humanité. Plus rien ne pouvait nous ramener en arrière.

Ce soir-là, je dormais paisiblement quand j'ai entendu mon père et sa femme ce disputé. Je n'aurai pas dû y aller, mais ma curiosité a pris le dessus. Je me suis donc levé et je me dirigeais vers la chambre, la lumière tamisé du couloir ne me permettait pas de voir où je m'étais les pieds. Mon corps ce deplassais sans même que je le sente, mon subconscient me réprimandais ce que je faisais. Mais je n'ai pas voulu l'écouter si je savais ce qui m'attendais dans la pénombre cette nuit, j'aurais mieux faire de rester au lit en écoutant mon subconscient.

Une lumière sortait de leurs chambres entrouvertes , et  la dispute devenait de plus en plus violente. Je pouvais voir mon père, quand j'arrive devans leurs porte entrouverte. Il avait des documents et des photos dans les mains, c'étaient les preuves dont je faisais allusion, il avait finalement découvert qui était sa femme. Il avait des morceaux de journaux qui parlaient d'un meurtre et d'un vol, c'était elle dans une Ancienne vie, parce qu'avec sa chirurgie difficile de faire le lien.

Ces morceaux de journaux racontaient sa vie, son parcours. Je regardais toujours mon père, quelques choses me disait de fuir, mais je voulais à tout prix savoir le fin mot de cette histoire. Je ne comprenais pas pourquoi mon père ne l'a mettais pas dehors et qu'elle parte enfin de cette maison elle ne mérite pas ces que nous lui offrons.

En réalité, quand je la vois finalement, je comprends la réaction de mon père, miss parfaite avait une arme à feu entre les mains, jetai pétrifié, je savais plus quoi faire. J'ai eu un déclic et une bouffée de chaleur quand j'ai entendu mon père crier "laisse la partir mes enfants n'ont rien avoir dans cette histoire." J'ai aussitôt compris que ma sœur était à l'intérieur.

 J'ai eu un mouvement de recul, je me préparais à aller appeler la police quand je me suis cognée à quelques choses que je croyais être un mur, jusqu'à ce que je lève la tête et me rends alors compte qu'il s'agissait d'un homme grand avec forte corpulence. Il m'a pris par mes colles de pyjama et m'a forcé à entrer dans la chambre. C'est à ce moment-là que j'ai le plus été marqué encore une fois, sara était lié à une chaise avec un bandeau en bouche afin d'étouffer ses cris.Ces larmes étaient pour moi un poignard enfoncé dans ma cage thoracique.

Chaque fois qu'un goûte de ces larmes perlais sur son joli visage innocent, je perdais mes moyens et le peu de force qui me restais. J'avais envie de me transformer en Hulk et la sauver, le problème, c'est que je n'étais pas dans une fiction. L'homme qui m'avait envoyé dans la chambre m'a juste jeté à terre et est sortie ensuite fermant la porte à clé derrière lui.

Mon père me regardait choquer de ma présence. Il n'avait plus le choix, il commençait à supplier sa femme de nous laisser en dehors de cette histoire. Il nous a demandé de fermer les yeux choses qu'on a fait, on pouvait les entendre parler, d'un coup plus de mouvement, c'est fait entendre comme s'il était en plein combat. Leurs cris se mélangeaient au pleur de ma sœur et cela me détruisait le cœur. D'un coup deux coups de feu, on retentit dans la pièce, un cri étouffé et un gémissement de la part de mon père. J'avais peur d'ouvrir les yeux, peur de voir la réalité en face, peur de me retrouver sans rien, peur de ne plus voir les personnes qui comptent pour moi. Dans cette pénombre de la nuit, mon esprit vagabondait entre la tristesse et la mort. Je ne savais pas à quoi m'attendre. J'entendais ma marine ma belle-mère criée « qu'est-ce que j'ai encore faite...

Pourquoi rien ne se passe jamais comme prévu ? »

J'entendis la porte s'ouvrit, je crois que son complice venait d'entrer dans la chambre, il lui criait dessus et a rajouté, on doit pâtir d'ici très vite. En sortant, ils m'ont bousculé et je suis tombé, c'est à ce moment-là que mes yeux se sont ouverts. Mon tee-shirt blanc était mouillé, je n'y comprenais rien jusqu'à ce que je vois le sang dans lequel j'étais, je me suis relevé en sursaut cherchant à comprendre la situation...

À suivre...

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NB : j'ai promis deux chapitres le lundi bas en voilà un 🤗😋

J'espère vraiment que ce chapitre Vous plaira 😘😍

Dite moi ce que vous pensez réellement de ce chapitres ? 😘😘😘😘

Le début de l'histoire de claus vous en pensez  quoi ?🤔

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