chapitre 12

"si vous voulez savoir la verité ecouter les fou"

  Après notre petit câlin, nous sommes descendue prendre le petit déjeuné. Julia m'a fait une grande table ornée de plusieurs gourmandises, le problème est que j'ai l'estomac noué. J'ai juste envie d'en finir avec cette histoire, je ne sais pas ce qui m'attend, mais comme le disait caroline << si tu n'essayes pas jamais tu sauras la vérité >> en ce moment il y a plus de retours en arrière. Tes lamentables Alex regardent dans quel état, tu te trouves, imagine Claus ? Oui, cet homme, qui doit s'ouvrir, a toi comment ce sens t'il ? Il a fait silence durant ces deux jours.  

—  Alex tu devrait manger, tu n'as rien touché depuis qu'on est descendu.

—  Je n'ai pas trop faim Julia.

—  Mais...

—  S'il te plaît Julia, je mangerais quand j'aurais faim pour le moment, je n'ai pas envie de manger.

—  D'accord ! Rétorque t'elle en ce levant avec son assiette

—  Alex ! je tourne mon regard vers caled qui venait à peine de traverser le seuil de la cuisine. C'est le moment de vérité, le moment tant attendu. Le moment que j'attendais depuis deux jours est finalement arrivé.

—  Alex ça va ? Me demande Julia le regard inquiet.

—  Oui, t'inquiètes pas.

Je me lève de ma chaise, lisse ma robe et prend la main que me tend caled. Une fois dans l'aller de vent frais qui souffle caresse la peau de mon visage, rafraîchissant mon corps tendu. Une voiture nous attendait dans l'aller,je peu voir Lewis au volant. caled m'ouvre la portière et m'aide a monter. Une fois installé, je mets mes lunettes de soleil. Sa fait partie des accessoire envoyé par Claus, en parlant d'accessoire, je sens que j'ai oublié quelque chose. Je descends de la voiture, cours vers la maison, je dois avouer que les sandales son très pratique. Une fois à l'intérieur, je cours jusqu'à ma chambre. J'entends Julia m'appeler avec inquiétude. Je rentre dans ma chambre, ouvre le premier tiroir de ma table de chevet et prend le pendentif que Claus m'a donné. Je le prends et redescends.

 — Ça va ? Me demande Julia toujours inquiète.

— Oui, il manquait ça ! Dis-je en montrant le pendentif, elle laisse tomber l'inquiétude qui pesait sur ces épaules et lance un soupire de liberation.

—  Attends-je te le met . Elle le prend de mes mains, et le met sur mon cou. Heureusement, c'étais ça, j'ai eu une de ces peurs en te voyant courir.

— T'inquiètes pas et ces chaussures dis-je en lui montrant mes pieds. Son très pratique.

— J'ai des gout absolument divain , allez ils t'attendent dans l'aller. Je lui fais un calin et part en voiture.

— Tu nous as fait une de ces peurs, j'ai cru que tu laissais tombé.

— Tes complètements tarés caled , comment puis-je laisser tombé alors que je l'ai forcé à me dire toute la vérité.

— Pourquoi ta réagis ainsi alors ?

— J'avais juste oublié ça dis-je en montrant le pendentif à mon cou.

— Ah, dit-il les yeux grand ouvert. Il te l'a donné, je suis encore plus fière de lui.

Je regard caled avec un sourire qui signifie expliquer moi s'il te plaît.

— N'y penses même pas, je dirais rien.

— Vous êtes vraiment méchant.

— Merci du compliment rappelle toi << le moyen d'être cru est de rendre la vérité incroyable >>  Citation de Napoléon bonparte, c'est un peu la définition de Claus.

Je lui fais un sourire et porte mon regard sur la route. Je ne sais pas ce qui se passera ni ou Claus veut m'envoyer. je prends mon téléphone et mes écouteur et met stay de rihanna a fond. Je me laisse la mélodie me porter sur ces nuages. Je me mets à regarder le monde défilé au travers de ma vitre.  

  Une heure assise a regardé le monde défilé sous mes yeux en fond sonore stay de rihanna. La voiture finie par ce garé devant un aeroport et caled vient me tenir la portière afin que je descende.

— Eh faite attention à vous , on ce revois au retours de votre voyage. Je lance un regard interrogateur a caled.

— Lewis ne peut pas venir avec nous, il doit rester pour la surveillance des filles. Je fais un sourie en pensant a gigi et Julia.

Ah, je comprends, au revoir Lewis occupe toi bien des filles.

— T'inquiete pas dit-il avant de demaré la voiture.

— Et maintenant demandais-je a caled.

C'est simple, on part retrouver Claus au Nevada.

— Je ne comprends pas, je croyais qu'il prenait le vol avec nous ?

— Non, il y est depuis hier.

— Ah, dis-je enervé. Toute cette histoire commence à me gonfler, il fait le contraire de tout ce qu'il dit !

— Alex s'il te plaît ne te fâche pas, il avait besoin d'y être avant toi.

— Oui, je sais, il a besoin de calme , besoin d'y être avant moi besoin, j'en ai mare moi ! j'ai aussi besoin qu'on ce preocuppe de moi ou on s'en fiche ou quoi ! En voyant le regard des gens autour de moi, je m'aperçois que j'ai haussé le ton.

— Suis vraiment désolé, mais tu connais Claus, tu sais qu'il en fait qu'a sa tête. Il décide seul et regrette après. Reste calme ne gâche pas cette journée, car elle est importante pour vous deux. On le verra la, il nous attendra à l'aéroport. il tient à tout te dans un endroit précis devant des personnes précise.

Je lance un regard d'incompréhension a caled, mais il me tourne le dos. en ce moment pour repondre au telephone. Des gens precis , qui sont-ils et pourquoi a t'il besoin de leurs présence ? caled part nous enregistrer et moi, je reste assise sur un banc le regard dans le vide. Claus a t'il une famille ? Pourquoi je ne les ai jamais rencontrées ? Sérieux c'est un sacs a mystère souvent j'ai envie de le pretter aux FBI sont comportement est digne d'un vrai agent secret. Plus mystérieux de cet homme, je n'en connais pas.

— Alex tu vient, on doit embarquer.

Je suis caled jusqu'au contrôle de securité,heureusement on était les premiers sur les lieus. On suit quelques règlements obligatoire avant de finalement monter dans l'avion. caled me tire jusqu'à notre siège. Une fois installer, je mets mon téléphone en mode avion, je rebranche mes écouteurs et relance la musique, je n'ai pas envie de parler je veux juste un peu de calme. J'écoute cette fois say something de a great world & cghristina aguilera. Je ne sens plus rien juste cette musique qui est le reflet de ma relation avec Claus. On a dû supporté des choses, malgré tout, on est resté soudé. Quand je pense à l'objet de notre rencontre j'en rigole encore. Il aurait pu me quitter en découvrant la verité , mais il ne l'a pas fait il juste prouvé l'innocence de son père. Cela m'a rassuré, car son père n'y est pour rien dans la mort de mon père et ma mère. Mais la vraie question est qu'est ce qu' est vraiment arrivé a mes parents ? Le destin finira par me dévoiler ce qui s'est réellement passer. Je ferme les yeux un instant et laisse la musique caresser mon sens auditoire.  

 — Alex ! Je sens une voix lointaine m'appeler, j'ouvre les yeux avec difficulté et voie caled sur pied.

— On est arrivé. Cette phrase sonne dans ma tête comme l'explosion d'une bombe. Je me lève de mon siège le cœur noué aux veines. caled avance vers la porte de sortie.

— Mais on est ici sans valise comment....... Je commence a paniqué tout d'un coup q'est-ce qui me prend j'en sais rien. Sa doit être la peur, mais......

— Eh, Alex regarde moi, je lève les yeux et les plonge dans le regard de caled. c'est pas le moment de paniqué on a fat tout ce trajet pour une bonne raison pense a ton objectif. Pense à cet homme qui t'attend la dehors. Les vêtements ce n'est pas un problème, je m'en occupe.

Je ferme les yeux et prends une bouffée d'air. Mon objectif est d'aider Claus. Alors je ferais plus de crises, rien ne dois se mettre sur mon chemin, je ne peux faire un retour en arrière.

— On peut y aller caled, il me regard avec un petit sourie.

C'est tout ce que je voulais entendre aller suit moi.

je remets mes lunettes et suis caled jusqu'à la sortir. J'ai un baume au cœur lorsque je vois Claus aux téléphones devant une jeep noire. Je me stoppe, l'admire un moment. Il est dans un costume noir, chemise blanche et cravate noire, on peut voir une petite fleur blanche dans la poche de sa veste.

Il se retourne vers moi et retire ces lunettes de soleil. Son doux regard n'était pas méchant, il disait souvent « tout va bien se passer », sa m'appaise. Le vent qui siffle fait virevolter ces cheveux. Il raccroche son appel et me tend la main. Je m'approche de lui a part de loup. Une fois à sa hauteur, je lui tire la tête et me mets à l'embrasser. Il était surpris au début, mais il fin par répondre a mon baiser. Ces douces lèvres caressent les miennes, ces mains sur mes hanches m'attire encore plus a lui. Notre baiser devient de plus en plus intense comme si c'étais la première et la dernière fois qu'on se voyait. Je finis par mettre fin à notre baiser a cours de souffle. Nos fronts collés, nos souffles qui se mélangent, caresse nos différent visage.

— J'aimerais tellement que tu restes ainsi, dit-il en croisant mon regard.

— Je ne changerais pas, quelles que soient les erreurs que tes commis dans le passer cela fait partir de ton passé.

— J'espère que tu diras la même chose quand tu sauras tout de moi. Aller monte, on doit y aller. Je le suis et une installée dans la voiture, je pose ma tête sur ces cuisses et m'endors encore une fois.

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Chapitre très cours suis désolée 🙊🙈

J'espère vraiment que ce chapitre Vous plaira 😘😍

Désolé du retard de mes publications. Dite moi ce que vous pensez réellement de ce chapitres ? 😘😘😘😘

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