(🍋🔞) Messi x Ronaldo


💦

— Oh oui ! Cris, mon dieu ! Pas là !

Il lui claque fort le cul, le bruit se répercutant contre les quatre murs de la pièce. Lionel se fige le temps d'un instant et relève la tête, sa gorge s'ouvrant sur un gémissement sourd dû à la brûlure.

Qu'est-ce que je t'ai dis Leo ? Tu ne te touche pas ! Continue comme ça et je te mettrais une cage de chasteté plus tard.

Il tire sur ses cheveux pour le redresser sur ses bras, le faisant grimacer de douleur mais gémir tout de même. Il aimait le côté dominant du portugais et quand il lui faisait l'amour aussi brutalement, le faisant se soumettre complètement à ses envies. Il écoutait avec euphorie les sons que produisaient les hanches et les bourses pesantes de l'autre homme contre son fessier rebondissant à chaque à coups et qui l'envoyaient rapidement vers l'avant. Il ressentait les picotements des rougeurs qu'il lui laissait sur les fesses et des morsures sur le reste de son corps.

D'ailleurs, celui-ci n'arrêtait pas de trembler, ses muscles épuisés de tant d'efforts et fatigués de ses précédents orgasmes. Pourtant, il n'avait pas son mot à dire puisque son amant était décidé à le tenir éveiller toute la nuit en lui faisant férocement l'amour.

— Mais j'ai besoin de me toucher, de jouir ! il réplique en se tenant aux draps comme s'ils le maintenaient encore sur terre.

Cristiano s'arrêta, le temps de le redresser sur ses genoux et de lécher sensuellement la peau allant de son cou à son lobe d'oreille, flattant sa jugulaire.

Qu'est-ce qu'on a convenu entre nous Leo, hum ? Quand tu passe la porte d'entrée, tu deviens ma salope. Ma petite pute personnelle qui se laisse docilement faire. Tu te fais juste tranquillement baiser en prenant du bon temps et tu ferme ta jolie petite gueule d'ange, compris ?

Il serre la base de son érection douloureuse et de couleur changeante. Lionel pleurniche mais hoche la tête, tirant le sourire grivois du plus âgé.

Je ne t'ai pas entendu Leo. Est-ce que tu as bien compris ?

Il renifle et se mords la lèvre inférieure.

— Com...Compris.

Je préfère.

Il embrasse son cou où il n'hésite pas à planter ses dents jusqu'au sang qu'il recueille au bout de sa langue. Lionel se crispe et continue de sangloter, les lèvres pincées et les yeux fermés. Il ne dit rien de plus quand le portugais dépose ses grandes mains calleuses sur ses hanches creuses et qu'ils les remontent le long de son abdomen se soulevant rapidement jusqu'à ses pectoraux gonflés qu'il malaxa comme s'ils s'agissaient des seins plantureux d'une de ces actrices de films pour adultes.

Il ne disait jamais rien et n'oserait réellement jamais se rebeller contre lui car en réalité, il aimait ça. Il aimait être malmené par lui et laisser ses mains si chaudes et expertes le mener à la baguette, faisant de lui ce que bon leur maître souhaitait. Il appréciait toute la douleur qu'il lui procurait ; c'était une façon propre à lui de lui montrer son affection.

Cristiano a toujours été soudain, imprévisible. Il pouvait l'emmener dîner, lui offrir des fleurs et lui faire la sérénade, passer des mois ou des années à lui faire la cour en le charmant avec des petites attentions ou mots de poésie et la minute suivante, se retrouver à lui faire sauvagement l'amour, comme s'il n'était autre qu'un réceptacle, un objet sexuel avec qui il prenait du bon temps. Puis le lendemain matin, il viendrait lui apporter le petit-déjeuner au lit, le cajolerait et peut-être après, tout juste avant de le quitter, il le baiserait à nouveau et s'en irait sur un "Je te dis à bientôt amor" suivit d'un baiser à faire rougir les femmes et les hommes de tous âges.

Alors, tant qu'il faisait plaisir à Cristiano et qu'il continuait à lui plaire, il viendrait toujours dès que possible le rejoindre pour être aimé si intensément par un tel personnage. Il le fascinait, il était comme...comme hypnotisé par lui. Des émotions contradictoires chahutaient dans sa tête, des choses dont il serait incapable d'expliquer mais qui lui allait parfaitement.

Malgré ces moments passés dans les vestiaires blaugranais avec ses coéquipiers et ceux que lui donnaient si hardiment sa femme, Cristiano était le seul qui guérissait ses maux d'un coup de claquement des doigts. Faire l'amour avec lui était toujours différent que de se faire prendre par son équipe entière.

Maintenant, il se frotta les mains et lui donna une autre fessée, passons aux choses sérieuses.

Il le retourna sur le dos et écarta ses jambes en grand avant de les amener contre son torse. Automatiquement, Lionel les garda contre lui et grande ouvertes, se léchant les lèvres d'impatience. Il avait faim. Faim de cette queue si bien proportionnée et qui s'amusait à le marteler de l'intérieur, forçant le passage jusqu'à son cœur.

— Dépêche-toi Cris, je veux te sentir en moi maintenant !

Le préservatif s'est déchiré andouille !

— Ne te prend pas la tête avec ces broutilles ! On fera sans !

L'argentin frappe sa main et dirige son sexe vers son entrée, puis pris d'un soudain élan, il s'empala de lui-même à l'aide d'un coup de hanche sur sa verge. Il le pousse plus loin en lui en appuyant sur ses fesses galbées.

— Oui. Oh putain, oui ! il soupire d'extase en sentant la chaleur du pénis de l'attaquant en lui.

Ce-dernier qui demeurait pantois, finis par retrouver ses moyens et souris largement.

Mais tu es une grosse cochonne ma parole Leo !

— La ferme et fais-moi l'amour Cristiano.

À vos ordres señor.

Il ne fallut pas plus au portugais pour reprendre d'assaut son amant.

— Ah ! Más fuerte Cris ! Anh, puta madre !

L'animosité de Cristiano ne fait qu'accroître en entendant ses plaintes. Ses coups de reins s'emballent au point de casser les minis jetons qu'il avait acheté pour caler la tête de lit qui tapait maintenant très fort contre le mur.

Ils envoie valser les mains de l'argentin qui se baladaient près de son érection et le prend à la gorge dans vraiment s'en rendre compte. Lionel rejette la tête en arrière et jouit pour la millième fois de la soirée.

J'ignorais que tu aimais être pris à la gorge Lionel ! Deux ans qu'on couche ensemble et c'est que maintenant que je le découvre ?

Il couina, soulagé de ne plus ressentir la lourdeur de son pénis.

— Je ne le savais pas moi-même à vrai dire...

Le portugais lâcha un souffle amusé et continua son activité, gardant sa main autour de la gorge de Lionel dont les yeux se révulsent quand la prise se resserra. Entendre ses gémissements vibrer dans le fond de sa gorge alors que ses lèvres sont fermées, sa lèvre inférieure rouge et gonflée, est un pur délice aux oreilles de plus tanné. Le voir ainsi, totalement abandonné à sa merci est si jouissif. Une douceur inexplicable pour ses pauvres yeux !

No te detengas Cris !
(Ne t'arrête pas Cris !)

Ay, não te preocupe com isso, papi.
(Oh, ne t'inquiète pas pour ça, papi.) Je vais te baisser tellement fort que tu seras incapable de coucher avec ta femme ou laisser à nouveau un membre de ton équipe te toucher ! Je vais te laisser dans un sale état Messi.

Il se penche sur lui et l'embrasse à pleine bouche, un baiser des plus sauvage. Lionel passe ses doigts dans ses cheveux et lui répond avidement. Les orteils repliés, il tient avec le peu de force qu'il lui reste ses cuisses écartées, subissant les coups brutaux de son amant qui semblait insatiable. Et cela au grand damne de l'argentin qui était vidé de toute âme.

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↬ Voilà ce que donne un rêve retranscrit...

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