(🍋) Lio/naldo
Dédiée à R_V-fan : Aujourd'hui, c'est ton jourðð¤ð»
⢠N'hésitez pas à signaler les fautes s'il vous plaît (je me suis relu mais, on ne sait jamais ! La fatigue de 03h00 du matin peut jouer des tours...)
â¢ð°â¢
Lionel a toujours aimé les hoodies. Il en avait toute une collection, peu importe la couleur, les écritures qu'il y avait dessus, la matière, les imprimés...Il en a toute une panoplie dans son dressings.
Cristiano, son petit-ami, n'avait jamais compris son amour pour ces pièces pourtant si banales, simplette. Ol y avait tellement mieux, de plus beau que des...pulls ! Ãa faisait si peu soigné et chic selon lui.
Enfin, il faisait avec, s'efforçant à respecter ses goûts et choix vestimentaires mais ça, c'était avant. Il a commencé à en avoir assez de cette amour malsain et disproportionné pour les hoodies quand ses propres pulls se portaient disparus.
Sans aucun doute, l'argentin était le commanditaire de ces enlèvements. Dès qu'il s'achetait un pull âet bien plus classe que ceux de son amantâ il disparaissait simultanément. Pouf ! Comme de par magie et personne, ni même le principal suspect, ne savait où pouvait bien se trouver ses fameux pulls volés. Pour tout dire, il n'était même plus surpris de voir des clichés de Lionel avec un d'eux dans des magazines ou sur les réseaux.
â Tu es insupportable Lionel Messi.
â Mais ce n'est pas de ma faute Cris !
â Parce que c'est la mienne peut-être ?
Il regarde furtivement sur le côté et acquiesce. Je soupire bruyamment et roule des yeux.
â Ils ont ton odeur !
â Et alors ? Laisse mes pulls tranquille ceux sont mes pulls, pas les tiens Leo. Tu as les tiens en plus !
Il geint et rampe sur le lit jusqu'à moi. Je me détourne de lui et il m'enlace la taille par derrière. Son corps est âagréablementâ tout chaud.
â Me boude pas meu anjo, il embrasse mon dos et remonte ses mains le long de mes côtes, Promis, j'arrête de t'emprunter tes pulls.
Je l'entends ronronner en massant palpant mes muscles mais je l'ignore.
â De les voler !
â Tu y vas un peu fort là Cris...
â Mais c'est la vérité ! Tu collectionne aussi mes hoodies ! Franchement, tuâ
â Tu parle trop.
Il coupe ma tirade d'un baiser brûlant et me tire sur le lit à l'aide de son poids. Je tombe sur le dos et il enjambe mon bassin.
â Tiens.
Je fixe le sac jaune et de marque qu'il me tend. Il me sourit largement, mais ne répond pas pour autant à ma question silencieuse.
â Cadeau.
Je le prend et l'ouvre, mais il n'y avait rien à l'intérieur à part l'emballage que je lis. Je lève mes yeux blasés sur lui.
â Je suppose que c'est le pull que tu m'offre que tu porte en ce moment même Leo...?
â Tu suppose bien meu pequeno esquilo ! il ne se départit pas de son sourire large et me tira la joue tel un bambin.
Je plisse les yeux, sourire narquois aux lèvres, puis saisis sa mâchoire et renverse les rôles. Cette fois-ci, c'est lui qui est pris au dépourvu.
â Cris ? je pose mon index sur ses lèvres.
â Chut, tu parle trop.
J'arrache les liens du sac en plastique cartonnée et noue ses poignets au-dessus de sa tête. La petite lueur de panique dans ses yeux m'excite.
â Attends, Cris !
â Non ! Tu vas prendre cher.
â¢ð°â¢
End.
⢠â â¢
Quelque jours plus tard...
Un brouhaha pas possible se fait entendre depuis l'étage et j'entends depuis le salon les murs trembler à cause de la musique tonitruante. Je tente d'augmenter le volume de la télévision alors que je visionnais un de mes nombreux matchs pendant ma saison madrilène, mais impossible. C'était réellement impossible d'entendre quoi que se soit et de suivre le match avec un nain blanc comme un cul qui écoutait son rap argentin ou américain.
Je me lève, déterminé à l'engueuler et à le faire taire, mais je me ravisse quand j'ouvre la porte de notre chambre et que je le vois sur le lit, juste en face de la télévison qui jouait le clip vidéo de Megan et en train de s'ambiancer et de chanter.
Quand on voit Lionel et son comportement qui laisse à penser qu'il souffre d'un quelconque problème mental ou je ne sais quoi, jamais l'idée de le voir twerker telle une bad bitch et de le savoir homophomane ne viendrait à l'idée de la plus fourbe des personnes sur Terre. Pourtant, il était bel et bien ce genre de personne qui sont atteinte d'une libido accrue et d'un abonnement à cette danse de nature traditionnelle et culturelle. Le "twerk" signifie la fertilité. Ãtait-ce un message qu'il essayait de me faire passer ?
â Eh Messi !
Il coupe le son de la télévision et se tourne vers moi, reprenant son souffle. Il sourit innocemment et s'assoit sur le lit face à moi.
â Oh, Cris. Que puis-je faire pour toi ?
â Le son de la télé est beaucoup trop fort. Pourrais-tu donc le baisser s'il te plaît ?
Il souffle distraitement et le fais.
â C'est bon là ?
â Obrigado Leo !
â Hum hum, de nada.
Je referme la porte, reviens dans le salon, m'étale sur le canapé et reprend mon visionnage avant de m'endormir quelque temps après.
Cette chaleur qui inonde le bas de mon corps et électrise mon échine monte jusqu'à mon cerveau et fait sauter mes neurones, faisant le bout de mes doigts et mes orteils tressauter. C'est humide et chaud et...ça me chatouille.
Je sens des papillons dans mon ventre et des fourmillement dans les jambes. C'est tout bizarre ! Je réfléchis encore et imagine des mains sur moi, caressant mon torse où elles pincent mes tétons très fort avant de sillonner mes abdos et de caresser ma cuisse. Le propriétaire de ces mains, je le vois sans mal entrain de me tailler une pipe comme s'il s'agissait de la meilleure chose à faire sur terre.
Je m'entends gémir dans cet espace sombre et enroule ses mèches de cheveux autour de mes doigts avant de tirer doucement dessus. Il va de plus en plus vite et je bouge instinctivement des hanches pour aller plus loin. Je râle en sentant ma verge s'aventurer si loin dans sa cavité, touchant le fond de sa gorge. Je jure quand ses doigts viennent malaxer mes bourses, m'envoyant mile et un frisson dans l'aine. Mais, je me réveille soudainement en sentant un froid me souffler dessus et un vide totale autour de moi.
Lionel était au-dessus de moi, frottant son fessier contre mon érection lubrifiée. Je le regarde avec confusion et apporte une main à ma joue douloureuse.
â C'est moi ou tu m'as gifler ?
â C'est toi ! Mais ce n'est pas ça le sujet présent : j'ai envie de toi Cris.
J'essaye de me relever mais il me bloque sous lui et descend le dossier du canapé, me poussant lentement dessus. Je commence à légèrement paniquer mais ne le lui montre pas. Fierté oblige.
Mais je suis forcé d'avouer qu'il était foutrement sexy dans cette tenue pourtant sans artifice : un de mes pulls et un de ses shorts bien trop courts et inutiles sur son boxer âque je remarque qu'il ne porte pas.
â Cristiano, je veux que tu me fasse l'amour et sur le champ ! il me répète avec plus de fermeté, s'asseyant presque sur ma dureté. Je grogne et ferme les yeux mais les réouvre pour l'observer. Ses cheveux étaient en pagaille, son front recouvert d'un léger film de sueur, ses joues rosées et ses lèvres étaient foncées et gonflées en plus d'être luisante aux coins.
â Tu m'as sucer ? je lui demande ahuri.
â Et je me suis même préparé comme un grand garçon. T'as qu'à la mettre amor ! il geint désespérément.
Je ne répond rien, impossible de formuler la moindre phrase cohérente et je vois qu'il s'impatiente. Je passe alors mes mains sous le pull et les pose sur ses hanches que je caresse puis les remontent jusqu'à son buste, serrant ses pectoraux l'un contre l'autre. Il gémit ; il adorait quand je les malmenait de la sorte et frottait mes paumes de main contre ses tétons sensibles.
â Cris...
Je retire une de mes mains et la glisse dans son short et fais glisser mon index le long de sa raie jusqu'à son trou dont je teste l'élasticité avant d'y faire entrer deux doigts en lui. Effectivement, il n'avait pas menti, il était parfaitement dilaté.
â C'est bon, arrête de te plaindre. Je vais bien m'occuper de toi maintenant ma petite pulga.
Je me redresse et tire sa tête en arrière pour avoir accès à son cou que je parsème de suçon de différentes tailles. Je le fais retirer son short pendant que je descend mon jogging et mon caleçon, puis soulève le pull pour pouvoir y passer ma tête en-dessous et venir meurtrir ses boutons de chairs. Il halète et pose ses mains de part et autre de mon cou, soupirant mon prénom.
Je sentais la tension palpable de son corps palpiter sous mes doigts dont je veillais bien à ce qu'ils ne négligent aucune parcelle de sa peau si douce et parfumée. Des notes anglophones, tantôt portugaises ou colombiennes, arrivent à mes oreilles et sans réellement vérifier, je sais qu'il avait mis une playlist en fond. Une playlist passons des musiques en rapport avec ce qu'on comptait faire.
â Attends Cris, j'ai chaud, il me repousse gentiment pour retirer le pull mais je l'en empêche.
Il me regarde étrangement.
â Tu me les emprunte tout le temps donc tu assume de les porter maintenant, sinon je m'arrête là .
Il me fait une moue à me fondre le coeur mais je résiste et accentue ma prise ssur son poignet. Il souffle et acquiesce.
â Beija-me (embrasse-moi).
Je souris et entame avec plaisir un baiser passionné avec lui, faisant traîner le bout de mes doigts le long de sa colonne vertébrale, ce qui le fait frissonner et me tire un sourire. Puis, décidant que je l'avais assez fais languir comme ça, je le soulève par les hanches et le fais asseoir sur ma verge.
Il me regarde droit dans les yeux, ses lèvres s'entreouvant sur un souffle de plaisir, durant toute mon ascension en lui et une fois que son fessier buta mon bassin, on se relâcha et souffla longuement. Il bouillait de l'intérieur et j'étais toujours aussi exiguë malgré nos rapports sexuels réguliers.
Il passe ses bras autour de mon cou et colle nos front ensemble. Je dépose des baisers et des caresse ci et là afin de le détendre, ce qui semble fonctionner puisqu'il se met à faire travailler ses cuisses en montant et descendant sur mon sexe. Je serre ses hanches, commençant sans mal à voir des bleus se dessiner sur sa peau. J'ai un petit sourire moqueur. Quel fragile.
Je pince mes lèvres et grogne quand il accélère la cadence, gémissant bruyamment comme à son habitude, la tête en arrière et les paupières baissées. Il était si beau. Tout transpirant et agité, puis si bruyant que mon égo venait souvent à être flatté.
Je retiens un cri de surprise en le sentant enserrer ma taille de ses cuisses et basculer sur le côté, inversant les positions. Il affiche un sourire sournois et me garde contre lui. Je secoue légèrement la tête en ricanant.
â T'es vraiment pas possible.
Je l'embrasse lascivement en mettant la langue et mordillant ses lèvres. Puis, au moment où il s'y attendait le moins, je me met à marteler sa prostate et il griffe avec ébahissemment mon dos. Je grogne bestialement et met ma tête dans son cou, accélérant mes va et vient à cause des soudaines brûlures vives dans mon dos. Il s'accroche à mes fesses et gémis de plus en plus fort, mon nom de moins en moins espacé dans sa litanie.
Cette friction, cette voix mielleuse, ces douleurs et ces picotements m'exaltaient. Je devenais un peu plus brutal avec mon petit-ami à qui le traitement plaisait, mettant la douceur de l'amour sur le côté pour le moment. Je tire sur ses cheveux et il me donne accès à son cou déjà coloré. Je mord sa clavicule et il jouis entre nous, son corps transpercé par des spasmes soudains et secs.
â Cris, Cris, Cris ! Anh !
Je m'enfonce une dernière fois en lui, me fige et jouis en de long jets. Je me laisse retomber sur lui en soufflant comme un buffle et il m'enlace en me caressant même les cheveux à ma plus grande surprise. Je tique un peu en sentant ses vagues de chaleurs étouffantes et sa sudation excessive mais me rend compte qu'il portait son pull. Il me regardait dans les yeux, arquant un sourcil ennuyé.
â Ã qui la faute ?
ð
Voilà , c'est vraiment fini cette fois-ci.
⢠J'ai vu que tu avais passé une commande d'un Lionaldo sur le compte de x10medusa (si je ne me trompe pas) avec contexte et lemon amoureux, j'ai essayé d'en faire un, j'espère que ça t'as plu en tout cas.
â² Encore Joyeux Anniversaire à toi R_V-fan (ðâ¤) et passe une bonne journée qui est la tienne âet cela même malgré le confinement.
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top